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Hey i just met you [PM] & Ludwig
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
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Message Posté Dim 7 Oct - 17:08.


i wanna live like music, rolling down the streets.
hey looking at you i wanna take you to the back of the room..

★ noms des participants: Ludwig & Casey
★ statut du sujet: Privé
★ date: Début octobre
★ heure: Une fin d'après-midi
★ météo: il fait beau
★ saison: saison 2
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: 2x02
★ numéro et titre de l'intrigue en cours: 2x02
★ intervention de dominus: non merci !
★ récompenses: Pas encore !






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Message Posté Dim 7 Oct - 19:06.


Aujourd'hui était un jour où je n'avais pas cours. Et comme tous ces jours libres que j'avais, je profitais pour aller courir un bon coup. Partant de chez moi pour aller au lac, cela me permettait de me défouler et de garder la forme. Je m'habillais donc en circonstance. Jogging, tee-shirt informe et basket de rigueur. Cheveux attachés. Montres et bouteille dos en main. Et c'est partit pour un peu de sport bon pour la santé. Le sport me faisait toujours du bien. Ca me permettait de me vider la tête. De faire le vide et de réfléchir. Les derniers évènements avaient encore bouleversés ma vie. Si un jour on m'avait dit que je retrouverais mon cousin. Ce cousin dont le père avait coupé les ponts avec ma famille. Cet oncle qui n'avait pas cherché à me recueillir chez lui à la mort de mes parents. Cet oncle qui n'a même pas laissé ses fils me voir. J'avais longtemps cru que ce côté de ma famille avait fini par ne pas exister. Mais aujourd'hui, j'avais une preuve de l'ingratitude de cet oncle. Je courrais un peu plus vite à la pensée de cet homme abjecte. Je ne voulais jamais le voir et je pense que la réciproque était vraie. Bientôt, mes foulées m'amenèrent au lac. Une fois la rive du lac bien entamée, je décidai de me poser un peu. Je m'assis par terre. Les écouteurs de mon mp3 toujours vissés dans mes oreilles. Je regardais le lac. L'horizon. Cette vue me plaît toujours autant. C'était devenu un de mes rituels depuis que je suis à Poudlard. Je courrais. Je m'arrêtais pour admirer la vue pendant un certain temps. Puis je repartais en direction de mon chez moi toujours en courant.

Finalement, je décidai qu'il était temps de repartir après de nombreuses minutes passé ici. Même si la vue me donnait envie de rester plus longtemps, il commençait à se faire tard et j'avais encore des choses à faire en rentrant. Et puis, une bonne douche bien chaude me ferait un bien fou. Je me relevais et recommençai à courir. Malheureusement, je fis tomber ma bouteille d'eau. Je me baissais donc pour la ramasser mais en me relevant, ma tête entra en collision avec un objet dur. J'identifiais l'objet comme étant un livre. Je me frottais la tête et la relevais. Je tombais nez à nez avec un beau garçon. Il devait être un peu plus vieux que moi mais il avait un charme fou. Il était brun, grand, des yeux vairons magnifiques. Un était vert éclatant et l'autre brun incrusté d'une tâche d'or. « Pardon, excuses moi. Je ne regardais pas devant moi. J'ai fait tombé ma bouteille et...enfin bref... » Je ramassais son livre et lui tendis. « Tiens ton livre. » Il me fit un sourire de remerciement. Je ne savais pas vraiment quoi dire ou faire alors je lui souris à mon tour avant de me présenter. « Je m'appelle Casey. Je viens d'arriver à Poudlard. » Je lui tendis la main. Il la prit et la serra. J'étais pas très à l'aise. Je suis plutôt introvertie en temps normal. Je ne savais pas réellement comment aborder la conversation avec un inconnu. « Tu es à l'université ? Parce que je ne t'y ai jamais croisé. » Je ne savais même pas si je lui faisais perdre son temps. Je rougissais un peu de ma bêtise. Je n'avais même pas pris le temps de me dire que je pouvais l'importuner ou quoique ce soit. Je trouvais la situation ridicule. « Je suis désolée si je te fais perdre ton temps. Je vais te laisser tranquille. Encore désolée pour le livre. S'il est abîmé, je te le rachèterais. Si on ne se revoit pas d'ici là et qu'il l'est, dis-le à mon cousin Vitali et il me fera passer le message. » Je commençai à tourner des talons pour partir. Je me sentais ridicule. Fallait vraiment que je travaille sur ma timidité.


