VULNERA SAMENTO FERME SES PORTES ▲
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[1er cours de DCFM, niveau 5e à 7e année] • BACK TO SCHOOL
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
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Message Posté Lun 24 Sep - 16:12.



and here i thought i was done with all this
guess i needed a life changing

★ noms des participants: Professeur Senka Mladvieva (et tous les élèves le souhaitant)
★ statut du sujet: Groupe & libre
★ date: 16 octobre 2056
★ heure: 10h du matin.
★ météo: Ensoleillé, chose curieuse pour l'Écosse.
★ saison: Saison 2
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: 2x02
★ numéro et titre de l'intrigue en cours:  2x02
★ intervention de dominus:  C'est un cours, donc pas forcément besoin de Domimi.
★ récompenses:  Aucune pour l'instant x) 






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Message Posté Lun 24 Sep - 16:50.
L'aiguille de l'horloge avançait, inlassable. Dans une dizaine de minutes, des élèves curieux allaient découvrir leur nouvelle enseignante de Défense contre les Forces du Mal. Les rumeurs couraient déjà sur son compte : elle était arrivée la veille en compagnie de l'ancienne directrice de Beauxbâtons, et déjà ça jasait. Certains étaient déjà en train de supposer qu'entre la Courterois et la Mladvieva, il y avait une quelconque sorte de romance. Les deux femmes n'avaient pas cherché à démentir, ayant toutes les deux des raisons pour laisser les gens croire ce qu'ils voulaient.

Elles avaient été présentées à l'ensemble des élèves la veille au soir, pour le dîner. Enfin, Pénélope Courterois n'avait pas besoin qu'on l'introduise : tout le monde savait qui elle était, et certains s'étaient échangés des regards étonnés en voyant l'ancienne directrice de Beauxbâtons à Poudlard. L'autre, en revanche, avait dû être présentée à tous ces mioches. Heureusement qu'elle avait eu le temps de se préparer une histoire solide et un passé que personne ne remettrait en cause. Senka Mladvieva était une ancienne contreuse de maléfices qui avait travaillé autant à son propre compte que pour les Ministères de la Magie de l'Est, en consultante. Elle était aussi essayiste, spécialiste de Magie Noire et de Magie Blanche, qui était cependant peu connu du menu fretin et des élèves du lycée de sorcellerie. Et désormais, elle allait être professeur titulaire de Défense Contre les Forces du Mal.

Une chose était sûre, lorsque Matvei sortirait de son coma, il allait bien rire.

Se surprenant à penser à son idiot de frère de cœur, la jeune femme blonde se morigéna intérieurement. Si un seul de ces gamins était télépathe, sa couverture volerait en éclats en deux secondes. Il fallait qu'elle soit prudente, qu'elle laisse croire des choses aux élèves, de sorte à les induire en erreur et à leur faire penser qu'elle était réellement cette Senka qui était née de son imagination et de celle de Vera.

Se levant, elle fit un tour dans les rangs. N'ayant aucune qualification pédagogique et n'ayant pas forcément la patience pour, elle supposait qu'elle allait faire une piètre enseignante. Mais d'un autre côté, mieux valait une piètre enseignante qu'une mafieuse morte. C'était ça qui l'avait poussée à quitter Londres et ses bas-fonds. Toujours est-il que certaines séquelles la ramenaient toujours à ce mois qu'elle avait passé. La Magie Noire la dévorait toujours, mais c'était moins douloureux… Sans doute s'y était-elle habituée, au final. Ou bien les contre-sorts avaient vraiment marché et le maléfice avait été amenuisé. Elle verrait bien avec le temps.

Elle revint à son bureau et profita du temps qui lui restait pour écrire son (faux) nom au tableau. Senka Aleksandrovna Mladvieva. Elle aurait pu s'attarder sur ces noms, qui cachaient sa véritable identité, mais déjà les élèves arrivaient. Elle ne se retourna pas, les écouta s'installer mais ne prit pas la peine de se retourner. Pas tout de suite. Elle devait d'abord s'imprégner de ce personnage qu'elle allait jouer. À son cou, une chaîne en argent. Accrochée à cette chaîne, une alliance (la sienne). Les élèves croiraient qu'elle était veuve s'ils le voulaient, elle s'en fichait. Le principal était qu'aucun d'eux ne puisse soupçonner qu'ils avaient face à eux la sœur du Ministre. Le blond changeait férocement son apparence, les gens ne feraient pas le lien immédiatement, alors elle pouvait se tranquilliser.

Après le raclement des chaises, ce fut le brouhaha et le chahut habituel des salles de classe. Tout du moins jusqu'à ce qu'elle se retourne et, sans un regard aux élèves, aille fermer la porte. Il était l'heure, il n'y avait pas de retardataire, sans doute avaient-ils senti qu'elle n'était pas là pour rire. Pourtant, elle se fendit d'un sourire avant d'entamer son petit laïus de présentation :

« Just before we start working, I'd like to you ask you all a question : what the hell is a Hufflepuff ? No offense, but, I studied in Dürmstrang, where we sort students according to their level, and not some characteristics. That being said, I don't care if your partner is a Gryffindor or whatever, as long as he is as good as you. »
« Avant de commencer à travailler, je voudrais juste vous poser une question : qu'est-ce qu'un Poufsouffle, bon sang ? Loin de moi l'idée de vous offenser, mais j'ai étudié à Dürmstrang, où on répartit les élèves selon leur niveau, et pas selon des traits de caractère. Ayant dit cela, je me fiche de savoir si votre partenaire est un Gryffondor ou quoi, du moment qu'il est aussi bon que vous. »

Et puis, lentement, elle revint à son bureau. Et énonça quelques consignes bien claires :

« Quelques règles, pour que nous soyons sur la même longueur d'ondes : je n'accepte aucun retardataire, donc vous serez à l'heure. Les devoirs que je vous donnerai devront être rendus en temps et en heure : les retards feront perdre un point par jour, même si la copie est excellente. Enfin, je me réserve le droit de vous soumettre à des tests pratiques surprises, donc vous aurez votre baguette sur vous constamment. »

Ça, c'était pour son cours.

