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She is just like her. ♠ ANNALEIGH & DESTINY [PM]
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
Destiny H. McGregor
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ϟ maison : Anciennement serpentard, satut qui a fait sa fierté puis sa honte tout au long de sa scolarité.

♦ Nota Bene
: À voir.
: Pas encore.
: Rien du tout.



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Message Posté Dim 2 Juin - 20:48.


i wanna live like music, rolling down the streets.
hey looking at you i wanna take you to the back of the room..

★ noms des participants: Annaleigh F. Edison et Destiny H. McGregor
★ statut du sujet: Privé
★ date: Début du mois.
★ heure: Fin d'après-midi, alors que le soleil se couche.
★ météo: Il fait beau et bon.
★ saison: 2.
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: 5.
★ numéro et titre de l'intrigue en cours: 5.
★ intervention de dominus: Pas besoin, non.
★ récompenses: Non.






Destiny H. McGregor
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ϟ maison : Anciennement serpentard, satut qui a fait sa fierté puis sa honte tout au long de sa scolarité.

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: À voir.
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Message Posté Lun 3 Juin - 19:54.
L'explosion de couleur que lui offre cette fin de journée lui écarquille la rétine. La beauté d'un tel coucher de soleil l'a souvent émerveillée, elle pouvait rester bouche bée de nombreuses minutes face à cette vaste étendue d'infinie qui était dévoilée à ses yeux dévorants. Et pourtant, à présent, elle peut à peine jeter un coup d'oeil vers l'horizon. Ça ne fait pas le même effet maintenant qu'elle sait que, peut-être, dans cette immense forêt, une bataille s'est livrée inutilement. Qu'entre deux cours d'eau, du sang s'est dilué.

Et cette sensation, cette sensation qui l'a rarement quitté, pour revenir plus douloureuse encore. Celle qui lui a tant torturé l'esprit, troué l'estomac et retourné l'intestin. Cette sensation qui jamais ne s'avoue vaincu. Celle qu'elle pensait enfouis à jamais. Elle avait tort. C'est son coeur qui est enfoui sous des tonnes de sable.

Aujourd'hui, elle avait pris le temps de se préparer un au minimum. À quoi bon ? On ne savait jamais. Elle aimait être bien, convenable. Elle aimait qu'a la croit forte, insubmersible. En réalité, elle n'était rien de tout ça. Elle était encore une enfant, une enfant qu'on s'amusait à torturer, à renverser, comme un vulgaire pion d'échec version sorcier. C'est de cette façon-là qu'elle voit la vie. Un obstacle qui perdure, perdure, jusqu'à vous tuer. Vous tranchez la gorge et tout est enfin terminée. Puis la vie vous met de côté et on vous oublie. Ils l'oublieront. Car elle n'a rien fait pour rester dans les esprits. Et elle ne fera jamais rien. Elle s'en tape. De tout.

Et elle ment, toujours autant. Elle cache, elle se cache, pour survivre. Encore et toujours. Chaque matin, elle enfile ce masque d'adolescente en pleine crise, mais s'ils savaient. Oh, s'ils savaient que ça faisait bien un bon moment qu'elle a dépassé ça. Peut-être qu'elle ne l'a jamais connu d'ailleurs. Les choses stagnent depuis quelques années. Depuis la mort de sa mère. Elle agit toujours de la même façon. Elle ignore son père. Elle se plonge dans son mutisme. Elle se cache des autres serpentards. Elle évite les autres maisons. Elle envoie des lettres à Rosaleen et Tanja. Elle correspond toujours avec Rosalina. Elle voit quelques fois Connor. Et c'est tout. C'est tout ce qu'elle s'évertue à faire.

Et il y a Annaleigh. Par le biais de celle-ci, elle fait revivre sa mère. Du mieux qu'elle peut. Sa profonde gentillesse, générosité et loyauté empêche la serpentard de la voir comme Anna, la poufsouffle de septième année. Non, elle la voit comme une amie, une amie avec une place spéciale. Une place qu'elle a offert qu'à très peu de personnes. Elle la voit comme une soeur, comme une mère.

Elle est là depuis une heure déjà. Elle est en avance.

Ce matin, dès la deuxième heure de cours, elle s'est éclipsée pour envoyer un hibou. Un hibou à Annaleigh, justement. Pour lui parler. Pour exorciser ce foutu sentiment d'incompréhension qui la consume à petit feu. Elle sait qu'elle peut lui parler et sans gêne. Elle aurait aimé pouvoir joindre Rosaleen, mais elle ne sait où elle se trouve et même si elle est encore en vie. Puis Annaleigh, c'est une fille en qui elle a confiance. Son aura maternelle lui offre tout le courage dont elle a besoin en ce moment.
Alors, elle a griffonné quelques mots sur un bout de parchemin vierge. Elle a embrassé sur le crâne la petite chouette et lui a glissé le mot entre les pattes. Et elle l'a regardé s'envoler. Libre. Elle qui est enchaînée depuis si longtemps.

