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Peeves ... [défi]
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
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Message Posté Mer 13 Juil - 18:44.
nouveau chapitre




STATUT DU SUJET : OS privé
NOM DES PARTICIPANTS : Moi, ibrahim
DATE :Mois de mars
HEURE : Fin de matinée.
METEO : Temps pluvieux, très pluvieux !
007 - Vengeance
[size=10][b] 006 - Comment ça le sol trempble ?
[size=10][b] INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE :
Non, laisse moi tranquille ! :D

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Message Posté Mer 13 Juil - 19:53.
En ce levant ce matin, Ibrahim fut surpris d'être à jour dans ses devoirs. C'était un fait assez exceptionnel pour être souligné et raconté. A n'importe qui. Il le fallait, voilà tout! Il s'empressa donc d'aller chercher ses parchemins et sa plume et s'installa dans la salle commune, après avoir déjeuné et fait sa toilette. Il s'enfonça dans un des fauteuils rouge et doré, confortablement installé près d'une table. Il étala alors un de ses parchemins sur cette dite table et commença la rédaction d'une lettre à destination de sa correspondante et amie de Durmstrang : Daphné Morozva. Dans cette lettre, il lui parla à nouveau du Quidditch, comme il avait l'habitude de le faire, mais surtout, il souligna et insista bien sur le fait qu'il était totalement à jour dans ses cours et dans les temps en terme de devoirs à rendre. Merveilleux n'est ce pas ? Utopique, mais pourtant vrai. Une fois satisfait de sa lettre, il roula le parchemin et le confia à un hiboux qu'on lui avait prêté. Il indiqua la destination de son parchemin, et observa le volatile s’exécuter sans même rechigner. Il sourit bêtement, admirant l'envol de la petite créature, tout en se disant que ça devait pas être tout le temps super rigolo d'être un hiboux, même si on n'arrêtait pas de voler. Quand il sortit de ses pensées, il se dirigea hors de la salle commune, bien décidé à profiter de son temps libre, sans qu'il n'ait besoin de se l'accorder lui même, puisqu'il le méritait vraiment, pour une fois.

Le jeune Polonais n'avait donc rien d'intéressant à faire en ce week end du mois de mars et ni aucun devoirs. Le paradis. Il errait donc tranquillement dans les couloirs, allant là où ses pas le menaient. A vrai dire, il cherchait de nouveaux passages secrets, même si c'était très improbable qu'il en trouve. Mais sait on jamais et puis , de toute façon, Poudlard regorgeait de secrets dont certains n'avaient jamais été découverts. C'était peut être le moment ou jamais. Il entama donc la descente des escaliers magiques, se rendant d'étages en étages, jusqu'à que ces derniers se montrent réticents. Il entreprit donc une descente du château assez rapide, jusqu'au second étage, où là, les escaliers se montrèrent joueurs. Il pénétra donc dans les couloirs du second étage et atterrit devant le couloir des armures. Il fit quelque pas à l'intérieur, devant ces humains en ferrailles qui grinçaient et cliquetaient sur son passage, comme si ça les amusait. Ibrahim décida de s'amuser un petit avec eux et les salua un par un, faisant des courbettes devant chacun d'entre eux. Les armures se sentirent flattées, probablement, et le polonais put assister à un concert magique de cliquetis, grincement et autres bruits métalliques, qui se mirent à résonner dans tous le second étage. Il souriait comme un enfant à une fête foraine, continuant ses pitreries et courbettes, baisant même la main ferrailleuse de certaines des armures. Mais alors qu'il se trouvait à peu près au milieu du couloir, un rire malveillant résonna, couvrant le bruit des armures. Peevess. Ibrahim se prit la tête dans les mains, s'arrachant les cheveux. Il savait qu'on ne s'ennuyait jamais dans la château, mais il savait également que croiser Peeves n'était pas de bonne augure. Il mit la main sur sa baguette, tout en sachant très bien que peu de chose affligeaient l'esprit frappeur, mais juste pour lui faire peur.

    - Alors Ibrabra d'amuuur, on est pas content de retrouver son vieil ami ?
    - Laisse moi tranquille Peeves, j'ai passé l'âge de m'amuser avec toi. Va donc embêter les Premières années.
    - Oooooh, Ibrachou,, tu t'assagis ? Tu étais pas comme ça avant. Laisse moi te rafraichir les idées ...