« Ensuite, vous avez une nouvelle enseignante de Métamorphose en la personne de Pénélope Courterois. Le premier qui ose faire un commentaire sur les événements passés la concernant se prendra une heure de colle, même si vous pensiez être discret en le murmurant à votre camarade dans un couloir. Si vous ne cautionnez pas ses actes passés, tâchez au moins de ne pas lui compliquer la vie, puisque des choses la lui—. »

Elle s'interrompit. Étaler la vie de Pénélope n'était pas une bonne idée. Même si elle voulait la protéger des ragots des élèves. Elle reprit comme si de rien n'était :

« Tenez, vous avez dix minutes pour me remplir ce questionnaire. J'avais prévu de vous faire un contrôle de connaissances, mais ça me fatigue à l'avance, donc remplissez juste ce qui suit que je sache à qui j'ai affaire… Et soyez sincères. »

Citation :
Nom :
Prénom :
Année :
Maison :
Niveau général :
Niveau en DCFM : (détailler si besoin)
Intérêts extra-scolaires :
Sport ?
Projet professionnel (clair ou vague) :
Modèle (sorcier ou Moldu) :


Tandis que les élèves remplissaient le formulaire, elle inscrivait au tableau le sujet du cours théorique de rentrée. Il s'agissait plus d'un rappel que d'autres choses, mais elle préférait faire cela plutôt que de perdre la moitié des élèves en leur parlant de sorts complexes comme celui qui brûlait dans ses veines. Lorsque les dix minutes furent écoulées, elle récupéra les fiches, les tria rapidement par ordre alphabétique, et interrogea la classe dans son ensemble :

« On va commencer par des rappels assez simples : si je vous dis "Maléfices et contre-sorts", à quoi pensez-vous d'abord ? »

———

Consignes HRP:
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Message Posté Lun 24 Sep - 21:16.


Les cours avaient enfin commencé. Non pas que j’étais enchanté, je n’étais pas un premier de la classe, être bon était naturel chez moi. Mon éducation avait été stricte, m’obligeant jeune à m’instruire sur le monde sorcier, à me montrer sportif, à combattre et à me présenter aux nobles familles. Tout cela résultait de traditions ridicules instaurées dans ma famille depuis le commencement. Les premier Zorotalev s’étaient forgés une solide réputation, la transmettant à leurs enfants, accompagné de leurs « don ». Celui-là même qui avait fait de ma vie un cauchemar.
Je soupirais en nouant ma cravate, le tissu rouge et or glissant entre mes doigts, et quittais mon dortoir. Je n’aimais pas cette école, cet uniforme. Je me sentais mal à l’aise en permanence, observé par les autres. Les Russes n’étaient pas très bien vu ici, je le sentais bien. Mais je n’étais pas à Poudlard par ma volonté, j’y avais été envoyé de force. Comme pour me cacher du monde. Etrange réaction pour des parents dont le besoin de reconnaissance est aussi grand qu’un stade de coupe du monde de Quidditch lors de la finale.

J’entrais dans la salle de Défense contre les Forces du Mal. Bien que je n’aimais pas l’école, je ne pouvais renier les cours et les enseignants, surtout pour mes matières favorites. La défense, le soinx aux créatures magiques ainsi que la métamorphose arrivaient en tête de ma liste. Et c’était avec plaisir que j’avais appris que sur deux matières, de nouveaux enseignants arrivaient. Des personnes qui ne me connaissaient pas, qui ne pouvaient me juger. Au moins quelques heures où je n’aurais pas à subir de regards insistants. Je m’installas à un bureau et observais la professeur, Mlle Mladvieva. Elle entama un spitch de présentation, confiant qu’elle avait étudié à Durmstrang. Un faible sourire naquit sur mes lèvres à l’évocation de ce nom. Au final je n’étais jamais loin de mon ancienne vie. Elle nous expliqua son mode de fonctionnement, pas de retards acceptés, et pas de commérages sur les enseignants comme Mlle Courtois, ma future prof de métamorphose. J’étais sur de m’entendre avec elle, non pas pour son passé – ça j’en avais rien a faire – mais pour son amour de la métamorphose. J’avais hâte de la rencontrer. Puis vient le moment où elle nous donna un test à remplir, afin de mieux nous connaître. Je n’aimais pas réellement parler de moi, mais je n’avais pas le choix.

Citation :
NOM : ZOROTALEV
PRENOM : MAKSIM (mais je préfère Vitali)
ANNEE : 7eme
MAISON : Gryffondor
NIVEAU GENERAL : Excellent
NIVEAU EN DCFM : Excellent, études antérieures à Durmstrang et éducation parentale sur la défense depuis l'âge de 10 ans
INTERETS EXTRA-SCOLAIRES : Créatures animales magiques ou non, Magie Noire,
SPORT ? Batteur Quidditch
PROJET PROFESSIONNEL (CLAIR OU VAGUE) : Travailler au département de contrôle et régulation des créatures magiques
MODELE (SORCIER OU MOLDU) : Auteur moldu russe comme Nabokov ou Tolstoï, Tsar Nicolas 2, Famille Romanov
Sorcier: Vladimir Poutchek pour ses écrits sur la métamorphose, et les métamorphes,