Dernière édition par Casey F. Larson le Jeu 25 Oct - 14:13, édité 1 fois
Ludwig Lancaster
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ϟ entrée : 29/04/2012
ϟ maison : Il a appartenu, durant neuf ans, à la maison de Gryffondor.

♦ Nota Bene
:
: Emma Gray. Aubépine de Séverac. Perpetua Plumpton. Fulmina Pletorn. Delhi Singh-Anderson. Vitali Zorotalev. Simba Farewell.
: ♠. Baguette. Paquet de cigarettes. iPod.



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Message Posté Jeu 18 Oct - 2:23.
J’avais un défaut. J’intervenais toujours un peu tard. Peut-être parce que je n’avais pas le déclic rapide, ou peut-être parce que j’avais rarement envie de faire des efforts. Quant à savoir ce qui me motivait pour arriver systématiquement en retard sur l’heure prévue du renouvellement de mon traitement, c’était encore un mystère.

Elle avisait mes rétines injectées de sang, percevait ma respiration sifflante et notait les traînées luminescentes des larmes que j’avais cessé d’effacer sans dire un mot, me tendant, mécaniquement, la fiole pâle que j’attrapai et avalai cul sec sur ordre de mon instinct de survie sonnant l’alerte dans mon corps tremblant. Les spasmes, dernier symptôme éliminatoire de mon allergie, s’étaient emparés de mes épaules et circulaient maintenant dans mes mains dont je doutais de la précision tandis que j’enroulais mes doigts autour du verre poli ; mes jambes commençaient à se dérober sous mon poids. Autant dire que je n’avais pas fière allure et que le pathétique de mon expression n’était pas pour attendrir la dragonne qui me servait d’infirmière – j’étais d’ailleurs le seul à la percevoir ainsi. Le seul, aussi, à arriver la mort au cou, au dernier moment, pour me sauver la vie.

    « Tu manques quel cours, cette fois ? »
    « Sortilèges. »

Pour savoir qu’il s’agissait du seul cours où mes efforts étaient marqués de bonne volonté, elle conserva le silence en me regardant reprendre mon souffle, assis sur le bord d’un matelas avachi, les doigts enfoncés dans les draps. Mon sac gisait au pied du lit, lâchement abandonné dans ma précipitation ; et j’en remarquai l’usure alors que la chaleur, douce et réconfortante, de la potion glissait lentement, réapprenant à mes poumons le mécanisme de la respiration, déliait mes nerfs et calmait les spasmes de mes muscles. Il n’était donné qu’aux allergiques de connaître une nouvelle fois le soulagement démesuré du nouveau-né prenant sa première respiration, et l’impression m’était devenue particulièrement familière ; trop familière. L’infirmière ne se priva pas de me faire son sermon habituel, auquel je ne prêtais qu’une oreille distraite : elle était sans doute la mieux placée pour connaître les effets secondaires de cette chaleur salvatrice qui m’engourdissait progressivement. Pour prendre mon traitement en retard, j’avais une dose plus corsée que l’habituelle ; aussi piquai-je du nez à peine cinq minutes après ingestion. L’avantage, c’était encore que je les fantômes ne me rappelaient que trop tard ma dernière expérience sensorielle avec l’un d’entre eux.

S’installant à côté de moi, l’infirmière me fit les examens de routine pendant que je somnolais à moitié, conscient pour peu qu’elle pressait ses mains contre mes bras, mon dos, mon torse et mon cou, passant outre le pull en grosses mailles de laine que je portais. Ballotté, bercé par ses gestes, je me laissai faire docilement, enfouissant mes mains dans mes manches trop longues pour mieux savourer les brumes épaisses dans lesquelles je m’enfonçai sans vraiment m’endormir, retenu d’une faible pression de son bras dans mon dos. Après quoi, je me roulai en boule au creux du lit, dans l’optique plus que tentante de vraiment piquer un somme. Parfois, elle me laissait faire ; d’autres, non. En tout état de cause, elle n’était pas d’humeur à me regarder dormir aujourd’hui.

