Invitéthis is the wizzarding world of
 | | Posté Mer 13 Juil - 10:40. | |
Dernière édition par Levis J. Roberson le Mer 13 Juil - 10:48, édité 1 fois |
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Invitéthis is the wizzarding world of
| | Posté Mer 13 Juil - 10:46. | | La connaissance, la science, l'histoire. Dans les vieilles pages poussiéreuses de nombreux grimoires, tout y est soigneusement consignés. Grâce à ces livres à la reliure si fragile, rien ne sera jamais oublié. Dans des milliers d'années, l'homme pourra encore chanter nos exploits et cela, simplement à l'aide de morceaux de papiers. Aucune importance ! La bibliothèque peut bien brûler demain, ça me sera complétement égal. Je n'ai que faire de cet endroit miteux et pourtant... C'est là que je me trouvais à six heures du matin, un dimanche. Fou ? Moi ? Très certainement. Je n'ai jamais eu la prétention d'être un saint. Tout ceux qui pensent et désirent l'être sont si pathétiques. Je ne trouve pas d'autres mots pouvant qualifier ces idiots. Je suis certain que parfois, mon cerveau qui à vos yeux paraît si dérangé, m'est d'une très grande utilité. Je n'aurais jamais été capable d'accomplir de grandes choses si je n'aurais pas eu le courage de le faire. Souvent, ma conscience m'abandonne, à ma grande satisfaction ! Cela est peut-être un défaut, mais pas pour moi. Je suis content et je ne compte pas changer. J'ai fait trop d'efforts pour arriver jusqu'ici, alors abandonner pour faire plaisir à mes sentiments, hors de question. Je suis bien trop intelligent pour ne pas céder à la pression d'une partie de mon âme. Une infime partie de mon âme... Aussi noire que l'enfer, le côté que j'affectionne va bientôt faire céder la lumière. Prochainement, tout mes bons sentiments vont disparaître. Ils vont tomber dans un gouffre si profond qu'ils ne pourront jamais remonter, celui de ma haine !
« Combien de temps encore ? Combien de temps vais-je encore devoir jouer les hommes bons et honnête. Je n'en peux plus... je n'en peux plus. Mon heure n'est pas encore arrivée, mais je suis certain, qu'elle ne va pas tarder.» Même en parlant à voix haute, je ne craignais pas d'être entendu. Après tout, la bibliothèque n'était pas un endroit très fréquenté. Même en pleine journée. Mes yeux, cernés par la fatigue ne faisait que prouver mon état. Je n'avais pas dormi depuis plus de 48 heures. Les événements récents me préoccupaient très sérieusement. Que voulaient-donc ces quatre grands sorciers ? Était-ce un signe ? Une menace pour notre monde ? Je n'en avais aucune idée. J'espérais trouver des réponses dans ces livres, mais je n'avais pas beaucoup d'espoir. Après tout, c'était un événement sans précédent ! Des fantômes qui revenaient d'entre les morts, je n'avais encore jamais vécu ça et je ne connaissais personne qui n'était pas dans le même cas que moi. Godric Gryffondor, Rowena Serdaigle, Helga Poufsouffle, Salazar Serpentard. Des noms connus de tous, des noms mythiques. Je ne pensais jamais avoir la chance de les connaître, j'avais tord. Toutefois, qui pourrait m'en vouloir ? Qui aurait pu le prévoir ? Pas vous, pas moi, personne ! J'aimerais tellement leur parler, les questionner. Malheureusement, ils n'avaient pas l'air très aimables. Tout ça à cause de misérables animaux, parfois, je me demandais s'ils n'étaient pas idiots. Ils étaient prêt à détruire tout ce qu'ils avaient construits à cause d'un lion, d'un aigle, d'un blaireau et d'en serpent ? Même moi, je ne pourrais pas le faire.
Selon les rumeurs, ils auraient invoqué un monstre... un monstre. Des balivernes. Toutes ces histoires ne sont que des idioties. Comment auraient-ils pu faire ça ? Où se trouverait cette bête ? Pourquoi n'était-elle pas entrain d'agir ? Des questions sans réponse. Les élèves qui s'inquiétaient de cette menace invisible n'étaient visiblement pas très intelligents. Le faisaient-ils exprès ? Parfois, j'en doutais très sérieusement. Après tout, peut-être ne cherchaient-ils qu'à se donner un genre. Nombreuses sont les personnes prêtent à tout pour se faire remarquer. Elles ont toujours exister et continueront à vivre à travers les siècles. Notre monde peut bien vieillir, elles n'en ont que faire. Elles se foutent de lui, elles rigolent de lui, elles se moquent de lui. Rire de la vie, quelle audace. « Pourquoi donc personne ne m'aide, si Dieu existe, qu'il me donne une réponse.» Je n'avais jamais vraiment cru en cette entité. Je n'étais pas très croyant et je n'avais aucune raison valable de l'être.
Dans le couloir, des ombres se déplaçaient. De toute évidence, le matin était arrivé. Il apportait avec lui la lumière, le soleil. Quel cadeau.. Je préférais le soir qui lui m'offrait la lune, la nuit, les ténèbres. J'étais l'une des rares personnes dans ce cas là, mais je n'en avais pas honte, cela faisait de moi une personne encore plus authentique. Sans un regard en arrière, je quittai la bibliothèque et me dirigeai vers mon bureau. J'avais mérité mon oreiller. |
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