La prof ramassa les test, les classant et les posant sur son bureau. Le cour allait enfin commencer, et de suite elle attaqua. Maléfices et Contre sort, qu'est-ce que ça évoquait pour nous ? N'importe qui aurait répondu défense, Protégo mais mon instinct me poussait à répondre autre chose. Je levais la main, et répondais : " Sortilèges Impardonables ".
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Message Posté Lun 24 Sep - 23:32.
    Simba avait le fâcheux défaut de s’ennuyer à cent sous de l’heure à longueur de journée. Vous savez le monde peut être très ennuyant par moment, et cela l’énerve, parfois la vie est bien trop calme. Elle n’aime pas le calme de la vie ? Qui est ce que ça intéresse d’avoir une vie calme ? Et bien, pas elle, certainement pas elle. Elle est une jeune femme pleine de vie, peut être même trop pleine de vie… enfin c'est ce qu'elle fait croire à tout le monde. C'est une pile électrique, intelligente, brillante, sérieuse, et patiente -malgré qu'elle soit hyperactive-. Elle s’ennuyait ce jour là – comme tous les jours d’ailleurs – et elle était à la recherche d’une occupation, une amie à ennuyer pour papoter, un garçon à allumer, un première année à emmerder, et un sang de bourbe à sacrifier, elle cherchait vraiment de quoi s’occuper. L’ennuis était mortel, mais elle défiait la mort, attendant patiemment qu’une proie, une victime vienne à elle. Étrangement, elle n’eut pas à attendre des lustres, une victime fit son entré. Le sang de bourbe muet, c’était à peine si elle connaissait son nom au complet, Valeryan, sans doute, mais le nom de famille ne lui revenait pas en mémoire… et puis, c’était un sang de bourbe, son nom ne l’intéressait pas. Mais ce Valeryan était plutôt bizarre, muet, cette particularité l’intriguait, mais… un homme muet c’est un homme qui n’est pas là pour vous contredire et vous donnez des ordres. L’un dans l’autre, cette perspective n’était pas si mal. Un sang de bourbe muet est un sang de bourbe à sa juste place. Entre nous, je ne la privait pas de scander au monde qu'elle les détestait, et c’était une évidence. Quoi qu'il en soit, je me dirigeait avec la bande de d’habitude -Hayleen, Jenna et Irina- vers la salle de défense contre les forces du mal.

    Il entrait donc dans sa tanière. Enfin… « sa » tanière de la journée, on va dire qu'elle avait élu domicile dans la salle de cours, et qu’il venait d’entrer sur son territoire. Elle avait sa baguette en main après tout… après tout, ils sont dans une salle de duel, que le combat commence ? Saluez, et attaquez, n’est ce pas ce que l’on a coutume de faire dans un tel lieu ? Ainsi soit-il. Mais pas aujourd'hui, patience Simba... Il semblerait que Mlle Mladvieva soit déjà présente. Elle avait entendu des rumeurs en sa personne mais Simba en a que faire des ragots, c'est pas son but premier ici. Mlle Mladvieva se présenta rapidemment et donne un formulaire à remplir pour soit disant "connaitre le niveau de chacun" bah voyons...

    Citation :
    Nom : Farewell.
    Prénom : Simba.
    Année : 6 éme année.
    Maison : Serpentard.
    Niveau général : Excellent.
    Niveau en DCFM : Excellent. Entrainement familial -père mangemort- dés l'âge de cinq ans.
    Intérêts extra-scolaires : Créatures magique, un peu de magie noir et l'étude du monde magique.
    Sport ? Capitaine et poursuiveuse au Quidditch. Équitation.
    Projet professionnel (clair ou vague) : Devenir auror.
    Modèle (sorcier ou Moldu) : Même si je n'aime pas les moldus, je dois bien admettre que William Shakespeare m'inspire beaucoup.
    Elle ramasse les testes et pose directement une question. C'est qu'elle attaque en plus. « On va commencer par des rappels assez simples : si je vous dis "Maléfices et contre-sorts", à quoi pensez-vous d'abord ? » Zut Vitali a répondu avant elle ! Elle lui balance une boulette de papier et répond par la suite « Souffrance impardonnable » et elle savait de quoi elle parlait...
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Message Posté Mar 25 Sep - 10:21.

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Je restai choquée depuis mon retour ce matin, sans rien pouvoir faire pour lutter contre cette impression de gros bazar ambiant. C'est vrai quoi! Qu'est-ce que ma directrice faisait là! Il fallait que je lui parle, que je le lui demande. Certes, j'avais appris pas Micaela qu'elle avait démissionné de son poste à Beauxbâtons. Mais... Mais non quoi! De même avais-je incité ma cousine à ne pas rester sans rien faire. Tout ça n'était pas normal. Et là... Je ne lui avais pas encore dit qu'elle était ici, et pour cause: je l'avais croisée le matin-même, en revenant de la cérémonie d'ouverture des JO à Beauxbâtons. Mais mon école n'avait pas la même saveur, sans elle. Rien que la présence de Pénélope à Poudlard rendait les lieux un peu plus familiers, pour moi. J'avais bien un peu la tête dans le sac et, sur le coup, je préférai me persuader que j'avais rêvé, halluciné, qu'elle n'était pas là. Secouant la tête, je me dirigeai vers la salle de DCFM pour y assister au premier cours d'une nouvelle enseignante qui avait été présentée la veille - tout comme ma directrice - mais que je n'avais, moi, pas encore vue.