    « Ce soir, 18 heures, au plus haut de toutes les tours du château ?
    Je t'embrasse fort, passe une bonne journée et ne fais pas trop de bêtise,
    Destiny M.G. »


L'ancienne salle d'astronomie, c'est un des endroits qu'elle affectionne le plus dans ce château. Autrefois, elle s'y sentait si bien. Elle se sentait vivante, importante. Elle se sent si petite maintenant, si faible. À deux doigts de tomber dans le vide. Avant, elle se moquait du vide. Elle le frôlait. Cette mort, elle l'a nargué. C'est elle qui la nargue à présent. Elle l'attend. Elle le sait.

Elle a les jambes qui tremblent et le regard qui dévie. Elle a le coeur qui bat à mille à l'heure, qui lui rappelle qu'elle est plus vivante que jamais, là, au plus haut de la plus haute tour de l'école écossaise. Elle sent l'adrénaline en elle, alors qu'elle marche, près de cette balustrade qui ne tient que par un fil. Elle la touche du bout des doigts, délicatement.

Elle frissonne à chaque nouveau coup de vent, laisse cette sensation plus que désagréable parcourir son dos, pour s'échouer aux creux de ses reins. Ses dents claquent légèrement et elle ignore cet air qui la transperce. Elle s'assoit, à même le sol, s'adossant au vide que l'espace lui inflige.

Dans ses doigts se tortille sa baguette: bois de houx, crin de licorne, 25 centimètres, relativement souple. Elle est fatiguée. Elle est à bout. La seule envie qu'elle a en ce moment, c'est de voir arriver cette tête brune qui lui rappelle tant sa mère. Pour se souvenir de ce que ça fait, de ne plus être seule. Même pour un éphémère instant.
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Message Posté Ven 7 Juin - 5:15.
Longue journée. Il y en avait quelques-unes, des comme ça. Ce genre de journées qui vous empêchaient de dormir, celles qui vous gardaient éveillées. Celles qui empêchaient votre cerveau de se reposer deux minutes. Tu en avais mal à la tête à regarder ainsi le plafond et à écouter tes colocataires soupirer dans leur sommeil et se retourner lourdement dans leurs lits. C’était stupide. Tu ne devrais pas te mettre dans un tel état et pourtant, tu ne pouvais plus t’en empêcher. Ce n’était pas vraiment comme si tu avais le choix. Tu n’avais pas décidé que cela se passe de cette façon. Si tu avais eu ton mot à dire, tout aurait été différent. Tout aurait été mieux. Tu serais encore Annaleigh, la parfaite petite Poufsouffle. La parfaite préfète. La parfaite élève. Non, maintenant, tu ne pouvais plus vraiment faire semblant. Enfin si, tu pouvais continuer à sourire, à être la consultante officielle pour répondre à toutes les questions possibles et inimaginables sur la matière vu en cours, mais à quelque part, tu savais que ce n’était plus vraiment toi. Tu ne prenais plus autant de plaisir à aider tes camarades. Lors petits problèmes ne voulaient plus dire grand-chose pour toi, même si tu aimais toujours mieux les écouter et tenter de les régler plutôt que d’affronter les tiens en face. C’était tellement plus facile ainsi, et pourtant, pour une raison ou une autre, tout semblait te rattraper ce soir-là, dans la noirceur et le silence de votre chambre. Tu étais la seule réveillée, tu le savais. Tu pouvais l’entendre aux respirations profondes de tes colocataires, qui ne se doutaient pas une seule seconde de tout ce qu’il te passait par la tête. On te pensait simple, sans problèmes, sans questions. Comme si ta tête restait silencieuse lorsque tu lui demandais. Et les cauchemars ? N’avais-tu pas le droit d’en avoir, toi aussi ? D’avoir des questions, des regrets, des souhaits ? De penser sans pouvoir t’arrêter ?

