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in the shadow of your heart ◭ FULMINA&ALISTAIR
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
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Message Posté Jeu 25 Oct - 15:45.



no dawn, no day.
i'm always in this twilight

★ noms des participants: Fulmina C. Pletorn, Alistair Silverpyre.
★ statut du sujet: Privé.
★ date: Début octobre 2056.
★ heure: Nuit, un peu après le couvre feu.
★ météo: Il fait nuit, et plutôt froid.
★ saison: Saison 2.
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: Intrigue 2.
★ numéro et titre de l'intrigue en cours: Intrigue 2.
★ intervention de dominus: Non.
★ récompenses: Non.





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Message Posté Jeu 25 Oct - 16:47.



▲ a falling star

fell from your heart

A tous ceux qui aiment les surprises, patientez. A tous ceux qui ont peur de la mort, rassurez-vous. La mort amène la salvation. La vie n’amène que les problèmes. Elle nous teste. Elle nous observe. Elle attend le moment propice. Le moment où on s’y attendra le mien. Et elle vous enserre, en sa poigne de fer, et vous étouffe. Tout doucement. On se perd dans un dédale infernal sans jamais pouvoir trouver son chemin. On tourne en rond, et le pire c’est que, quand on s’en rend compte, il est déjà trop tard. Sans cesse au milieu. Sans cesse entre le bien et le mal. On hésite, mais la vie n’hésite pas. Elle nous impose ses choix, ses désirs sont des ordres auxquels on obéit parce qu’on n’a pas d’autres alternatives. Moi, j’ai longtemps cru au libre arbitre. Et puis j’ai vu ce qu’il s’était passé. J’ai vu la guerre. J’ai vu la maladie. J’ai vu la mort. Je l’ai regardé dans les yeux. Et je lui ai dit de nous laisser tranquille. C’était sans savoir que ce qui m’attendait était bien pire. Les plus chanceux étaient ceux qui étaient déjà parti. Parce qu’ils n’auraient pas à endurer notre supplice. L’histoire d’un monde qui essayait en vain de se reconstruire, toujours rattrapé par une malédiction inéluctable. On avait toujours une longueur de retard. Toujours.

On croit que tout est fini. On croit qu’on peut vivre en paix. Mais on n’a pas une minute de repos. Pas une minute de répit. Moi, j’étais comme un fou. Parce que la dernière fois qu’elle avait oublié, je l’avais retrouvée à deux centimètres du vide. Parce que la dernière fois qu’elle n’était pas venue, elle avait pris la décision de partir. J’avais peur qu’elle recommence. Pas parce que je ne lui faisais pas confiance. Mais parce qu’elle ne méritait pas ce qu’il lui arrivait. Elle ne méritait pas de vivre ça. Et puis, j’avais un peu ma part de responsabilité là-dedans. Un peu trop.

Je déambulais dans les couloirs déserts de Poudlard, en faisant attention de ne pas me faire repérer par un préfet. Et puis je repensais à ce matin. On s’était engueulé. Pour un truc con. C’était toujours un truc con de toute façon. Cette fois, c’était de ma faute. Parce que je ne supportais pas Ray. Et je ne supportais pas qu’il lui parle. J’m’étais énervé. J’avais frappé le mur de pierre. Je m’en étais pris à elle, alors que je m’étais juré de ne plus jamais imploser sous ses yeux. Alors j’étais parti. Je l’avais laissée, là, toute seule. Parce que rien que de voir son regard, ça m’insupportait. Ca me rappelait combien elle était trop. Trop belle. Trop gentille. Trop bien pour moi.

J’étais la bête. Elle était la belle. Jamais je ne saurais expliquer comment elle avait pu tomber amoureuse de moi. Et, au fond, chaque fois que je la voyais, j’avais peur qu’elle me dise que c’était fini. Alors, inconsciemment, je la rejetais avant qu’elle ne me rejette. J’écoutais Simba plutôt qu’elle. Je suivais Hayleen au lieu de la suivre. Je lui faisais du mal parce que je savais qu’elle m’en ferait. Parce que de toute façon, je n’étais pas à la hauteur. Face à elle, je n’étais rien.

Je traînais au sixième étage, sachant pertinemment que je n’y trouverai rien, quand j’ai vu son ombre. Je ne saurais pas dire comment j’ai su que c’était elle, exactement, mais, à ce moment-là, je l’ai reconnue. J’ai pas pu m’empêcher de sourire, soulagé, avant de reprendre mon sérieux. Nous étions en froid. Si j’arrivais la bouche en cœur, elle le prendrait certainement mal. Je m’éclairci la gorge, pour attirer son attention.