    « Tu devrais aller prendre l’air. »

Je grognai. Fondamentalement, je n’étais pas contre l’idée – même si foncièrement, rester lové ici m’était une idée agréable – mais je n’étais pas non plus persuadé que mes jambes fussent partantes pour l’opération. Pour ne pas être assidu en cours, je n’étais pas pour autant insolent – quoiqu’en pense la majorité de mes professeurs –, et dans la mesure où l’infirmière me tenait en vie depuis neuf ans maintenant, j’étais encore moins enclin à lui faire l’affront de ne pas obtempérer. Je me redressai, légèrement déboussolé et manquant de tomber de mon perchoir, et éprouvai le sol du bout des pieds. Il était stable, à peu près comme mes jambes. Debout devant moi, l’infirmière me tendait mon sac ; un sourire était accroché à ses lèvres, que je lui rendis, certes un peu vaseux, mais à tout le moins sincère. Je l’aimais bien. Elle me supportait, et ne me jugeait pas. Pas toujours. C’était toujours mieux que de m’entendre dire que j’étais un piètre sorcier insolent et sans avenir.

J’aurais pu retourner en cours, mais j’avais dans l’idée que non seulement je n’apporterais pas grand-chose en m’endormant sur mon bureau, mais que mon professeur ne m’attendait pas vraiment. De plus, l’instruction avait été claire : prendre l’air. J’avais toujours cela comme excuse, que je m’empressai de prendre pour argent comptant en quittant les couloirs silencieux du Château pour me rendre à l’extérieur, où l’air était encore doux au début de la saison morte. La Forêt interdite se couronnait d’une auréole cuivrée à l’horizon, et le lac, débarrassé de ses barricades montées par l’inspection de Londres suite à la mort de l’être de l’eau scintillait sous les vieux rayons du soleil. J’avançai, contemplant d’un œil absent le parc de Poudlard, quasiment désert alors que la majorité des élèves étaient reclus en cours ou retranchés dans leurs quartiers, pour me laisser tomber au pied d’un arbre que j’avais l’habitude de côtoyer. A force, je pourrais lui trouver un prénom, à cette vieille branche – ou éviter de penser que je pourrais en venir là. Je souris. Tirant mon livre de mon sac, je m’installai aussi confortablement que possible entre ses racines et repris ma lecture.

Un éclat furtif ainsi qu’un bruit mat suivi d’un léger choc contre mes jambes me firent relever le nez de mon bouquin, contemplant alors la présence d’une bouteille d’eau tout juste échouée à mes pieds. J’arquai un sourcil et entreprenais de me pencher pour la ramasser lorsqu’une ombre nous engloutit, moi et mon livre ; je n’eus pas le temps de me dégager qu’elle se cognait soudainement contre sa reliure – la jeune femme de l’ombre, pas l’ombre. Enfin… Ca ne me réussit vraiment pas, cette potion… songeai-je alors qu’elle relevait la tête. Elle resta un moment muette, suffisamment pour que je puisse la dévisager ; je ne l’avais jamais vue, et pourtant, ce n’était pas faute de passer plus de temps qu’il n’en faudrait au sein de Poudlard. L’idée qu’elle était de l’Université nouvellement implantée s’imposa à moi alors qu’elle commençait à s’excuser – et je réalisai que si elle me regardait dans les yeux, ce n’était sans doute pas parce qu’elle était naturellement à l’aise. Je détournai alors volontairement le regard alors qu’elle me tendait mon livre qui s’était échappé de mes mains, la remerciant d’un sourire plus que de mots. Je n’étais pas foncièrement timide, mais je n’avais plus vraiment l’habitude qu’on fixât mes prunelles de la sorte. Elle était nouvelle. Elle ne les avait jamais vus. Et moi, j’avais oublié le pouvoir de fascination de ce qui avait plus valeur de cicatrice aujourd’hui que d’une particularité naturelle étonnante.

Elle se présenta, me tendit sa main que je serrai, et enchaîna. Me demandant si j’étais à l’Université. Si elle me faisait perdre mon temps, si je voulais qu’elle me laisse tranquille, si, si, si ; elle me proposa même de racheter mon livre. Elle ne me laissa pas le temps d’en placer une, si bien que, touché par sa maladresse que je n’éprouvai que rarement au contact des gens, et encore moins sous les effets secondaires de ma potion qui s’éternisaient, je ris. Ce n’était pas moqueur, ni même mesquin, c’était juste… parce qu’elle était touchante. Instinctivement, je tendis le bras et lui attrapai la main, la forçant à rester sur place et, mieux, à l’inciter à s’asseoir. De l’autre main, je levais mon livre devant moi.