Ils ne comprenaient pas. Comment pouvaient-ils ? Ils ne savaient pas. Ils ne pouvaient pas savoir que tu mentais à chaque jour, que tu serrais ton poing droit en-dessous de ta manche ou dans ta poche pour l’empêcher de trembler. Ils ne pouvaient pas t’entendre alors que tu sanglotais au-dessus de ton piano, ta main refusant simplement de t’écouter. Cette blessure, tu la traîneras probablement toute ta vie, t’avait-on dit. Tu pouvais oublier tes longues pratiques au piano qui te permettaient de te concentrer et d’oublier. Maintenant, jouer te rappelait à quel point tu étais vulnérable et que tu tentais d’en cacher encore plus que tu ne le croyais. Tu cachais ta blessure. Tu cachais la mort de ton père et à quel point elle t’affectait, à quel point tu l’avais nié. Et, par-dessus tout, tu cachais tes sentiments pour ton professeur de sortilèges. Mais, encore plus, tu taisais que ces derniers étaient réciproques. Tu n’avouais jamais où tu disparaissais pendant le dîner, pourquoi tu avais désormais autant de retenues avec votre directeur de maison, pourquoi tu faisais n’importe quoi pendant tes cours. Et pourquoi M. Cooper t’envoyais en retenue pour des raisons toutes plus stupides les unes que les autres. Tu te taisais, parce que tu savais que si ça se savait, il serait probablement renvoyée, et toi… Toi aussi ? Ce genre de relations était interdit par le règlement et vous le saviez pertinemment bien. Voilà pourquoi vous vous cachiez et pourquoi tu mentais aux personnes les plus proches de toi à ce sujet, parce que cela ne devait jamais se découvrir. Jamais.

Le soleil avait fini par se lever et toi aussi, à défaut de pouvoir dormir. Tu lisais déjà tes manuels de cours lorsque les autres filles se sont réveillées, juste histoire de les conforter dans leur idée que tu étais absorbée par tes cours. L’élève parfaite. La préfète parfaite. La Poufsouffle parfaite. Tu leur dis avec tout l’enthousiasme dont tu pouvais faire preuve que tu étudiais pour ton test de cet après-midi. Au moins, c’était vrai, vous aviez un petit test en SACM. Ta journée s’est passée un peu au ralenti, comme si tu en étais le spectateur et que tu n’y prenais pas vraiment part. Tu devais voir Jude ce soir pour lui parler. Lui seul semblait être capable de te tirer de ta torpeur. Tu ne sais même plus pourquoi tous tes sentiments sont remontés à la surface, pourquoi tu ressentais la mort de ton père plus profondément aujourd’hui qu’hier. Tu ne comprenais pas. Mais à quoi bon ?

C’est ce midi que tu as reçu un hibou qui t’a fait changer d’idée concernant tes plans de la soirée. Destiny. Cette élève de Serpentard qui était dans la même année que toi et qui te ressemblait plus que ne l’avouerait à personne. Elle avait perdu sa mère et en souffrait énormément, un peu comme toi, au fond. Et pour une raison un peu floue encore à tes yeux, ta présence semblait la rassurer énormément. Tu savais que si elle prenait la peine de t’envoyer un hibou, ce n’était certainement pas pour te demander tes notes de cours ou pour discuter de nouvelles coiffures. Tu as donc décidé de laisser tomber l’idée d’aller voir Jude et, à 18h tapantes, tu t’es pointée dans la tour d’astronomie. La plus haute tour du château. Tu ne savais pas vraiment à quoi t’attendre de cette rencontre. C’est vrai qu’il s’était passé tellement de choses récemment, mais tu étais là pour elle. C’était quand même rare qu’une Poufsouffle et une Serpentard s’entendent à ce point, et si elle avait besoin de parler, tu serais là pour écouter. Lorsque tu es montée complètement en haut, elle était déjà là, regardant le coucher de soleil à couper le souffle. Tu avais toujours adoré cet endroit du château, pour sa magie, pour toutes ses couleurs. Tu y venais parfois lorsque c’était l’orage également. Le chaos qui se déchaînait dans le ciel t’avait toujours fascinée, toi qui étais connue pour avoir une vie tellement ordonnée.

« Ça fait longtemps que tu es là ? fais-tu doucement pour ne pas la surprendre. N’empêche, c’est compréhensible, vu l’endroit. C’est tellement beau, ici. Toutes ces couleurs, toute cette lumière… Tu ne trouves pas ? »
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Message Posté Sam 20 Juil - 13:51.


    « Ça fait longtemps que tu es là ? N’empêche, c’est compréhensible, vu l’endroit. C’est tellement beau, ici. Toutes ces couleurs, toute cette lumière… Tu ne trouves pas ? »



Cette voix, elle la reconnaîtrait entre mille. Un petit sourire prend place sur ses lèvres, mais elle ne tourne pas la tête, elle se contente de la hoche, lentement. Ses mains se posent de chaque côté de son corps. Elle avance encore un peu sa tête vers l'avant. Le vent lui fouette le visage et vient emmêler ses cheveux. Elle sent cette douce caresse lui parcourir la peau avec rapidité. Elle gonfle ses poumons et recrache l'air bruyamment.