"Good morning, Mrs Mla-die-va" dis-je en tâchant de déchiffrer le nom inscrit au tableau. Mon accent franco-italien était à couper au couteau. Certains trouvaient ça charmant, moi, au milieu de tous ces anglais, je devais bien avouer que j'étais parfois un peu frustrée car j'avais du mal à tout comprendre. Il allait sans dire que Mica se serait mieux débrouillée que moi, mais elle n'était pas là. Je m'installai parmi les premiers rangs, bien décidée à suivre le cours du mieux possible et à noter tout ce qui serait marqué au tableau. « Just before we start working, I'd like to you ask you all a question : what the hell is a Hufflepuff ? No offense, but, I studied in Dürmstrang, where we sort students according to their level, and not some characteristics. That being said, I don't care if your partner is a Gryffindor or whatever, as long as he is as good as you. » Ok... Ca commençait bien. Entre son accent et la langue, je ne comprenais pas la moitié de ses propos. Si! J'avais reconnu Hufflepuff, Durmstrang, Gryffindor et fait quelques associations par-ci par-là. Avais-je compris le sens général? Mmmmh... Peut-être, mais je n'étais pas sûre. Je me penchai vers mon voisin et murmurai: "What did che say?" Mais, déjà, notre professeur enchainait: « Quelques règles, pour que nous soyons sur la même longueur d'ondes : je n'accepte aucun retardataire, donc vous serez à l'heure. Les devoirs que je vous donnerai devront être rendus en temps et en heure : les retards feront perdre un point par jour, même si la copie est excellente. Enfin, je me réserve le droit de vous soumettre à des tests pratiques surprises, donc vous aurez votre baguette sur vous constamment. » Son cours s'annonçait, décidément, particulièrement difficile à suivre pour moi. Je préférais encore les accents typiquement anglais... Ils étaient plus faciles à comprendre. Vivement qu'elle écrive quelque chose au tableau... songeai-je. « Ensuite, vous avez une nouvelle enseignante de Métamorphose en la personne de Pénélope Courterois. Le premier qui ose faire un commentaire sur les événements passés la concernant se prendra une heure de colle, même si vous pensiez être discret en le murmurant à votre camarade dans un couloir. Si vous ne cautionnez pas ses actes passés, tâchez au moins de ne pas lui compliquer la vie, puisque des choses la lui—. » Ah! là, elle avait parlé de Pénélope! Je redressai la tête et me concentrai très fort sur ses paroles. Ma directrice avait des problèmes? Je fronçai les sourcils. Etait-ce pour ça qu'elle avait subitement disparu au mois de septembre avant de démissionner et de nous faire parvenir un courrier? Micaela m'avait raconté cela, dans une de ses premières lettres. Y avait-il quoi que ce soit que nous, élèves, puissions faire pour l'aider?

« Tenez, vous avez dix minutes pour me remplir ce questionnaire. J'avais prévu de vous faire un contrôle de connaissances, mais ça me fatigue à l'avance, donc remplissez juste ce qui suit que je sache à qui j'ai affaire… Et soyez sincères. » Je sortis de mes pensées quand Senka fit passer un questionnaire à remplir:

Citation :
Nom : Bertone
Prénom : Rosalina Calliope
Année : 9e année à Beauxbâtons, ici en voyage scolaire
Maison : Nous parlons d'écurie et il s'agit de Hébé
Niveau général : bonne élève
Niveau en DCFM : assez bon
Intérêts extra-scolaires : musique, sport, équitation...
Sport ? je fais partie de l'équipe de course sur chevaux ailés de mon écurie à Beauxbâtons
Projet professionnel (clair ou vague) : j'hésite entre la musique et la médecine magique.
Modèle (sorcier ou Moldu) : J'admire les héros qui ont mis fin aux guerres, comme Harry Potter, ou Matvei Sejdic, mais aussi Ariel Augustin qui était la championne de Beauxbâtons, ainsi que les deux autres champions, bien sûr. Et ma directrice: Pénélope de Courterois qui a toujours fait ce qu'elle a pu pour nous protéger

Et non, ce n'était pas une façon détournée de lécher les bottes de l'une ou de l'autre. J'éprouvais une admiration sincère et sans bornes pour la française. A peine avais-je posé ma plume que la russe ramassait les papiers et nous posait une question. Heureusement, elle avait marqué des choses au tableau! Je commençai par recopier le titre alors que deux des élèves prenaient déjà la parole, répondant pour les maléfices. "Les contre-sorts servent à se libérer, ou libérer quelqu'un d'autre, de l'emprise des maléfices" répondis-je à mon tour.
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Message Posté Jeu 27 Sep - 0:48.


Il faisait beau ce matin et j'avais eu l'envie de me promener dans le parc pour m'installer dans un coin et me prélasser. Mais la veille, on nous avait annoncé l'arrivée de deux nouveaux professeurs. L'une était l'ancienne directrice de BeauxBâtons, étonnant comme les françaises semblent porter un intérêt soudain à notre école pensais-je en me remémorant ma rencontre avec une étudiante que j'avais rencontré il y a peu. L'ancienne directrice s'occuperait donc des cours de métamorphoses, j'avais hâte d'y être pour apprendre de nouvelles choses intéressantes, c'était de loin ma matière préférée. L'autre professeur, une femme également, allait s'occuper des cours de défense contre les forces du mal, son nom semblait russe et je n'avais jamais entendu parler d'elle. J'avais justement cours avec cette dernière ce matin même. Après un petit déjeuner rapide, quelques toasts, je m'étais donc rendu dans la salle de cours, les autres élèves étaient déjà là et aucun ne semblaient vouloir être en retard. La nouvelle enseignante éveillait visiblement la curiosité.

