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« La haine donne une raison de vivre. » ◮ SIMBA, DAISY & DEHLI. [PM]
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
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Message Posté Jeu 30 Aoû - 13:18.



i wanna live like music, rolling down the streets.
hey looking at you i wanna take you to the back of the room..

★ noms des participants: Simba, Dehli & Daisy
★ statut du sujet: on va dire groupe vu qu'on est trois, mais cey privé
★ date: vers fin septembre  « La haine donne une raison de vivre. » ◮ SIMBA, DAISY & DEHLI. [PM] 278701
★ heure: vers 19 heures, après le repas
★ météo: pluie on est en écosse oh
★ saison: 2
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: 2x01
★ numéro et titre de l'intrigue en cours: 2x01
★ intervention de dominus: nope
★ récompenses: non plus





Daisy M. McBerry
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Message Posté Sam 1 Sep - 15:48.
La foule. Un mot qui, pour une personne constituée normalement, n’inquiéterait pas. Un mot commun, utilisé dans la vie de tous les jours, qui est inoffensif pour la plupart des gens. Mais elle n’était pas comme tout le monde, sinon ça se saurait ! Non, elle, rien qu’à l’évocation de ce nom, des plaques rouges se forment sur son corps. Une boule vient lui serrer l’estomac et la gorge. C’est simple, elle panique. Et elle n’est même pas encore devant cette dite foule. Non, elle est tapie dans sa chambre, redoutant le moment où elle devra sortir, se confronter au monde extérieur. Et cet instant approchait à grand pas, sans qu’elle puisse y faire quelque chose.

    Cher Journal,

    Je suis de plus en plus mal. Avec tout ce qui se passe en ce moment à Poudlard, je suis au plus bas. J’ai encore plus de difficulté que d’habitude à affronter les autres élèves. C’est bien simple, je les évite le plus possible. Et lorsqu’une altercation éclate, je fais celle qui n’a rien entendu, et je continue ma route. C’est malheureux, mais je n’y arrive plus. Je n’arrive plus à garder ce sourire de façade ou cette bonne humeur apparente. La seule chose que je peux encore faire, et qui ne me demande pas un effort surhumain, et d’aller en classe. Je me noie dans le travail et dans les cours pour oublier que, au fond, je suis plutôt seule. Eden est parie chez les Russes, et depuis Journal, je me sens vraiment délaissée. Personne ne me comprend ici, ou du moins essaie de me comprendre. Je ne demande pas grand-chose, juste qu’on arrête de se moquer de moi. Ma carapace commence à s’effriter, et je ne sais pas combien de temps elle va encore pouvoir tenir…


Le bruit de l’horloge vint rappeler la jeune fille à la réalité. Elle devait y aller. Aller se confronter à cette foule. Prenant son courage à deux mains, ou tout du moins ce qu’il en restait, la demoiselle sortit de sa tanière. La salle commune grouillait de gens, tous plus pressés les uns que les autres. Daisy traversa rapidement la pièce, la tête baisée, en espérant que personne ne la remarque. Elle prit bien son temps pour se diriger vers la grande salle. La jeune femme fit bien attention de prendre des chemins et des couloirs peu utilisés, dans le seul but de croiser le moins de monde possible.