    « Je suis là depuis quelques minutes, mais je suis là depuis assez longtemps pour avoir eu le temps d'admirer le paysage. Regarde la lumière que le soleil dégage entre la cime des arbres de la forêt interdite, tout simplement exceptionnel. Oui, tu as raison, c'est tellement beau. »


Enfin, elle daigne tourner son visage vers le sien. Elle reste assise et la voir, comme ça, debout, si grande, ça lui donne le tournis. Alors, elle se relève. Sa tête tourne légèrement, elle n'aurait pas dû faire ça aussi vite. Elle a toujours ce petit sourire sur le visage, celui qui affirme qu'elle va bien et qu'elle est contente de la voir, Annaleight.

    « Comment vas-tu, Annaleight ? »


Une question simple de sens, une que chacun répète inlassablement, mais une question plus qu'hypocrite pour certains. Tout comme sa réponse. Mais pas pour la serpentard, c'est important pour elle. Elle ne saurait pas dire pour quelle raison, mais le bien-être de la jeune femme est important pour elle. Elle aurait tellement aimé lui ressembler. Ressembler à sa mère et ne pas être la décalée de la famille. Être à poufsouffle, ça avait été son rêve pendant de longues années d'enfance, tant qu'elle avait été réellement étonnée quand elle avait été répartie chez les verts. Pour elle, c'était tellement évident. Et puis non, une autre route, un détour.

Et si elle avait été à poufsouffle, est-ce que les choses auraient été plus simple ? Est-ce que sa mère l'aurait davantage aimé ? Peut-être pas, mais elle aurait eu, sans doute, plus de courage. De courage, ce qu'elle s’efforce à se créer en ce moment. Est-ce qu'elle aurait été prise dans cette guerre si elle avait été jaune ? Ça n'aurait peut-être rien changé, ou, au contraire, réussi à lui donner une vie meilleure. Elle ne sait pas vraiment, le bonheur subjectif, ce n'est pas réellement son truc. Le bonheur tout court, ce n'est pas son truc. Ça ne l'a d'ailleurs jamais été.

Son regard se détourne du visage de la poufsouffle pour se poser sur le restant des murs de cette tour à moitié détruite. Elle les regarde attentivement, perdue dans ses pensées. C'est étrange de réussir à faire tenir une tour sur seulement quelques morceaux de pierres restants, ça l'est moins lorsque l'on parle de Poudlard. La magie, elle pourrait même la toucher tant elle est omniprésente ici. Ce n'est pas quelque chose de fictif, c'est réel, c'est sous ses yeux. C'est magnifique. Et si tout ça pourrait se faire détruire . Si cette guerre, si idiote soit-elle, pouvait faire des ravages dans sa deuxième maison. Sa maison, plutôt. Elle s'y sent comme chez elle. Elle se sent si vivante entre ses murs qu'imaginer leur démolissaient serait horrible. Elle soupire et reporte son attention sur la brune.

En la regardant, un sentiment de bien-être l'a toujours envahit. C'est bizarre de ressentir ça, mais elle ne se sent plus seule à ses côtés. Il y a cette poufsouffle, si semblable à sa mère, et ça lui fait du bien, beaucoup de bien. Grâce à elle, elle se souvient de sa voix, de ses cheveux qui ondulaient gracieusement sur ses frêles épaules, elle était belle, très belle. Tout comme Annaleight, d'ailleurs. Elle se souvient de ses yeux et de son sourire. Et ça ne lui fait pas mal. Non, quand elle est avec Anna, ça lui fait du bien. Ça lui rappelle qui elle est réellement et ce qu'elle veut devenir. Auror, son métier, ce qui l'a tué, mais aussi ce qui l'a rendu plus forte.

Les larmes lui montent aux yeux car elle se rejoue la scène dans son esprit. Quand elle revoit son corps sans vie étendu sur le sol salle de cette gare douteuse. Elle le sait, elle le sent, il est temps de faire son deuil et d'aller de l'avant, mais c'est tellement dur. Elle ravale ses larmes avec difficulté alors qu'elle force son visage à se tordre dans une expression de bien-être. Mensonge. Encore, toujours.

Mais il est temps de dire au revoir.

    « Et ta semaine ? Tu as participé à la soirée organisée par le ministre ? Un vrai désastre. »

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