    « Il n’est déjà pas un modèle de fraîcheur, alors une rayure de plus ou de moins… »

Je tenais toujours sa main dans la mienne, et rangeai de l’autre mon livre dans mon sac. Stephen King attendra bien que je me sois présenté en bonne et due forme à quelqu’un qui semblait s’être battu contre son caractère pour discuter.

    « Ludwig », continuai-je en levant nos mains jointes en simulacre de poignée de main. « Et je suis encore à Poudlard. L’Université, ce n’est pas vraiment pour moi… »

J’haussai les épaules et laissai retomber nos mains entre nous ; je retournai la sienne pour contempler sa paume. Comme entrée en matière, il y avait sûrement mieux, mais non seulement les effets secondaires de ma potion avaient autant bon dos qu’ils étaient vraiment distrayants que je me disais encore qu’il fallait détendre un peu l’atmosphère. Je la sentais tendue comme une corde d’arc. Du pouce, j’effleurai une ligne de sa main.

    « Tu as une vieille âme… »

J’entendais encore le professeur de Divination me l’annoncer sur un ton solennel et mystique, qui donnait davantage l’impression qu’elle était atteinte de folie latente, aussi ne m’était-il pas vraiment difficile de l’imiter alors que j’en gratifiai Casey. Je lui souris, juste avant de la lâcher enfin. J’étais tactile, j’avais besoin de contacts ; cela relevait de l’instinct et du geste mécanique, je n’observais qu’après coup l’effet que cela avait fait à la personne concernée. Tout le monde n’aimait pas cela, après tout. Je rangeai soigneusement mes mains contre moi.

    « Tu n’es jamais venue à Poudlard avant ? Tu t’en sors quand même ? Ca ne doit pas être facile de se retrouver seule… »

Une pause.

    « Attends. Vitali est ton cousin ? »

Les informations venaient quand elles voulaient, hein.
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Message Posté Lun 19 Nov - 18:18.
J’avais débité une tonne de bêtises en peu de temps, j’avais honte et le fait qu’il n’avait pas vraiment dit quelque chose n’avait fait que renforcer cette impression. Ma timidité a toujours été un gros problème pour moi-même si j’arrive quand même à me lier avec des personnes, je ne fais que rarement le premier pas. Il m’avait quand même l’air gentil et le fait de lui avoir surement fait peur avec mon débit de paroles sans sens m’agaçait. J’avais donc décidé de tourner les talons, de partir avant d’enfoncer un peu plus la situation mais, alors que je venais de lui tourner le dos, une pression sur ma main me fit me retourner un petit peu avant de m’entraîner vers le sol où je pris une position assise à côté de lui. De son autre main, il me montra son livre que j’avais fait tomber un peu plus tôt.

    « Il n’est déjà pas un modèle de fraîcheur, alors une rayure de plus ou de moins… »


C’est vrai que son livre avait l’air d’avoir bien vécu, signe qu’il avait dû le lire des dizaines de fois. En lectrice passionnée, je ne pouvais que le comprendre. Quand un livre me plaît, je peux le relire un nombre incalculable de fois et je ne m’en lasserais jamais. Je lus le nom de l’auteur sur la couverture, Stephen King, auteur plein de talent. Il avait toujours ma main dans la sienne, je n’avais pas l’habitude d’être proche comme ça avec quelqu’un que je connaissais peu voire pas du tout. Il finit par ranger son bouquin dans son sac et se retourna vers moi.

    « Ludwig » Il leva nos mains jointes comme s’il me serrait la main afin de se présenter formellement. « Et je suis encore à Poudlard. L’Université, ce n’est pas vraiment pour moi… »


Je lui fis un sourire à cette phrase, je ne savais pas quoi dire ni faire, en fait, je ne comprenais pas le sens réel de sa phrase. Disait-il qu’il ne voulait pas aller à l’Université ? Ou était-il entrain de me dire que pour lui, il n’était pas assez intelligent pour y aller ? Il haussa les épaules et laissa tomber nos mains toujours jointes entre nous, il tourna la mienne et l’examina attentivement. J’étais un peu tendue, je ne savais pas comment agir face à ses gestes, je n’ai jamais été très à l’aise. Il effleura une ligne de ma paume de son pouce avant de prendre la parole.