La Gryffondor engloutit son repas en quatrième vitesse. Tout ce bruit l’oppressait, et elle avait qu’une seule hâte : retourner dans son dortoir. Les couloirs du château étaient froids et sombres. Rien de bien accueillant ! La pluie battante tapait sur les carreaux des grandes fenêtres, alors que la brunette était déjà au troisième étage. Jusque là, elle n’avait croisé personne, et elle espérait de tout cœur qu’elle allait continuer ainsi. Passant rapidement près d’une fenêtre, la rouge et or ne fit pas attention au bruit de goutte d’eau tombant sur le sol, et ne vit donc pas la petite flaque qui s’était formée sur la pierre froide. D’un coup d’un seul, Daisy se retrouva face contre terre, et sentit une violente douleur lui prendre sa jambe droite. Outch. Des rires aigus et cruels s’échappèrent soudain de derrière elle. Cela lui glaça le sang. Elle était tétanisée, n’osant plus se relever. Elle les avait déjà entendu auparavant, et ne les connaissait que trop bien. Ils n’annonçaient généralement rien de bon…
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Message Posté Sam 1 Sep - 19:15.
Armée d'une concentration qui lui était toute familière lorsqu'elle s'exerçait au duel, Farewell plissa les yeux, se mordilla la lèvre inférieure et baissa l'échine. Sa baguette fendit l'air et quelques mots s'échappèrent vivement d'entre ses lèvres. L'éclair argenté ne fut pas suffisamment rapide et, sans qu'elle ne puisse comprendre comment ou pourquoi, la jeune femme se retrouva projetée à quelques mètres de l'endroit où elle se tenait précédemment, tandis que sa précieuse baguette se coinça entre les doigts de soin adversaire. Quelque peu déboussolée, Simba demeura écrasée contre le sol, les bras en croix, pendant une très longue seconde. Elle reprit rapidement ses esprits et se leva d'un bond, époussetant la robe verte de son uniforme, qui avait été plutôt malmenée par la serpentarde du choc. Simba osa planté son regard dans celui qui lui faisait face, sur le coup, complètement énervée par la tournure qu'avait pris leur duel. Depuis quand Ray parvenait-il à lui arracher la victoire au cours d'un duel ? Elle ne s'étonnait plus de perdre face à lui lorsqu'ils s'adonnaient à l'escrime - bien que depuis peu, elle ait acquis en force et en stratégie, Simba demeurait une escrimeuse qui n'avait rien d'extraordinaire. Toutefois, à sa connaissance, le duel demeurait son domaine à elle, là où elle parvenait à exprimer l'entièreté de son talent. Et elle était douée en cette discipline, personne n'allait le contredire. Cette défaite face au serpentard, qui n'était pas le meilleur duelliste qui soit, était tout bonnement incompréhensible. Dans un sens, comme leur relation résidait en un échange mutuel d'apprentissages, elle n'aurait pas dû être offusquée de la situation. Mais Simba était orgueilleuse et n'acceptait que très rarement la défaite. Elle devait toutefois s'avouer distraite, ces derniers temps. Préoccupée par divers aspects de sa vie personnelle, Sim' tentait tant bien que mal de faire le vide dans son esprit lorsqu'elle maniait sa baguette magique, mais il semblait évident qu'elle n'y parvenait pas totalement. Une fois qu'elle eût repris ses esprits et qu'elle termina de lisser les plis de sa jupe, la jeune sorcière redressa la tête et adressa un sourire sceptique - mais qui se voulait joyeux - à Ray. « Eh bien, tu t'es êtes beaucoup amélioré. » lança-t-elle d'un ton qui, encore une fois, se voulait enjoué sans être entièrement franc. Simba poussa un léger soupir avant de pointer sa baguette, qui était encore coincée entre les doigts de son adversaire. Elle n'avait pas à dire quoi que ce soit: le geste était impérieux, sans équivoque.

Un pas se fit entendre et ce n'était personne d'autre que sa soi-disante cousine. Oui, c'est bien compliqué entre elle, adopté par le père de Simba -qui n'avait pas vraiment eu le choix-, elles sont vite devenues inséparable. « Tu tombes bien Delhi, j'en peux plus et il m'énerve ! » la jeune Simba lança un regard noir à Ray qui celui-ci éclata de rire sous les râlements de celle-ci. Oui, Simba est une mauvaise perdante mais que voulez-vous ? C'est de famille. Sa cousine rigole à son tour et l'invite à la suivre direction les gryffondors. Simba la regarde avec étonnement et celle-ci lui dit qu'elle veut s'amuser. Ouais sauf que Simba n'avait pas vraiment envie de le voir. Delhi remarquant sa tête de chien battu, lui dit de pas s'en faire et qu'elle ne tombera pas sur lui -bah voyons, c'est un gryffi tout de même, il y a genre 100% de chance de le croiser- Disons que c'est compliqué pour l'instant, elle passe beaucoup plus de temps avec lui mais d'un autre coté elle se braque par peur de se trouver trop faible face à lui car oui, ce n'est la pas la même en sa présence et l'évite depuis quelque temps. Quoi qu'il en soit, elles se dirigent vers le troisième étage où elles croisent Daisy, jeune gryffondor un peu -beaucoup- maladroite et bizarre. Malheureusement pour elle, elle fait volte face au plafond à cause d'une misérable flaque d'eau qu'elle n'avait pas vu. Ni une, ni deux les deux cousines éclatèrent de rire devant la moue malheureuse de Daisy. « Oh ma pauvre petite chérie, tu veux un coup de main peut-être ? » ce ton dont seule Simba avait le secret pour glacer le sang des autres.
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Message Posté Dim 2 Sep - 12:47.