« Je sais que la salle commune des Poufsouffles n'est pas de tout confort, mais de là à venir dormir dans les couloirs... »

Elle était assise, dans un coin, mais c’était à peine si elle releva la tête. Un rayon de lumière qui s’échappait d’une des fenêtres trop poussiéreuse pour laisser passer la lune éclairait doucement ses mains. Elles tremblaient.

« Fulmina ? Est-ce que ça va ? »

On connaît les symptomes. On connaît exactement ce que comporte cette maladie. Mais on ne sait jamais réellement ce qu’il va se passer. Je m’accroupis pour me mettre à son niveau. Le sol était glacé. Et, lorsque je pris sa main, je me rendis compte qu’elle l’était aussi. On lui avait laissé du répit. Quelques mois à l’abri d’une maladie qui la rongeait peu à peu. Mais il ne faut jamais sous-estimer la vie. Quand elle a une idée en tête, jamais elle n’abandonne. Sa main m’échappa. Je passais la mienne dans ses cheveux, pour découvrir son visage.

« Hey, dis moi ce qu'il se passe. Tu veux que je t’amène à l’infirmerie ? »

J’avais beau faire le fier, j’étais mort de trouille. On avait joué avec le feu. L’innocence d’une jeunesse brisée. Et j’aurais pu garder cet air à demi inquiet pendant des années si j’avais voulu, l’évidence était la même : on ne contrôlait plus rien.



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Message Posté Sam 27 Oct - 2:18.
Inspire. Expire. Inspire. Expire. C’était ce qu’on avait trouvé de mieux pour te calmer, pour tenter d’arrêter ces tremblements-là. Inspire. Expire. De simples exercices de respiration. Ils n’avaient pas trouvé mieux, et tu en étais donc réduite à respirer profondément pour calmer les battements de ton cœur qui battait toujours aussi fort, de tenter de calmer tes mains qui tremblaient toujours autant. Inspire. Expire. Ce n’était pas si facile que ça en avait l’air. Ton cœur se serrait dans ta poitrine lorsque tu pensais aux dernières minutes qui venaient de passer. Tu avais finalement rejoint le couloir menant à ta salle commune, et tu t’y étais arrêtée, t’accroupissant par terre, ignorant tous ceux qui tentaient de venir te voir pour savoir comment tu allais. Tu ne voulais voir personne. Tu savais que tu n’avais peut-être pas pris le bon coin pour t’installer, mais tu ne pouvais pas aller ailleurs. Tu n’avais même plus la force de te relever. Tes mains tremblaient tellement que tu devais les serrer sur tes genoux pour les en empêcher comme tu pouvais. Tu sentais la crise venir. Inspire. Expire. Tu refusais de te laisser aller. Tu pouvais le contrôler. Tu en étais presque convaincue. Il suffisait que tu y croies. Inspire. Expire. Mais la peur, cette peur intrinsèque de perdre le contrôle était là, et montait en toi. La peur que tu avais ressentie lorsque Alistair et toi vous étiez disputés. À cause de Ray, en plus. Tu avais tenté de lui expliquer que si tu devais lui interdire de parler à tous les gens que tu n’aimais pas, il ne parlerait plus à sa propre maison. Et que c’était complètement ridicule. Ça avait finalement dégénéré, et tu n’étais décidément plus aussi calme à la fin qu’au début. Tu savais que tu avais raison. Tu pouvais parler à qui tu voulais, et lui aussi. Seulement, la façon dont tu as voulu lui faire comprendre n’était peut-être pas la meilleure. Un compromis. C’est ce que tu aurais dû faire. Et c’est peut-être ce que vous seriez arrivés à faire s’il n’avait pas frappé le mur en arrière de toi. Qu’il s’en était pris à toi. Tu t’étais figée, incapable de bouger, incapable de dire quoique ce soit, incapable d’ouvrir la bouche, les mains tremblant tellement que c’en était douloureux. Puis il était parti, et tu t’étais recroquevillée là, tentant de te calmer, de calmer tes tremblements, et d’oublier ce mal de tête qui persistait depuis que tu t’étais levée.