    « Tu as une vieille âme… »


Je lui souris d’un rictus amusé. Ce n’était pas très fréquent que quelqu’un me lise les lignes de ma main dès la première rencontre et surtout une rencontre dans cette situation assez inhabituelle.

    « J’imagine que ce que j’ai vécu y a pas mal joué en effet. »


Il me sourit et finit par lâcher ma main. Ca faisait bizarre de perdre ce contact, pas que j’ai ressenti quoique ce soit mais, son contact ne m’avait pas dérangé et le fait de le perdre d’un seul coup après quelques minutes rendait ma main plus légère. Je n’étais pas quelqu’un de tactile et normalement, je n’aimais pas tellement être en contact avec des personnes que je ne connais pas mais, son contact à lui ne me dérangeait pas, il avait quelque chose de rassurant et d’apaisant comme aurait tout bon ami pour une fille. Je souris lorsque je vis qu’il rangeait ses mains contre lui. Il devait croire que je n’avais pas aimé le fait qu’il me tienne la main pendant quelques instants et je pouvais le comprendre car peu de personnes aiment les personnes tactiles, moi la première. Mais, comme je le disais avant, toute généralité à son exception, et pour moi, Ludwig était l’une des exceptions. Il finit par reprendre la parole.

    « Tu n’es jamais venue à Poudlard avant ? Tu t’en sors quand même ? Ca ne doit pas être facile de se retrouver seule… » Il marqua une pause avant de reprendre. « Attends. Vitali est ton cousin ? »


Le fait qu’il venait de réagir à ce que je lui avais dit me fit rire. Je ne voulais pas qu’il croit que je me moquais de lui mais, il avait eu un petit temps de réaction quand même. Cela devenait la partie délicate, la partie où je devais parler un peu de moi et de ma vie, de mon histoire, du pourquoi je ne suis venue qu’à Poudlard maintenant et pourquoi on ne m’y a jamais vu avant alors que mon cousin y est depuis longtemps, pourquoi n’étais-je pas venue étudier ici plus tôt, si ce n’est pas trop difficile à gérer, si je m’en sors. Toutes ces questions que l’on ne cesse de me poser depuis que j’étais arrivée ici. Mais, la plus récurrente était quand même la question qui avait pour but de savoir pourquoi on ne m’a jamais vu avec mon cousin auparavant. C’était vraiment embarrassant pour moi de dire à des personnes que je ne connais pas que mon oncle m’avait reniée en quelques sortes, qu’il n’avait pas voulu m’accueillir dans sa famille alors que j’étais devenue orpheline, qu’il m’avait faite passé pour morte et que même mes cousins ignorés mon existence jusqu’à maintenant. J’étais toujours mal à l’aise mais, cette fois, il y avait quelque chose de différent. Etait-ce ce sentiment de confiance que dégageait Ludwig qui me rendait à l’aise ? Je ne pouvais pas réellement savoir.

    « Je n’étais effectivement jamais réellement venue à Poudlard avant, enfin du moins, je ne m’en rappelle pas vraiment. La dernière fois que j’aurais pu y aller, c’était avant mes 8 ans mais, cette période de ma vie reste assez vague pour moi. Ca n’a pas été évident au début mais, maintenant que j’ai retrouvé Vitali, ça va. Je me sens moins seule, j’ai moins le mal du pays, je me sens mieux enfin moins comme une étrangère mais, pas come si c’était chez moi. et oui, j’ai bien dit que Vitali est mon cousin. » Je lui souris, je ne m’étais pas totalement confiée sur mon passé mais, si nous devions devenir amis, il l’apprendrait bien vite. « S’il t’a fait quoi que ce soit, je ne me porte pas garante de sa personne. »


Je levais les mains en image à ma phrase et je lui souris. J’espérais qu’il ne s’était réellement rien passé entre eux parce que, je n’étais pas prête à me faire des ennemis.
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Message Posté Sam 8 Juin - 14:32.
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