she expected the world
when she was just a girl




« Mademoiselle Singh ! Debout ! » La joue enfoncée dans ses fins bras croisés, elle ouvrait à nouveau ses yeux, recouverts d’un voilà léger. Où était-elle ? Que faisait-elle ? Et surtout, qui était cette personne qui osait la réveiller alors qu’elle était plongée dans un profond sommeil ? Ses longs cheveux noirs et bouclés laissaient enfin apercevoir un visage. Mettre un visage sur une voix. Bitch. Le seul mot qui lui venait en tête. Elle détestait ce professeur. Salle de cours poussée dans l’obscurité, elle avait soigneusement choisi le dernier rang pour reposer ses yeux qui lui brûlaient. Elle posait alors sa tête sur une de ses mains, et attendait le moment où elle se ferait virer du cours. Elle avait l’habitude. Les cours n’avaient jamais été son fort, bien au contraire, celle qui était douée dans ce domaine, c’était sa sœur, pas elle. Dehli n’était, après tout, douée pour rien. Elle ne savait pas dessiner, elle détestait la photographie, se moquait des chanteurs, bousculait les danseuses sur leurs pointes. A part la méchanceté gratuite, elle ne savait rien faire. Du moins, en apparence. Si l’on creusait un peu, elle était extrêmement douée pour le mensonge et la tromperie, jusqu’à s’inventer une toute nouvelle vie, sans que personne ne puisse s’en douter. Elle poussait un profond soupir avant de quitter la salle. Elle n’avait pas honte. Elle était comme ça, et le premier qui osait la regarder de travers allait comprendre sa douleur. Claquement de porte, un bruit sourd résonnait dans le grand couloir. Pourquoi avait-elle choisi soins aux créatures magiques comme option ? Erreur stupide, juste pour remplir ses heures de libre, celles qu’elle allait passer à penser à sa sœur décédée il y a deux ans, alors elle évitait ces moments pour réfléchir sur sa vie, sur ses mensonges. Se remettre en question, avoir le temps pour tout regretter. Voilà ce qui l’effrayait. Au fond. La serpentard se pavanait dans les couloirs et s’arrêta net devant les toilettes. Se plonger la tête dans de l’eau fraiche, boire, se réhydrater, et se changer les idées. Sa tête se relevait, et Dehli contemplait son reflet. Elle avait les mêmes cheveux que sa grande sœur, le même regard innocent, de longs doigts. Seul le son de l’eau qui coulait retentissait dans les lieux déserts. Qui aurait voulu s’aventurer dans la même pièce qu’une garce en colère ? La main encore plongée sous l’eau glacée, elle jetait des gouttes sur son reflet avant d’éclater en sanglots. L’eau terminait dans le siphon, qu’importent les économies d’énergie. « DÉGAGES ! » Une première année n’avait toujours pas compris qui faisait la loi à Poudlard. Les pousouffles, tous des ratés. D’un coup de baguette, la sorcière venait fermer la porte fermement, avant de nicher sa tête détruite par les larmes, dans le creux de ses cuisses. Elle ne supportait plus cette vie. Elle ne supportait plus l’absence de sa sœur, l’ignorance de Ludwig, ses mauvaises notes, ce couvre-feu, cette prison qu’était Poudlard, cette prison qu’était ses mensonges, les uns après les autres, ils la détruisaient, à petit feu, sans même qu’elle ne s’en rende compte. Victime de son caractère pitoyable. Elle se mettait les chaines elle-même, fermait sa cellule avant de jeter les clés dans les égouts. Elle s’enfermait dans cette Dehli hargneuse et mauvaise, celle qu’elle n’était pas avant le rejet de ses parents…

________


Les portes des toilettes s’ouvraient à nouveau. Une fille de taille moyenne, rayonnante par le sourire qu’elle portait, sortait des lieux. Qui se serait douté, qu’elle avait pleuré pendant le restant de son heure de cours ? Dehli traversait les différents couloirs du château pour retrouver sa cousine, Simba. Toutes deux à Serpentard, elles étaient comme les deux doigts de la main, liées par un secret, celui de la vie de Dehli, la véritable du moins. Lorsque la brune était triste, elle décidait de se venger sur les autres, sans même avoir de raison valable. C’était comme ça, ils allaient subir ses changements d’humeur. Les duels avaient déjà commencé, lorsqu’elle entendait sa cousine râler sa défaite. « Tu tombes bien Delhi, j'en peux plus et il m'énerve ! » Elle esquissait un sourire narquois. Elle se fichait de ces duels, sauf si elle pouvait massacrer quelqu’un au passage, Perpetua par exemple, sa fausse meilleure amie qui s’approchait un peu trop de Ludwig. Elle attrapait sa cousine par le bras. Elle avait besoin de faire du mal. A croire qu’elle était sadique, qu’elle aimait ça. Entendre des cris de détresse, avoir le pouvoir sur autrui et en profiter, sans aucune gêne, sans avoir aucun scrupule. Les gryffondors. Ils étaient sa cible, bien que les poufsouffles restent les pires créatures à ses yeux. Elle zappait la tête de chien battu de sa cousine et continuait sa route. Après tout, elle pouvait aussi croiser Ludwig, mais elle continuerait son chemin et ferait semblant de ne rien ressentir, comme elle le faisait toujours face à lui. Avoir un cœur et aimer étaient plus dur que d’être la garce de service, de son point de vue, chose que personne ne comprenait. Les yeux plantés sur le sol, elle oubliait presque sa nouvelle victime qui tombait sur le sol. Réveillée dans ses songes, et ses peurs de croiser l’homme qu’elle aimait, elle relevait la tête et commençait à rire. Enfin. Elle allait pouvoir se défouler sur quelqu’un. « Oh ma pauvre petite chérie, tu veux un coup de main peut-être ? » Elle souriait à nouveau. Sa cousine était mauvaise, comme elle, et elle aimait ça. Daisy n’avait rien fait, n’avait rien demandé, et pourtant, Dehli voyait de la provocation dans chacun de ses gestes. Elle cherchait simplement une bonne raison pour lui faire du mal, l’atteindre, plus que les autres fois. Aller toujours plus loin. Les couloirs étaient froids, sombres et personne n’osaient s’y aventurer. Daisy était tombée au mauvais endroit. « Qu’est-ce que tu fous là McBerry ? Et toute seule en plus ? » Un ton ironique. Elle allait prendre cher, elle devait s’en douter. La serpentard croisait ses bras, elle commençait enfin à s’amuser.