Lorsque tu ouvres les yeux, tu regardes autour de toi. L’endroit t’est familier, mais tu n’es pas trop sûre de tout reconnaître. Tu regardes le lit dans lequel tu es couchée. Tu sais que tu devrais t’y sentir bien, et pourtant, tu t’y sens comme une intruse. Et tes mains tremblent plus fort que jamais. Tu as de la difficulté à te remettre sur tes jambes. Tout ton corps te fait mal et on semble taper dans ta tête, taper si fort que tu as l’impression qu’elle va exploser. Tu regardes autour de toi. Tout ça… Tu sais ce que c’est. Tu le sais, au plus profond de toi, mais tu n’arrives pas à mettre le doigt dessus. Tu cherches ta robe de chambre sans savoir où tu l’as mise. Tu fouilles les tiroirs, tu regardes en dessous de ton lit, et tu finis par la retrouver au pied de celui-ci, roulée en boule. Tu la mets et tu décides de sortir, incommodée par le sentiment oppressant de ne pas être à ta place. Tu n’es pas là où il faut. Tu devrais savoir où tu es. Tu es déjà venue ici. Tu le sais. Alors pourquoi ne reconnais-tu pas cette chambre qui semble être la tienne? Pourquoi, passée la porte, tu n’es plus sûre de quel côté aller? C’est d’autant plus frustrant que tu es convaincue que tu devrais connaître la réponse. À l’état du coin qui t’appartient dans cette chambre, tu y es depuis un moment. Tu devrais connaître les réponses aux questions que tu te poses. Mais ta tête te fait tellement mal… Tu sens que tu vas bientôt t’écrouler, et tu t’assoies finalement dans un corridor, la tête entre les mains, tentant de te calmer. Inspire. Expire. Ça, tu t’en rappelles. Tu sais qui tu es. Par contre, tu n’es pas trop sûre de ce que tu fais ici. Et tu commences à avoir peur. Peur de toi, peur de ces connaissances que tu étais supposée avoir mais que tu n’as plus, peur de ce qui pourrait sortir de l’ombre. Peur de rencontrer quelqu’un. Peur qu’on te voit là, plus vulnérable que jamais. Peur de faire un faux pas. Tu regardes autour de toi, persuadée d’être observée. Tu sursautes au moindre bruit suspect, et ton cœur bat douloureusement dans ta poitrine. Tu as abandonné l’idée de faire cesser le tremblement de tes mains. Maintenant, tout ton corps tremble, faisant s’entrechoquer tes os. Tu serres les dents. Ça ne va plus. Plus rien ne va. Ta tête te fait tellement mal. Tu vois un peu embrouillé. Ta tête se brouille du même coup, et les larmes se mettent soudainement à couler sans que tu puisses les arrêter.

« Je sais que la salle commune des Poufsouffles n’est pas de tout confort, mais de là à venir dormir dans les couloirs… » La voix est lointaine, imprécise. Tu lui jettes un petit coup d’œil, les paupières lourdes. Inspire. Expire. Tu ne veux pas qu’il te fasse du mal. S’il vous plaît, faites qu’il ne te fasse aucun mal. « Fulmina ? Est-ce que ça va ? » Fulmina. Ça, c’est toi. Tu reconnais le nom sans problème, maintenant qu’il l’a prononcé. Tu le sens s’accroupir à côté de toi, et quand il prend ta main dans la sienne, tu recules, te tassant encore plus contre le mur. Il va te faire du mal, tu en étais sûre, maintenant. « Hey, dis-moi ce qu’il se passe. Tu veux que je t’amène à l’infirmerie ? » Mais pourquoi veut-il tant t’aider? Pourquoi semble-t-il se soucier autant de toi et de ton état? Tu relèves finalement la tête après un gros effort, toujours aussi tremblotante, l’observant comme une bête effarouchée. « Je… Je ne… S’il vous plaît… Ne me faites rien… Je ne vous connais pas. » Puis tu te mets à le répéter comme une litanie, comme si ça allait changer quelque chose. « Je ne vous connais pas. Je ne vous connais pas… »
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Message Posté Sam 3 Nov - 18:20.



▲ come on skinny love

just last the year

« Je… Je ne… S’il vous plaît… Ne me faites rien… Je ne vous connais pas. »

Je fronce les sourcils. Je comprends rien. Si c’est une blague, elle n’est pas drôle. Mais je comprends vite que c’en est pas une. Le regard hanté par la mort. Le visage pâle. Les lèvres blanches. Je sais que c’est elle, mais je ne la reconnais pas non plus. Et elle tremble. Et elle a l’air effrayée. Et si elle ne se rappelait jamais ? Je refuse d’y penser. C’est trop dur. Je la regarde. J’espère encore qu’elle va me dire qu’elle rigole. Qu’elle se venge. Mais ça ne vient pas. Elle répète en boucle les mêmes mots. Et moi, tout ce que je fais, c’est me taire. Parce que je ne contrôle plus rien. Parce que je n’arrive pas à croire qu’elle puisse vivre ça. Elle ne mérite pas ça. Pas comme ça. Elle mérite une vraie vie. Pas une maladie qui la ronge et qui prend sa vie petit à petit.

« Je ne vous connais pas. Je ne vous connais pas… »

Je m’écarte. Je lâche sa main. Je la laisse respirer. Peut-être que si elle reprend ses esprits, ça ira mieux. Mais je comprends pas. Ca n’était jamais arrivé auparavant. Et j’aurais jamais cru que ça arriverait un jour. Disparaître de sa mémoire. Ne plus exister. Au fond, on dépend des autres. De leurs souvenirs. Sans eux, on n’est rien qu’un beau parleur. On n’est rien du tout. Et en regardant dans ses yeux, j’voyais bien que c’était mon cas à présent. Mais j’essayais. J’espérais encore. Ca ne pouvait pas se finir comme ça.

