VULNERA SAMENTO FERME SES PORTES ▲
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◮ You don't know the meaning of fear {Calipso&Taryn&Louise }
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
Dominus Tenebrae
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Message Posté Jeu 11 Aoû - 14:47.
i thought i understood it

but i didn't


Qui sait ce qui vous a réuni ici en pleine nuit. Un cauchemar qui vous tourmentait. Une insomnie face aux évènements qui se produisent à Poudlard. Ou tout simplement l'envie d'en découvrir plus. Comme tout le monde, vous avez entendu la rumeur selon laquelle du sang avait été retrouvé dans une des salles vides. Ni une ni deux, vous avez décidé de vous y rendre pour enquêter. Mais, souvent, les choses ne tournent pas comme on le voudrait. Les portes se referment sur votre passage. Les lumières s'éteignent. La pièce a été ensorcelée. Vous n'avez plus que vos baguettes et votre sang froid pour passer une nuit pour le moins mouvementée. La porte qui communique avec une autre classe vide s'ouvre et quelque chose semble en sortir. Un énorme serpent, pour être exact... Montrez vous solidaires et malignes, Dominus a envie de s'amuser un peu et vous pourriez bien y laisser votre peau...


◮ L'ordre de passage est indiqué par le titre. Calipso sera la première à poster, suivie par Taryn et Louise.

◮ Dominus interviendra lorsqu'il le jugera utile.


Bon jeu




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Message Posté Jeu 11 Aoû - 16:24.
    Il était si tard, tellement tard pour tout dire. Mais rien à faire Calipso ne trouvais pas le sommeil. Il faut dire que les récents événements avaient pour le moins titillaient le sommeil de notre jeune Serdaigle. Prise d’une nouvelle insomnie se soir, elle décidait de se lever et de partir, seule à la recherche d’un indice, quelques choses qui la mènerait sur la bonne piste. Calipso, était loin de croire qu’elle allait réussir, mais cela ne lui ferait pas de mal une petite balade nocturne dans le château, et pour excuse ? Elle est préfète en chef, elle veut juste voir si quelqu’un ne rôde pas trop tard dans les couloirs. Mais alors pourquoi se dirigeait vers le sixième étage ? Tout simplement car il y avait cette rumeur. C’elle qui laisse croire que du sang aurait été découvert dans une des pièces vide de cette étages même. Pour Calipso, courageuse et têtue, il était grand temps, de voir les bien fondé de cette rumeur. Elle allait voir ca de ses yeux. Du sang, quoi que l’on dise et que l’on fasse, sa tache et sa ne part pas si facilement. Et maintenant directions ses maudit escalier. Et bien entendue, il fallait que Calipso s’éclaire. Car avancer à tâtons ce n’est pas facile, et encore moins à cause des tableaux. Effectivement, si Calipso avait le malheur dans effleurer un du bout des doigts, elle pouvait être sûre, que la personne l’occupant râlerait sans attendre de savoir qui c’est et encore moins pour quelle raison il à était touché. Calipso prit donc les devant. « Lumos » murmura t’elle. Et au bout de sa baguette de vingt-deux centimètre, faite en lierre, parut une lumière blanche, légèrement bleuté quand on l’observe bien. La jeune Serdaigle fessait bien attention de ne pas lever un peu trop la baguette, car si être touché déranger les tableaux, une lumière vive et importune comme c’elle que procure un Lumos, ne les feraient que hurler. Et c’est ainsi que Calipso se rendit aux escaliers.