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Message Posté Mar 4 Sep - 20:37.
Elle était là, comme une gourde, allongée sur le sol de pierre froid et humide. Elle n’osait pas se retourner, de peur de voir leurs visages. Ces visages si perfides, qui portaient la méchanceté sur eux. Non, elle ne voulait pas, et elle en était incapable. Elle ne pourrait pas regarder ces deux jeunes femmes dans les yeux sans craquer. Elle le savait, et c’est pour cela qu’elle préférait rester immobile. Peut-être qu’elles n’allaient pas la voir ? Peut-être que leurs rires s’adressaient à quelque chose d’autre ? Oui, peut-être qu’on ne la remarquait pas allongée par terre… Mais elle en doutait. Non, elle était même persuadée que ces rires moqueurs lui étaient destinés. Et elle en eut la confirmation lorsqu’elle entendit l’aide de Simba, plein de sous entendu, ainsi que la voix de sa cousine, tout aussi méchante et mauvaise qu’elle.

Alors que faire ? Peu d’options s’offraient à la jeune Gryffondor. Elle pouvait, bien entendu, s’enfuir en rampant sur le sol tel un serpent. Mais cette idée fut vite écartée en raison de la douleur qui refit surface dans sa jambe droite. Non, elle ne pouvait aller nulle part comme ça. Deuxième option, se relever, et faire face aux deus Serpentard. Alternative également rejetée rapidement. La rouge et or ne pouvait pas leur tenir tête. Tout d’abord, elle ne savait pas comment faire, et ce n’était tout simplement pas dans son naturel de répondre aux attaques qui lui étaient lancées. Ce qui laissait alors la troisième, et dernière option : faire la morte. Oui, si elle faisait la morte, les deux cousines diaboliques seraient, soit obligées de l’emmener à l’infirmerie, soit passer leur chemin.

Daisy entreprit donc de paraitre décédée. Chose, qui pouvait sembler facile, mais qui ne l’était en réalité pas du tout. C’était très dur de rester immobile comme ça mine de rien ! Malheureusement pour elle, son nez eut la bonne idée de la faire éternuer à ce moment précis. Satané allergie ! Elle n’avait plus d’autre choix. Elle devait faire face à ces deux furies.

Dans un mouvement qui se voulait lent et gracieux, la jeune sorcière se redressa. Il ne lui restait maintenant plus qu’à se retourner. Ce qu’elle fit, d’un pas peu assuré. « Ah… Delhi. Simba… » Que faire, que dire ? Elle était totalement tétanisée. Le moment redouté était arrivé, et elle ne savait pas du tout comme se sortir de ce pétrin. Elle prenait bien soin de ne pas croiser leur regard, chose qui la paralyserait probablement encore plus. Non, elle préférait regarder ses pieds, et la maudite flaque qui l’avait fait tomber. En cet instant, elle haïssait profondément cette flaque d’eau. Sans elle, la jeune fille aurait continué son chemin jusqu’aux dortoirs, et n’aurait surement jamais rencontré ces deux terreurs. « Vous…. Allez bien ? » Voilà la seule question qu’elle avait réussi à prononcer. Sa voix tremblait et chancelait. Les deux Serpentard allaient faire qu’une bouchée d’elle, et elle en était consciente. Il ne lui restait plus qu’à prier pour que cela ne soit pas trop dur à encaisser…
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