J'entrais dans la salle de classe et me dirigeais rapidement vers le fond, proche de la fenêtre. Alors que je m'installais, il m'avait semblé avoir aperçu la fille étrangère, mais n'en étant pas sure, je ne m'en souciais pas pour le moment. Au tableau était écrit le nom du professeur: Mladvieva. Me disant que j'arriverai à retenir ça et encore moins à le prononcer correctement, j'estimais plus judicieux de l'appeler simplement: professeur. Elle ferma alors la porte et le silence s’installa rapidement dans la pièce. Personne n'osait parler, ignorant encore le niveau d'autorité de la nouvelle enseignante, ainsi tous avaient adopter la méfiance pour éviter une réprimande pour ce premier cours. Elle demanda alors ce qu'était un Poufsoufle car elle avait étudié à Dürmstrang et que là bas, on répartissait les élèves selon leurs niveaux. Enfin , qu'importe notre maison, elle voulait qu'on soit tous aussi bon les uns que les autres. Bah voyons... On est pas tous des génies... je lâchais un soupire silencieux tout en écoutant la prof continuer de parler. Aucun retard admit en cours, je devrai donc me méfier et faire attention à moi qui avais l'habitude de me promener tranquillement dans les couloirs. Elle parla ensuite de sa collègue, la prof de métamorphose, ancienne directrice de l'école française, nous ordonnant de ne pas discuter dans son dos, de ne pas créer de rumeurs mais aussi de lui foutre la paix sur son passé. Elles devaient surement bien s'entendre les deux et elle voulait protéger son amie, quoi de plus naturel? Enfin elle fit passer un petit questionnaire que l'on devait remplir pour qu'elle obtienne diverses informations sur nous. Je pris alors ma plume...

Citation :

Nom : Sinsley
Prénom : Scott
Année : 7ème
Maison : Gryffondor
Niveau général : On se débrouille, ma grand-mère m'a apprit les bases, mais mon père est moldu, ma mère une cracmol.
Niveau en DCFM : satisfaisant j'imagine
Intérêts extra-scolaires : Musique, métamorphose et créatures magiques.
Sport ? Non, même si j'adore le Quidditch et voudrais entrer dans l'équipe de Gryffondor.
Projet professionnel (clair ou vague) : Devenir une rock star ou chasseur de monstre ou mieux, les deux.
Modèle (sorcier ou Moldu) : Kurt Cobain, célèbre artiste de rock américain, mort il y a bien longtemps mais il reste à mes yeux l'un des meilleurs. L'ancienne directrice et professeur de Poudlard, Minerva Mcgonagall qui était une grande sorcière de talent et surtout une animagus chose que je désirerai devenir.

Je me disais que j'avais peut-être un peu trop écris tout ça avec une pointe d'insouciance et que j'aurai du m'appliquer d'avantage. Mais c'était trop tard, au pire, je passerai pour le crétin de la classe ou le petit comique. Au moins, j'avais écris l'essentiel: devenir animagus et une rock star. Le professeur Mladvieva en avait profité pour écrire au tableau le titre de notre cours qui consistait à revoir ce qu'on avait vue afin qu'elle puisse aisément voir notre niveau. Sa première question fut des plus simple: à quoi pensait-on si elle disait maléfices et contre-sort. Un Gryffondor avec que j'avais pas trop discuté jusqu'à maintenant parla alors des sortilèges impardonnables, j'étais moyennement convaincu. Une autre fille parla de souffrance impardonnable, j'avoue que là, j'étais perdu, je voyais pas où elle voulait en venir. Puis ce fut une fille avec un accent de fou, un accent que j'avais déjà entendu qui prit la parole: Rosalina. Son explication était surement, enfin à mes yeux la meilleur, mais après, fallait voir ce que l'enseignante attendait de nous. Sans m'en rendre compte, mon index tapait un rythme de percussion sur le rebord de ma table, geste nerveux surement. Je pris alors la parole.

"Stupefix, maléfices et Revigor, contre sort... Sinon pour les maisons c'est simple: les courageux à Gryffondor, les intellos à Serdaigle, les fourbes à Serpentard et le reste à Poufsoufle. Enfin le reste, façon de dire, j'ai jamais trop sut qu'elle qualité était importante pour cette maison..."

Mon voisin, un Gryffondor avec qui je discutais de temps en temps me lança un regard noir et me souffla de la fermer avant de faire perdre des points à notre maison. Bah quoi? Qu'est-ce que j'avais dis de mal encore? Je cessais de tapoter mon doigt sur ma table et me contentais d'observer le professeur sans rien dire de plus.

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Message Posté Jeu 27 Sep - 1:16.
La surprise d’Aubépine allait en grandissant, depuis le début de cette année scolaire. D’abord, l’être de l’eau retrouvé mort. Et maintenant, Madame Courterois et une nouvelle enseignante qui venaient à Poudlard. Tout était en perpétuel mouvement, et cela contrariait Aubépine. D’autres créatures auraient-elles à souffrir de cela ? Elle ne l’espérait point. Peut-être cette nouvelle enseignante pourrait-elle aider à sauver les êtres de l’eau ? Après tout, nul ne trouvait ce qu’ils avaient, mais Madame Mladvieva en serait peut-être capable, avec ses connaissances en sortilèges, et surement en magie noire. Elle n’enseignait pas la défense contre les forces du mal et ne venait pas de Dürmstrang ou environs pour rien, si ?

Aubépine soupira et se hâta vers la salle afin de ne pas être en retard. Si enfreindre le règlement ne lui posait aucun problème, être en retard en cours si. Elle tenait à assimiler tout le savoir possible tant qu’il en était encore temps. Elle entra tout juste à temps, et s’assit au deuxième rang, sans faire attention à qui s’y trouvait, ou même à la place qu’occupaient ses amis. Elle avait agi sur une impulsion. Elle vit tout le monde en train de gryffonner, et se pencha par dessus l’épaule de son voisin pour lire ce qu’il écrivait. Elle vit un questionnaire et s’empressa de recopier les catégories pour y répondre à son tour.