Et BAF, le jeune gryffondor se prit une bombe à eau en plein dans la tête. Il fut tellement surpris qu'il se retrouva par terre, assis, trempé de la tête aux pieds. Il se releva rapidement, esquivant une nouvelle bombe à eau de Peeves qui vint s'éclater sur le sol du couloir le plus propre de Poudlard. Grognant de rage, Ibrahim n'eut pas d'autre solution que de se cacher derrière une des armures pour éviter de se faire à nouveau inonder d'eau par l'esprit frappeur. Ce fut donc dans un grand fracas que l'armure s'effondra sous la puissance du tir de l'ectoplasme. Après diverses esquives, Ibrahim décida de contre-attaquer Peeves et quand ce dernier lui lança une bombe à eau dessus, il la rattrapa au vol grâce à sa baguette

    - Accio Bombe à eau !


Surpris, Peeves se mit à rire encore plus fort, tout en continuant néanmoins à viser le Gryffondor. Ibrahim lui retourna le projectile qu'il venait d'attraper, mais Peeves l'esquiva. La bombe à eau, faite d'un simple ballon de baudruche vint s'éclater sur le mur du couloir, rependant encore plus d'eau que ce qu'il y avait déjà. La bataille dura un long moment, un bon quart d'heure. Il n'en fallait pas plus pour satisfaire Peeves qui d'un coup, s'effaça sans prévenir en traversant un mur, alors qu'Ibrahim allait le viser avec un des projectiles, sa main tendu en arrière, le bras armé.

    - MONSIEUR FRYDRYSZA !


Ibrahim se retourna dans un soupir d'agacement. Il allait encore être disputé, et là, il était impensable de plaider non coupable. Il put l'ampleur des dégâts : le couloir était littéralement recouvert d'eau du sol au plafond, des bouts de baudruches gisaient au sol, sur les murs, étaient collés au plafonds, sur les armures. Certaines étaient éparpillées suite à leur chute. C'était un vrai carnage dans ce couloir si propre. Il se mordit la lèvre inférieur, il n'avait pas d'excuses. Il était bien parti pour recevoir deux, même peut être quatre heures de retenue pour ça. D'une voix sèche, le professeur qui venait de le trouver dans cette mauvaise posture lui lança :

    - Quel âge avez vous Monsieur Frydrysza ?

    - ...

    - Il me semble que je vous ai posé une question. Peut être avez vous trop d'eau dans les oreilles ? Alors, j'attends. Quel âge avez vous ?

    - D... Dix sept ans...

    - Bien ! Cela fera donc dix sept heures de retenu pour vous Fydrysza. Et j'enlève cinq points à Gryffondor. Vous commencez de suite, prenez ce chiffon. Vous n'avez pas le droit d'utiliser la magie, donnez moi votre baguette. Bien, vous la récupérerez ce soir lorsque vous aurez terminé la première partie de vos heure de retenue que vous ferez sous forme de travaux d’intérêt général. Commencez par me lustrer TOUTES les armures du château. Même celle qui se trouvent dehors. Je pense que vous en avez bien pour cinq ou six heures. Il est treize heure, je vous donne donc rendez vous dans mon bureau à dix neuf heures. Et je vous conseille d'avoir finit le lustrage des armures si vous ne voulez pas voir vos heures de retenue doublées, ainsi que les points enlevés à votre maison.. Allez !! Au travail !


Utilisant sa propre baguette magique, le professeur chassa l'eau et les morceaux de baudruches, sauf ce qui se trouvait sur les armures évidemment. Il s'en alla ensuite, laissant le Gryffondor au milieu du couloir, bouche ouverte, trempé et l'air penaud. Il n'en croyait tout simplement pas ses oreilles ! Dix sept heure de retenue ?? Jamais il n'avait entendu une chose pareille ! Et lustrer absolument toutes les armures avant la fin de la journée ? Il n'était pas certain d'y arriver sans avoir aucun recours à la magie. Il soupira donc bruyamment, énervé et dégouté. C'était injuste et vraiment dégueulasse, tout ça, c'était la faute de Peeves ! Ah , il ne perdait rien pour attendre celui là ! Et puis il venait de faire perdre cinq points à Gryffondor ! Il grogna, il s'en voulait terriblement, sa maison n'avait vraiment pas besoin de ça. Et mieux valait se mettre à la tâche tout de suite, s'il ne voulait pas faire perdre davantage de points aux Rouge et Or. Il se dirigea donc vers le fond du couloir et commença à lustrer les armures une par une, tout en reconstruisant celles qui s'étaient effondrés sous la bataille. Ce n'était vraiment pas une partie de plaisir de faire tout ça manuellement, et il sentait ses mains rougir sous l'effort. Sa bataille avec Peeves avait probablement du énerver les armures qui se mirent à refaire du bruit dès qu'elles furent en état. Mais le bruit n'était pas mélodieux comme au début de l'après midi, mais bien grinçant et aiguë, un son insupportable, comme la craie sur un tableau noir. La tâche n'était déjà pas facile à la base, ses mains en pâtissant, mais ce furent également ses oreilles qui se mirent à gémir face aux bruits incessants des armures. Ibrahim serrait les dents, s'acharnant à sa tâche.