    Toujours égales à eux-mêmes, ils ne faisaient que bouger. Un coup à droite, et un autre coup à gauche. Et hop sa descend et sa monte. Seuls les paliers restaient fixes. Calipso avant de monter, dirigeas sa baguette vers le haut. Prévoyante, elle regardait par où elle devait passer pour atterrir au bon endroit. Il était clairement compréhensif que la jeune femme qui ne trouvait plus le sommeil depuis deux ou trois jours, n’allait pas s’amuser à descendre et monter ses escaliers, alors que ses forces étaient relativement réduites à cause du manque de repos. Et de plus, plus elle resterait sur ses escaliers, plus ils bougeraient. Une fois que l’itinéraire fut tracé, elle se lança prudemment sur ses escaliers, aussitôt, ce fut le rodéo du siècle ! À l’étage suivant, Calipso fit une erreur. Et pris à droite au lieu de gauche. Elle trouvait les escaliers bien plus agitaient que d’ordinaire. Et plus bas, elle crut voir une lumière. Si une autre personne qu’elle se trouvait sur les escaliers, se serait bien normal qu’ils soient encore plus mouvementaient. Mais ce ne serait pas ca qui stopperait Calipso. Elle poursuivie son ascension. Elle se trouvait enfin au sixième étage. Calipso prit un peu de temps pour regarder derrière elle. Cette lumière l’avait intriguée. Calipso commençait à rebrousser chemin, histoire de voir si quelqu’un la suivait, si cette lumière était toujours là, ou si ce n’était que son esprit qui lui jouait des tours. Mais soudain, il y eu un bruit. La demoiselle fit un demi-tour, et pointa sa baguette en direction du bruit. Rien, les lieux étaient déserts. Elle jetât un petit coup d’œil par-dessus son épaule pour cette lumière, mais rien. Elle continua en direction du bruit, baguette lever et dirigée vers l’endroit même. « Bon sang allez-vous donc éteindre cette lumière ! » un tableau râleur. Calipso lui offrit son plus beau regard noir, et sévère. Le tableau, ne dit rien de plus car en même temps de ce regard, elle prononça le mot suivant : « Nox » Et sa baguette perdit cette lumière si gênante pour se râleur.

    Calipso avait éteint sa baguette, car une lumière provenait d’une salle. Décidée à s’y rendre, elle suivait tout simplement la piste de la lumière. Une fois arrivée, ce ne fut pas bien compliqué. La pièce était vide ! Plus vide que cela on ne pouvait pas. Sur le mur, il n’y avait ni trace de tableau, rien. Pas même une chaise au sol. Il y avait juste au fond de la pièce une porte. Calipso, voulait ressortir de la pièce pour ce rendre à une autres. Impossible ! Elle entendit des pas, et bientôt, face à elle, une demoiselle, puis une deuxième. Mais, elles font quoi ici c’est deux là ! Calipso, voulait leur demander. Mais elle n’eu pas le temps de dire quoi que se soit. Un grand boum ce fit entendre. La porte venait de claquer. Calipso, pensait que c’était une farce d’un élève aussi nocturne qu’elles. Elle se dirigea vers la porte et tourna la poigner ronde. Bloquer, la porte ne s’ouvrait pas. Baguette en main, elle en dirigea le bout vers la serrure. « Aloh … » Mais Calipso n’eu pas le temps de finir de prononcer le mot qu’un bruit de serrure ce fit entendre. Elle empoigna de suite la poigner ronde de la porte et tourna. Mais une fois de plus c’était fermé. Calipso se tourna vers ses camarades. La lumière, s’éteignait d’un seul cout. Un son étrange ce fit entendre. Un son se serpent. Calipso pointa sa baguette vers la provenance du bruit. Elle se préparer à lancer un Lumos.
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Message Posté Jeu 11 Aoû - 22:22.
    ◮ You don't know the meaning of fear {Calipso&Taryn&Louise } 1105290144121174278233894


    Tic. Tac. Tic. Tac. Ploc. Ploc. Ploc. Je me retournais pour la énième fois dans mon lit. Les draps frais qui me recouvraient appelaient au sommeil et ne faisaient que me narguer. Je ne parvenais pas à entrer en contact avec Morphée. Ce soir, il ne voulait pas de moi. Ses bras semblaient pourtant si grands... Mais il m'y refusait l'accès. Je regardais le réveil qui se trouvait juste en face de mes yeux. Passé minuit. Ce n'était pas comme ça que j'allais être en forme, pour affronter Voix et méchantes personnes, demain... Finalement, je laissais tomber l'idyllique idée de dormir. Je louperai sûrement la plupart des cours de demain... C'était grave, oui. Mais j'en avais assez de me retourner sans cesse. Je repoussais les draps et les couvertures pour enfiler des chaussons. Vêtue d'une longue robe couvrant mon corps juvénile, l'on aurait pu me comparer à la Dame Blanche, tant que mon visage restait dans l'obscurité. Bon, une dame Blanche mal habillée, certes. La robe était rose et des bonbons étaient imprimés dessus. Plus kitch, tu meurs. Mais c'était un cadeau de ma mère et... Les cadeaux, cela ne se refuse pas. Je marchais, sans bruits, afin de ne pas réveiller les quelques filles qui partageaient ma chambre et avec qui j'avais toujours entrenu des liens cordiaux bien que tendus. Si je faisais une bourde... Comme les réveiller, par exemple... Je signais mon arrêt de mort. Et non, je n'exagérais pas le moins du monde. Croyez-moi, j'aurais préféré.