Citation :
Nom : de Severac
Prénom : Aubépine
Année : 7ème année
Maison : Serdaigle
Niveau général : Très bonne élève
Niveau en DCFM : Plutôt bon
Intérêts extra-scolaires : mes créations de mode, mes études, le vol sur balai
Sport ? je pratique le quidditch
Projet professionnel (clair ou vague) : Ouvrir ma propre boutique de mode.
Modèle (sorcier ou Moldu) : je n’ai pas réellement de modèle, mais j’admire notre directeur pour son sang-froid face à tout ce que nous avons vécu, Matvei Sedjic pour sa façon admirable de gérer les difficultés du monde sorcier, Pénélope de Courterois pour sa défense vaillante de ses élèves à Beauxbâtons, les médicomages et aurors évidemment, et la révolution auprès de laquelle je me suis ardemment battue pour leur courage sans faille, leur férocité, et leur désir de préserver ce qui leur était le plus cher.

Elle posa sa plume, et attendit patiemment la suite du cours. Elle réagit à peine lorsque sa professeur posa une question concernant les maléfices. Elle avait fait nuit blanche, occupée à lire divers livres sur les créatures magiques dans sa salle commune et n’ayant pas vu le temps passer.
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Message Posté Jeu 27 Sep - 4:53.
« What the hell is a Hufflepuff ? »

Tu relèves soudainement la tête. Un peu vexée. Parce que Gryffondor ça sonnait vachement mieux peut-être ? Pas du tout convaincue, tu te renfrognes. Tu as toujours détesté le stéréotype des Poufsouffles qui n’étaient pas grand-chose, qui ne servaient à rien. Tu voulais bien croire que cela s’accordait bien à ta personne, mais la plupart des Poufsouffles étaient des gens très respectables, tout à fait normaux et qui n’avaient aucune raison d’être en reste juste parce que leur couleur est le jaune et que leur animal est le blaireau. Ça claque peut-être moins que le lion, l’aigle ou le serpent, et alors? Comme si c’était votre faute! Passé ton petit accès de fidélité à ta maison, tu te remets à observer le professeur. Tu sais que DCFM ne sera pas facile. Tu es une assez bonne élève et tu travailles fort, mais tu vois déjà ton professeur te réprimander puisque tu risques de ne jamais très bien viser ni bien tenir ta baguette à cause de tes tremblements. Tu feras avec. Tu n’y peux absolument rien. Vu que tu es Poufsouffle et que logiquement tu es supposée foirer tout ce que tu entreprends, bien sûr.

« Sinon pour les maisons c'est simple: les courageux à Gryffondor, les intellos à Serdaigle, les fourbes à Serpentard et le reste à Poufsouffle. Enfin le reste, façon de dire, j'ai jamais trop su quelle qualité était importante pour cette maison... » Ah ben voyons. Pour qui il se prend, ce petit con? Le reste à Poufsouffle? Encore mieux que le professeur qui comprend le système des maisons, mais n’a pas l’air de saisir que Poufsouffle en est une. « Les justes et loyaux vont à Poufsouffle, » marmonnes-tu pour toi-même. Tu sais bien qu’à part tes voisins immédiats personne ne t’as entendu, mais tu le faisais pour la forme, parce que tu y tiens. Parce que tu es à Poufsouffle et que contrairement à certains, tu ne vois pas cela comme une honte. Les Gryffondors n’étaient pas tous courageux et les Poufsouffles pas tous des « restes » comme le disait si bien ton nouveau meilleur ami. Tu savais bien que ce n’était pas vraiment ça qu’il voulait dire, ou qu’il pensait, néanmoins tu l’avais perçu ainsi et tu ne pourrais désormais plus dissocier son image du type qui connaît rien des Poufsouffles parce qu’ils sont des restes. Tu décides néanmoins de ne rien dire, histoire de ne pas paraître officiellement comme la Poufsouffle vexée que tu es. Tes voisins de table doivent bien rigoler à l’heure qu’il est, mais tu t’en fiche complètement.

Tu laisses les élèves dans la classe répondre à sa question. Tu n’avais rien à rajouter, et de toute façon tu étais loin d’être du genre à participer activement en classe. Tu écoutais, tu parlais parfois mais pas tant que ça et tu tentais d’avoir de bonnes notes à tes examens. Tu remplis en même temps le questionnaire que la professeur avait passé, tentant d’être honnête, comme demandé.

Citation :
Nom : Pletorn.
Prénom : Fulmina.
Année : 7e année.
Maison : Poufsouffle.
Niveau général : Très bon.
Niveau en DCFM : Très bon également, légers problèmes à tenir une baguette à cause de tremblements (je préfère ne pas en parler si cela ne vous ennuie pas.)
Intérêts extra-scolaires : Club de lecture et chant.
Sport ? Je vais nager quand je peux et je cours le matin lorsque j’en ressens le besoin.
Projet professionnel (clair ou vague) : J’aimerais étudier la médicomagie, encore pour des raisons plutôt personnelles que je préférerais ne pas évoquer sur papier.
Modèle (sorcier ou Moldu) : Je n’ai pas vraiment de modèle, mais il y a de nombreuses personnes que j’admire, comme Matvei Sejdic et Pénélope Courterois.