Il n'aurait su dire quelle heure il était mais une chose était certaine, il n'avait toujours pas fini. Il termina de lustrer la dernière armure, dans le hall du château, puis franchit la grande porte pour se rendre dehors. Là, il tomba des nues. Dehors, il pleuvait des cordes à rendre fou de joie les grenouilles. Il expira bruyamment, soupçonnant le temps d'être contre lui. Il y avait bien une vingtaine d'armure à lustrer dans le parc du château, et il devait terminer aujourd'hui s'il ne voulait pas faire perdre d'autres points à sa maison, et surtout, doubler ses heures de retenues. Par un rapide calcul, il apprit à son grand désespoir que sa punition passerait de dix sept à trente quatre heures. Il ferma les yeux, il ne donnerait pas ce plaisir à Peeves. Ni au professeur d'ailleurs. Mais quand même, il aurait donné cher pour avoir sa baguette.

Il n'y avait évidemment pas un chat dehors, tous les élèves étaient probablement cloitrés à l'intérieur du château avec la pluie battante qu'il faisait. Ce n'était pas plus mal, pour ce que ça valait, au moins, il ne ferait pas de mauvaises rencontres. Il imagina un instant qu'un serpentard le surprenne ne train de lustrer les armures, il en prendrait pour son grade et se ferait surement insulter durant de longues semaines. Non, en soi, il valait mieux que personne ne le voit. Il mit sa capuche, ce qui, il en était inconscient, ne servirait à rien face à la pluie, étant donné l'imperméabilité inexistante de sa robe de sorcier. Il s'enfonça donc sous la pluie torrentielle et entama le lustrage des armures. C'était bien plus difficile dehors, car moins abritées, forcément, les statues de fer avaient un peu rouillé. Ajoutez à ça la fatigue des membres du jeune Polonais après quatre ou cinq heures de travail, ainsi que l'épuisement moral .. ! Mais il le fallait, alors Ibrahim utilisa ses dernières forces pour exécuter sa punition, qui, il le savait, ne s’arrêterait en plus pas là.

La sonnerie de dix neuf heures retentit alors qu'il lustrait l'ultime et dernière armure. Un soupir de soulagement s'échappa de sa bouche, laissant tomber le torchon au pied de la structure métallique. Trempé jusqu'au os, il marcha vers le château jusqu'à ce qu'un grincement strident ne l'arrête. L'armure bougea son bras de façon significative, pointant le torchon de sa lance. Ibrahim expira profondément, agacé et exténua, et revint sur ses pas. Il se pencha, ramassa le torchon sale tout en jetant un regard assassin à l'armure, puis repartit en direction du château. Sur le chemin du retour, il examina ses mains rougies par la pluie et le travail acharné. Il avait mal dans tous ses muscles du bras, des épaules, du dos. Il se sentait aussi rouillé qu'une armure et aurait bien aimé qu'on le lustre à son tour. Il grimaça sous la douleur de ses membres endoloris quand il s'étira, et observa les cloques qui s'étaient formées sous ses paumes de mains. Certaines avaient éclaté, mettant sa chair à nue, et laissant échapper des filets de sang. La pluie continuait de tomber, et il en profita pour lui présenter ses mains, et les rincer un peu. Il pénétra enfin à l'intérieur du château où il rejoint le bureau du professeur qui avait sa baguette en otage. Il entra tête baissée, tendant le torchon aux mains du professeur, et refusant de croiser son regard, de peur de le tuer d'un simple coup d’œil, tellement il avait de haine envers lui. Il sentit néanmoins le regard du professeur sur lui, et il se doutait que ce dernier devait sourire avec satisfaction.

    - Bien Frydrysza ! Que cela vous serve de leçon. Je vous veux ici même, demain, à huit heures. Et soyez à l'heure.


Ibrahim serra les dents, sans rien dire. Il attendait que le professeur lui rende sa baguette. Il se refusait toujours à lever la tête, et avait gardé la main tendue.

    - Allons, il est l'heure de diner, rejoignez vos camarades dans la grande salle !

    - Ma baguette...

    - Oh ! j'avais oublié ! Tenez !


On ne pouvait pas mettre plus de violence dans un geste. Comme si le professeur avait voulu lui percer ses cloques en lui rendant. Ibrahim pinça les lèvres et sortit rapidement du bureau en direction de la grande salle.

    - A demain monsieur Frydrysza !
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