« Ok, calme toi, regarde moi, Fulmina, c’est moi. C’est Alistair. »

Je prenais son visage entre mes mains, elle était glacée. Je la forçais à me regarder, c’était tout ce que j’avais trouvé, le pouvoir de la vue. Mon visage était à peine éclairé par la lumière de la nuit. Mais c’était suffisant. De toute façon, elle n’avait pas besoin de ça. Elle n’avait pas besoin de ça pour me reconnaître. J’essayais de me convaincre. J’essayais de me persuader. Mais ma voix tremblait, elle aussi. Parce que j’avais trop peur qu’elle s’en aille et qu’elle me laisse. Et parce que j’avais l’impression que c’était trop tard.

Mais ce qu’il y a de beau, dans le déni, c’est qu’on fait tout pour se persuader du contraire. Alors je continuais à plonger mes yeux dans les siens. A espérer qu’elle se rappelle. Elle ne pouvait pas m’oublier, ce n’était pas possible. Elle faisait partie de moi, et moi d’elle, c’était comme ça. C’était comme ça. Je déglutis. Rien. Pas d’éclair dans ses yeux. Pas de sourire réconfortant. Pas de rire cristallin. Pas de blague. Juste deux étrangers perdus dans la nuit. Juste deux étrangers qui luttaient pour la survie d’un passé oublié, et d’un futur qui semblait également compromis. L’une était malade. Et ça rendait l’autre fou.

Alors je lâchais son visage pour prendre ses mains. Peut-être que ça marcherait comme ça. Peut-être qu’en calmant ses tremblements, comme j’avais fait autrefois, ça marcherait. Je levais les yeux vers elle. J’attendais un signe, un geste. Mais elle était toujours perdue. Et moi aussi. Allez, allez, s’il te plaît, rappelle-toi. Les mots qui rythmaient mes pensées. Mais ça ne fonctionnait pas. Rien ne semblait y faire.

On nous apprend à utiliser la magie. On nous apprend à créer des potions. On nous apprend l’histoire des peuples. Mais on ne nous apprend pas ça. Comment lutter contre une maladie fourbe qui prend tout et ne donne rien. Comment sauver ceux qu’on aime de l’oubli. Comment réussir alors que tout autour, l’univers s’acharne. On avait commis une faute. On avait voulu jouer avec la mort. Et voilà que la vie me la reprenait.

Je lâchais doucement ses mains. Je me relevais. Je commençais à faire les cent pas. Mon cerveau bouillonnait. Il fallait que je fasse quelque chose. Oui. Mais quoi ? Si jamais il n’y avait pas de recours. Si jamais elle perdait la mémoire pour toujours. Alors tout ce qu’on avait vécu, on l’avait vécu pour rien. Et je refusais de croire que c’était le cas. Je refusais que ça s’arrête là. Par égoïsme, d’abord. Parce que sans elle, je n’étais rien qu’un pauvre idiot perdu dans une vie qui ne m’appartenait pas. Mais aussi pour elle. Parce que j’étais persuadé qu’on était faits l’un pour l’autre. Et que c’était comme ça.

Elle, elle aimait la vie. Rien ne l’arrêtait jamais. Elle brûlait, elle brûlait de cette folie de vivre parce qu’elle savait que son temps était compté. Moi, j’étais hanté par la mort. Par ce que j’avais fait. Par ce que ma famille avait fait. Parce que tout autour de moi, les tombes fleurissaient. Et puis on s’était rencontré. Et tout avait changé. Tout avait trop changé pour retourner à la case départ. Je refusais qu’on me vole une partie de ma vie. Je refusais qu’elle ne se souvienne de rien. Parce que pour moi, elle était tout. Et c’était bien ça qui me faisait peur.

Un coup de poing contre le mur. Saleté de maladie. Je m’approchais d’elle, à nouveau. La meilleure des solutions, ça aurait été de l’emmener à l’infirmerie. Et c’était ce que je m’apprêtais à faire.

« Ecoute, je sais pas ce qu’il se passe mais il faut que tu ailles voir un médicomage, tu peux pas rester comme ça. »

Je passais son bras autour de mon coup et tenta de la soulever. Elle était légère, mais elle tremblait trop, et ça me faisait peur. J’ai failli la lâcher mais je l’ai rattrapée. J’entendais son souffle, court. Je sentais ses tremblements contre mon corps. Jamais je ne l’avais vue aussi mal. Et je me demandais ce qu’il s’était passé. Pourquoi on lui avait infligé ça à elle, et pas à moi. Elle ne méritait pas de subir ça. Personne ne méritait ça.



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