    J'ouvris la porte et pénétrais dans l'enceinte du dortoir des Poufsouffle. Du bois crépitait dans la cheminée qui était encore baignée de flammes. Mes yeux se perdirent quelques instants dans sa contemplation, cherchant à en deviner des formes floues. Finalement, un bruit attira mon attention. La première pensée qui se heurta à mon esprit fut de retourner dans le dortoir. Je détalais comme un lapin, récupérais rapidement ma baguette et resortais, le coeur battant, le souffle court, et les sens aux aguets. Mais d'un coup, je fus piquée par la curiosité. Laquelle ? Celle de savoir si, effectivement, du sang était présent dans l'une des salles vides, au sixième étage. Je ne savais pas grand chose sur ça. Les rumeurs avaient du mal à m'atteindre, puisque je ne parlais pas à grand monde... En tout cas, j'espérais ne croiser personne. Je n'avais déjà pas une bonne image aux yeux des élèves de Poudlard, mais s'ils me voyaient... Comme ça... Ce serait fini de ma crédibilité, et je ne sortirais plus jamais de chez moi. Bref, j'avançais vers les escaliers, non sans regarder autour de moi toutes les cinq secondes. « Il faut te dépêcher... Je sursautais. Une voix, rauque et effrayante, m'avait murmuré cela. « Ils n'attendront pas éternellement... Ils ont besoin de toi. » Ajouta une voix plus fluette, comme si elle appartenait à un enfant. Je regardais autour de moi. Les lumières faiblardes éclairaient ma personne mais le reste était baigné de pénombre.

    Je pinçais les lèvres. La peur étreignait amoureusement mon estomac, le nouait en des formes complexes et ingénieuses. Mes mains étaient glaciales, comme le reste de ma personne. « Il ne faut pas être debout à cette heure ! » Je brandis ma baguette vers la source de ces paroles. Un... Un tableau. Juste ça. Mon coeur tambourinait dans ma poitrine alors que je le foudroyais du regard sans m'attarder plus longuement sur sa présence impromptue. J'arrivais aux escaliers qui semblaient mener une danse plus folle encore qu'en journée. Un balais qu'eux seuls maîtrisaient et dont ils étaient les uniques détenteurs du secret, ainsi que de sa maîtrise. Ma fascination pour le monde magique et ses inventions me poussa à m'arrêter pour contempler le sublime cheminement de ces gigantesques escaliers de pierre. Lorsque l'un d'eux arriva à ma hauteur, je me dépêchais d'y déposer mes deux pieds afin qu'il ne parte pas sans moi. Leurs pas étaient effrénés, rapides, dignes d'opéras. Seule la musique manquait à l'appel. Mais le bruit de leur frottements suffisait amplement, bien que la sonorité paraisse macabre et funeste à mes oreilles. Je restais vaillement dans le sillon que je m'étais mentalement tracé, suivant ma route, essayant de ne pas me tromper dans les chemins que j'empruntais. Plus mon corps s'élevait à travers les étages, plus la lumière me semblait faiblarde, comme dans les mauvais films d'horreurs. J'étais terrifiée. Comme la plupart du temps, je suppose. Je n'avais pas osé lancer de sort d'éclairage à l'aide de ma baguette, craignant de me faire remarque d'une chose indésirable.