Ça pourrait le faire. Même si tu voyais venir les questions à cause de ta maladie. C’était quelque chose que tu vivais un peu mieux depuis ce fameux jour en haut de la tour d’astronomie, mais tu préférais ne pas le crier sous tous les toits. Tu espérais qu’elle comprendrait.
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Message Posté Lun 1 Oct - 22:56.












i'm radioactive
waking up to ash and dust


I'm waking up to ash and dust I wipe my brow and I sweat my rust I'm breathing in the chemicals I'm breaking in, shaping up, then checking out on the prison bus This is it, the apocalypse I'm waking up, I feel it in my bones Enough to make my systems blow Welcome to the new age, to the new age I raise my flags, don my clothes It's a revolution, I suppose We'll paint it red to fit right in I'm breaking in, shaping up, then checking out on the prison bus This is it, the apocalypse


Cheveux blonds. Visage pâle. Regard perdu. On se dit que tout est fini. Que le monde peut reprendre son cours. La Terre, sa rotation éternelle. Un mouvement perpétuel qui se déploie de jours en jours et ce, quand bien même son monde à elle semblait s’être arrêté. Il s’était arrêté à cause de la guerre. A cause de la mort. A cause de l’incompréhension. Elle ne vivait plus, pour ainsi dire, que dans les sourires et les illusions. Les souvenirs, et les faux semblants. Un monde construit sur un mensonge que tous s’efforçaient à répéter, comme pour se persuader, à force de temps, qu’il était vrai : tout va pour le mieux. Mais déjà, le monde montrait les premiers signes d’une maladie. Les êtres de l’eau mourraient. Les fantômes laissaient, derrière eux, une coulée de sang. Les escaliers ralentissaient. Les membres du ministère qui devraient la rassurer l’inquiétaient encore plus. A peine tout est fini, que tout semble recommencer. En mille fois pire. Parce que cette fois-ci, rien ne s’explique. On vit dans l’indécision. Dans le brouillard d’une ignorance maudite. Dans la brume de la mort qui rode.

Elle tripotait sa baguette en attendant que le professeur ne commence son cours. La malédiction du poste de titulaire de la défense contre les forces du mal semblait perdurer, et le nouveau professeur leur avait été présenté la veille. Une russe. Et Emma ne la connaissait ni d’Eve ni d’Adam. A Poudlard, elle avait été habituée à fréquenter les grands noms de la magie. Mais cette Maldvieva lui était totalement inconnue. Mieux encore, elle était venue accompagnée par Madame Courterois, l’ancienne directrice de Beauxbâtons qui avait décidé de venir se réfugier en Ecosse. Emma avait levé les yeux au ciel lorsqu’on les avait introduits lors du dîner, les efforts pour rapprocher les pays européens du ministère étant si peu subtil.

Elle écouta en souriant le discours sur les maisons. Ca lui semblait si simple, et pourtant, vu d’un œil extérieur, il était vrai que ça n’avait rien d’évident. Elle ne savait même pas, d’ailleurs, comment ses camarades français, eux, étaient répartis. Elle se dit qu’elle devrait en parler à Rosalina. Puis vint la célèbre harangue sur le retard et l’assiduité. Emma n’écouta qu’à moitié. De même lorsqu’elle se mit à parler de Pénélope Courterois. Elle n’était pas le genre d’élève à faire des remarques à ses professeurs. Elle préférait leur faire des farces.
S’emparant d’un questionnaire, elle trempa la pointe de sa plume dans son encrier et le parcourut avant de le remplir.

Citation :
Nom : Gray
Prénom : Emma
Année : Sixième année
Maison : Serdaigle
Niveau général : Plutôt bon, mais j’ai parfois quelques difficultés à retenir les dates en histoire de la magie et à retenir les sorts en général. Globalement, j’ai un bon niveau, mais ma mémoire me joue des tours.
Niveau en DCFM : Je suis toujours en vie, ça doit bien prouver quelque chose…
Intérêts extra-scolaires : Je suis intéressée par la philosophie (je ne suis pas serdaigle pour rien), surtout parce que je cherche des réponses. Sinon, comme la plupart de mes camarades, j’écoute de la musique et je développe peu à peu une passion pour le cinéma moldu. Pour le reste… Vous le saurez bien assez tôt.
Sport ? J’aimerais rentrer dans l’équipe de Quidditch, sinon je pratique le vol à dos de dragon.
Projet professionnel (clair ou vague) : Je ne sais pas encore…
Modèle (sorcier ou Moldu) : Vera Adamovitch, la rédactrice en chef de la gazette des sorciers. J’ai eu l’occasion de l’apercevoir une fois lors d’une visite à Londres et j’admire vraiment l’assurance qu’elle dégage. Mon autre modèle serait Remus Lupin, pour des raisons toutes autres et qu’il ne convient pas d’expliquer sur papier.

Une fois qu’elle eut fini de remplir le questionnaire, Emma le fit passer, sans plus de cérémonie. La question, introduisant fort certainement le sujet du cours, vint ensuite. Maléfices et contre sorts. On entrait dans le vif du sujet. Et elle savait pertinemment qu’ils allaient passer par les sorts impardonnables. Par les sorts de la mort. Et soudain, un tas d’images lui vint en tête. Des cris. Du sang. Du noir. Une école en feu. En ruines. La guerre. C’est dingue comment les choses peuvent changer. Au fond, ils étaient dans la même école. Assis aux mêmes tables. Ils se levaient tous les matins à la même heure. Ils étudiaient les mêmes choses. Et pourtant, tout était singulièrement différent. Si on lui avait posé la question un an auparavant, Emma aurait certainement répondu rictumstempra. Mais cette fois-ci, elle répondit, d'une voix étonnamment claire.

« La guerre civile. L'organisation secrète. »


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Message Posté Dim 7 Oct - 15:53.
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L’année reprenait. Les cours aussi. Comme si rien ne s’était passé. Loin d’être motivée d’aller en cours de défense, elle restait sur son lit et attendait la limite avant de devoir courir pour arriver à l’heure. La vie ne pouvait pas redevenir normale. C’était tout simplement impossible. Les évènements avaient tout chamboulés, sa sœur était décédée et le monde continuait à vivre, comme si de rien n’était. Dieu seule savait combien sa sœur lui manquait, chaque jour étant une nouvelle étape pour son deuil. Elle n’y arrivait pas. Oublier sa sœur, oublier sa vie passée, ses souvenirs et Ludwig. Ca faisait tout simplement partie d’elle. Cinq minutes, la serpentard prenait ses affaires et courait dans les couloirs dans l’espoir d’arriver à l’heure. Sa place était toute trouvée, le plus loin possible de Ludwig, et surtout à côté de ses acolytes Serpentard : hayleen, et sa cousine Simba. Assise, elle attendait sagement et surtout impatiemment la fin du cours, alors que finalement il n’avait pas commencé. Un questionnaire ? Elle adorait ça, parler d’elle et mentir, même si ce plaisir était de plus en plus douloureux, une douce torture qu’elle s’infligeait au fil du temps.