    Arrivant enfin à ma destination, je ne trouvais face à moi qu'une chose : Une porte. Et quelque chose me disait que je ne devais pas y aller. Mais la curiosité était un vice tellement perfide, sournois, que je ne pus empêcher mes pieds d'avancer d'eux-même, comme s'ils avaient leur propre volonté. Absurde, nous en conviendrons. Je pris mon souffle alors que j'abaissais la poignée et poussais la porte. Je criais. Je m'attendais à être seule, et je ne voyais qu'une silhouette cachée dans l'ombre. J'invoquais, sans y réfléchir, un sort de lumière. « Lumos ! » Ma voix résonna longuement dans la pièce alors que ma baguette éclairait une jeune fille dont le visage me semblait familier. Je me calmais brièvement avant de partir dans un éclat de rire hystérique. Je ne craignais rien... Non vraiment. Mais je m'arrêtais, d'un coup. Pas que j'eusse aperçu quelque chose d'inquiétant. Juste que... Elle me voyait. Elle me voyait dans cette tenue... Affreuse et ridicule. En ce moment, je maudissais intérieurement ma génitrice, ma mère. Et ma naïveté, d'avoir pensé que je ne verrai personne. Ainsi que ma gentillesse, pour avoir accepté de porter une telle horreur. Je me couvris de mes mains, non sans parvenir à tout cacher, la baguette toujours allumée et trop près de mes yeux à mon goût. Je retrouvais ma timidité maladive face aux élèves de Poudlard alors que le calme s'était frayé une nouvelle place dans mon être. Je me mordillais la lèvre inférieure, un tic que je gardais depuis l'enfance. Il fallait que je bouge... Que je fasse quelque chose.

    « Euuuh... Il ne fait pas très lumineux, ici. Tu... Tu as cherché après une lampe ? Et je m'appelle Taryn, ravie. Nous devrions peut-être... Partir. Je trouve que cet endroit n'est pas très... Rassurant. J'en ai la chair de poule. » Je haussais les épaules alors que je laissais tomber l'idée de me couvrir. Je n'aimais pas être privée de ma liberté de mouvement. Je me sentais pire qu'une chenille enfermée dans son cocon. Sauf qu'elle... Elle savait qu'elle allait ensuite pouvoir voler. Moi... Je ne pourrai pas. Pas sans balais, du moins. C'était d'ailleurs quelque chose d'un peu cliché... Mais passons. Je me dandinais, sautant d'un pied sur l'autre, autant pour me dégourdire les jambes que pour chasser le froid qui mordait ma peau avec violence. Je n'étais vraiment pas assez couverte. Il fallait croire que la nuit, Poudlard oubliait toute notion de chauffage. « Par hasard... Tu n'aurais pas une veste ? Ca m'arrangerait... Il fait vraiment... Froid... » Les mots sortaient tous seuls. J'étais tellement nerveuse que le silence me rendait folle et m'empêchait de rester la fille discrète que je voulais être. Ne pas se faire remarquer... Voilà ce qu'était mon but. Tout le temps, durant toute ma vie. Je ne désirais que ça. Mais je commençais à croire que c'était une notion qui m'était interdite, et dont je ne pouvais profiter. Tant que la demoiselle dont j'ignorais le nom ne me disait pas ce qu'elle voulait faire, je préférais ne pas bouger. Je n'étais qu'un mouton : Je suivais les ordres. Dès qu'il n'y en avait pas, j'étais déboussolée et je faisais des bêtises, comme mon initiative de venir ici, ce soir... C'en était une, j'en étais persuadée. Je restais empreinte d'un mauvais préssentiment, alors que mes yeux fouillaient l'obscurité.
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Message Posté Dim 14 Aoû - 21:47.
Je me réveillai en sursaut dans la salle commune des serpentards, le feu crépitait dans la cheminée et la pénombre de la nuit avait noyé le ciel dans sa noirceurs si bien que mes yeux mirent du temps avant de s'habituer à la pénombre environnante. Je les plissai puis commençai à me lever bien décidée à monter dans le dortoir mais je m'arrêtai net devant l'escalier qui y menait. J'avais faim, très faim, trop faim pour dormir. ''Je ne pourrais jamais m'endormir en ayant faim, c'est biologiquement impensable'' me dis-je finalement c'est ainsi que, ni une ni deux, je me rendis dans les couloirs froids de Poudlard. J'étais à moitié endormie, je n'avais pas mis de chaussures et j'avais très froid aux pieds, mes cheveux en revanche étaient impeccables, pas une mèche ne dépassait de ma queue de cheval. Baillant, somnolant à moitié, je m'avançai dans l'école sans vraiment avoir conscience de l'endroit où j'allais. Finalement je m'arrêtai pour me frotter les yeux et regarder autour de moi, il n'y avait que des salles de classe, c'était un couloir étroit et poussiéreux dans lequel même le bruit le plus infime résonnait puissamment. Il y avait quelques murmures qui se faisaient entendre de ci de là c'est pourquoi je décidai de prendre ma baguette