Citation :
Nom : Singh-Anderson
Prénom : Dehli
Année : Septième année
Maison : Serpentard
Niveau général : travail moyen
Niveau en DCFM : moyen, peu d’intérêt pour les matières pratiques.
Intérêts extra-scolaires : aucun véritablement, passer du temps avec mes amies, j’aime le quidditch mais surtout les échecs version sorcier.
Projet professionnel (clair ou vague) : professeur en étude des civilisations anciennes, du moins dans ce domaine. J’envisage d’entrer à l’université dans cette filière.
Modèle (sorcier ou Moldu) : Ma sœur. Je ne dirai rien de plus là-dessus.


Elle était brève dans ses réponses, ne voulant pas dévoiler son véritable visage. Parler d’elle était de plus en plus difficile. Elle s’en voulait. Sa sœur souffrait de ses mensonges, pourtant elle continuait, regrettant alors chacune de ses paroles. Au moins, il semblait qu’elle ait une conscience, c’était rassurant d’un côté. Ennuyée, car elle avait répondue trop tôt, elle jetait un coup d’œil sur les réponses de Simba. Elle admirait sa cousine. En réalité, ce n’était pas vraiment sa cousine, rien que leur physique trahissait la vérité, pourtant, personne ne posait de question au sujet de leurs origines différentes mais de leur même famille, et tant mieux. Simba était la source d’espoir de Dehli. Celle qui l’aidait à oublier son passé, à s’éloigner de Ludwig. Elles se complétaient, elles s’étaient plutôt bien trouvées en fait. Autre coup d’œil lancé sur les élèves qui l’entouraient. Emma et son sourire que Dehli avait toujours trouvé mignon, Aubépine et ses cheveux tout simplement sublimes. Si elle pensait du bien des filles de la classe (du moins en ce qui concernait certaines d’entre elles), elle n’allait jamais l’avouer, le rôle de la garce lui allant à merveille. Pourquoi devenir gentille ? Ca ne servirait à rien. Elle avait toujours été la rebelle, celle qui fait tout de travers, et elle le resterait.

« Mal et bien. » Elle se taisait et regrettait très vite d’avoir participé. Elle n’était pas censée détester ce cours après tout ?
Daisy M. McBerry
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♦ Nota Bene
: recherches de liens en tout genre.
: vos relations principales ici
: ce que vous avez sur vous en ce moment même.



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Message Posté Dim 7 Oct - 21:48.
Les cours. La routine. Tout ça recommençait en ce début d’année. Les classes en elles-mêmes ne la dérangeaient pas, non. Elle aimait plutôt ça allé en cours. Il y en avait juste certains avec qui elle avait du mal. Comme celui de ce matin. La Botanique, ou bien le soin aux créatures magiques étaient parfait pour elle. Mais pas ça. Elle ne pouvait pas concevoir de faire du mal à une personne. Non elle ne le pouvait pas. C’était au dessus de ses forces. Alors forcement, la défense contre les forces du mal, ce n’était pas trop sa tasse de thé. Mais on ne faisait pas toujours ce que l’on voulait dans la vie…

La classe était déjà pleine lorsqu’elle arriva. Simba, Delhi… Des visages qu’elle ne voulait pas vraiment voir. Leurs petits sourires narquois et leurs rires moqueurs lui glaçaient le sang. Elles ne devaient la remarquer. Daisy s’assit donc à la première place venue, le plus loin des deux vipères. La nouvelle enseignante avait l’air plutôt strict et ne comprenait pas tout au système des maisons. Ce n’était pas très compliqué pourtant… Bref. Un questionnaire était à remplir. Encore un. Les professeurs adoraient ça en début d’année, mais pas elle.

Citation :
Nom : McBerry
Prénom : Daisy
Année : 7éme année
Maison : Gryffondor
Niveau général : Plutôt bon
Niveau en DCFM : Pas terrible... Je n'aime pas blesser les gens donc bon...
Intérêts extra-scolaires : La nature, le soin aux créatures magiques, la botanique... J'adore ça.
Sport ? Aucun, je ne suis pas très douée sur un balais
Projet professionnel (clair ou vague) : J'hésite encore entre professeur de Botanique ou de soin aux créatures magiques.
Modèle (sorcier ou Moldu) : J'en ai plusieurs... Je ne saurai pas qui choisir. Mais s'il le fallait, je prendrai surement Luna Lovegood. On se ressemble un peu finalement.

Elle n’aimait pas ça être interrogée, mais elle se pliait à la règle, comme tout le monde. Elle ne savait pas vraiment quoi répondre, et étaler sa vie n’était pas son fort. Elle resta donc très brève dans ses réponses, et rendit la feuille. Maléfices et Contre-sort. Elle ne voulait pas répondre. A vrai dire, elle n’en avait pas la moindre idée. Aucun sortilège ne lui venait en tête à l’évocation de ses mots. Aucun souvenir, le trou noir. Elle voulait peut-être s’empêcher d’y penser. Surement. Et elle ne voulait pas attirer l’attention. Elle ne voulait pas donner une autre occasion à tout ces gens de se moquer d’elle. Non, elle en avait plus que marre de cette situation, et elle voulait se faire oublier un peu. Que l’on s’acharne sur quelqu’un d’autre. Mais était-ce seulement possible ?
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