- Lumos

Murmurai-je. Je me tournai sur moi même pour connaître l'origine des murmures mais il n'y avait personne d'autre que moi dans ce couloir, rien que moi, la nuit et...

-Éteignez cette fichu lumière demoiselle.
-Nous souhaitons dormir

Les tableaux ! Un vieux monsieur barbu se tenait dans un de ceux ci en fronçant les sourcils. Il était assis sur une chaise et tenait une canne en bois avec laquelle il martelait le sol dans ses mains en braillant. Le second tableau représentait un jeune homme d'une vingtaine d'années avec une pomme dans la main, derrière lui se trouvait un large banc en bois où un chapeau noir était posé. Il avait les mains plaquées sur son visage pour se protéger les yeux de la lumière de ma baguette. Plusieurs secondes me furent nécessaires avant d'analyser la situation : des stupides bonshommes me donnaient des ordres, à moi ! Mauvaise idée, très mauvaise, lorsque j'étais à moitié endormie il ne valait mieux pas m'adresser la parole. Avec hargne et mauvaise humeur je rétorquai avec agacement.

-Oh ça va hein ! Si vous êtes pas contents vous avez qu'à fermer les yeux et puis c'est tout !

Namého ils se prenaient pour qui ces tableaux ? Ils n'arrêtaient pas de parler tout le temps entre eux alors je pouvais bien les embêter à mon tour pour une fois, de toutes façons s'ils n'étaient pas contents c'était la même chose. Quels empêcheurs de tourner en rond ces tableaux ! Rien que pour les énerver d'avantage je pointai la lumière de ma baguette dans la direction de ceux ci pendant plusieurs secondes avant de continuer ma route en direction de la salle de classe vide. Je m'avançai en baillant encore puis je poussai une porte. Laquelle ? Je n'en avais pas la moindre idée mais il y avait des personnes dedans. Je reconnu Taryn dans une chemise de nuit très euh... particulière dirons nous et une autre fille qui s'appelait Calipso d'après ce que je savais. Je leurs souris d'un air endormie avant de tendre à Taryn mon pull tout chaud qui cacherait à merveille sa chemise à bonbons ou à caniches, je n'arrivais pas très bien à distinguer les formes qui étaient dessinées. Non je n'avais pas chaud, oui j'avais froid à présent que je me retrouvai en chemise de nuit blanche mais bon la mienne n'avait aucun décors ridicules. J'étais sur le point de parler lorsque l'autre fille ouvrit une porte de laquelle se dégageait un son bizarre. Je m'avançai vers la dite Calipso d'un pas joyeux, après tout les serpents étaient mes amis, j'étais une serpentard, ils devaient bien m'aimer, moi je les aimais bien en tout cas.

- C'est un serpeeeeeent ?

Demandai- je avec insistance.

- Yessenia, viens voir y'a un truc là bas, c'est cool, si ça se trouve c'est un serpent ! Quoique en fait s'en est peut être pas un mais c'est pas grave tant que c'est un truc effrayant ça me va.

J'étais à présent juste à côté de Calipso, je m'accroupis à côté d'elle pour mieux admirer. Il ne valait mieux pas que le serpent me saute à la figure sinon j'allais avoir un sérieux problème ainsi qu'une autre jolie cicatrice. D'accord vous avez raison, c'était pas malin c'est pourquoi je ne suis resté dans cette position que quelques secondes avant de me relever.
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