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BE CAREFUL ▬ Declan & Elias & Aubépine & Kathaleen
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
Dominus Tenebrae
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Message Posté Ven 14 Sep - 23:48.

The Maze
Declan & Elias & Aubépine & Kathaleen

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●


L'année dernière avait été longue. Angoissante. La mort vous menaçait tous, menaçait vos proches, ceux que vous appréciez. Elle pouvait prendre n'importe quelle forme : votre cousin qui semblait pourtant si sympathique, l'ombre que vous aviez vu tard le soir, les bruits entendus dans l'escalier... Constamment sur vos gardes, vous avez réussi à survivre avec vos propres moyens. Voyons maintenant comment vous vous débrouillez face à d'autres dangers...
Votre professeur de DCFM était venu vous voir (ou vous réveiller) à 22h, en ce samedi soir pluvieux pour venir vous annoncer qu'il vous voulaient tous à l'entrée du labyrinthe et qu'il ne tolérait pas les absences. À votre arrivée, il vous pousse dans la labyrinthe sans vous en dire plus. Et surtout sans possibilité immédiate d'en sortir.

Dominus interviendra lorsqu’il le jugera utile.


Dominus Tenebrae.
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Message Posté Lun 17 Sep - 19:50.
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La soirée pointait le bout de son nez, par chance Elias avait décidé de rester sage pour une fois et ne pas faire de trop grosses bêtises ! En fait … il avait même décidé de faire mieux : écrire à ses parents ! Et oui, le Balckburn se devait de jouer double-jeu avec eux, autant il pouvait être le gars surdoué mais je-m’en-foutiste au possible, adepte du Carpe Diem autant avoir ses parents dans la poche était une nécessité. Manipulateur dans l’âme, Elias s’arrangeait pour envoyer des lettres très détaillées et très précises de ses cours, de son attention à ceux-ci, de ses amis respectables … tout ça dans l’unique but de passer à leurs yeux pour le fils prodigue qu’il n’était clairement pas ! Mais dans ses missives, il prenait aussi le soin de salir l’image de sa sœur, de laisser des sous-entendus et des piques à son égard se glisser entre les lignes. Pas réellement pour la blesser, ni pour lui mettre les parents à dos, Elias n’avait pas envie de les entendre se disputer dès leur retour à la maison ! Non, il en donnait juste assez pour que leurs vieux envoient des lettres inquiètes à leur fille, lui pose des questions qui la mettent mal à l’aise ou s’introduisent dans sa vie privée. Oui, Elias aimait tourmenter sa sœur.

« Mais qu’est-ce que tu fous ? Le prof de défense contre les forces du mal t’as fait appeler … tout le monde te cherche et toi tu traînes en caleçon dans ta chambre ? D’ailleurs … qu’est-ce que c’est que ça ? Une lettre à une chérie ? »

Hugo s’approcha mais ramassa un coup de pied dans l’épaule, Elias l’envoya paître, hors de question que son pote voit à quel point il pouvait se montrer manipulateur, menteur et sournois. Il s’empressa de finir la lettre, griffonnant le reste et glissant le bout de papier dans une enveloppe, Elias prit le soin de cacher cette missive afin qu’Hugo ne vienne pas assouvir sa curiosité en son absence. Collée grâce à un sort contre le haut de l’intérieur de la table de nuit, elle ne risquait rien à cet endroit. Le Blackburn quitta alors son lit, sautant sur ses pieds et s’étirant longuement. Il devait se dépêcher s’il ne voulait pas se faire laminer par le professeur … Elias alla se chercher un jeans déchiré au genou gauche et un marcel noir puis passa un gilet gris par-dessus pour être au chaud. Sa robe de sorcier sur le dos, il s’équipa d’un bonnet et de ses bottes noires. Il faisait sombre dehors et il commençait à faire de plus en plus froid ces derniers temps à la tombée de la nuit.

Parfaitement équipé pour affronter le défi que le professeur allait lui lancer, le garçon descendit dans la salle commune, distribuant quelques sourires et jeux de mains, il se dégagea de la foule pour rejoindre la sortie. Elias devait donc se rendre à l’entrée du labyrinthe … ben voyons ! Tout ça promettait d’être bien beau et surtout bien flippant ! Le garçon tâchait de ne pas laisser transparaître son état d’incertitude, dévoiler un côté paniqué de lui-même serait se rabaisser et ça, pas possible. Elias marcha donc, les mains dans les poches et le visage baissé, vers l’endroit en question. Au bout du compte, seule une autre silhouette était déjà présente. Dans la pénombre, il aurait été bien incapable de dire s’il s’agissait d’un élève, d’un prof ou d’autre chose … mais dans un élan de courage – ou d’idiotie selon le point de vue – Elias leva la main et déclara sur un ton amusé :

« Je suis là, la partie peut commencer ! »

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Message Posté Mer 19 Sep - 12:47.
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& & &
Be Careful


Tu te regardes dans la glace tout en brossant tes longues mèches blondes. Tu n'as pas l'impression d'être folle, en cet instant et pourtant, chaque jour, tu dois te répéter en boucle ce que t'a dit l'infirmière de Poudlard il y a deux ans: "Tu n'es pas folle, Kathaleen. Tu es médium" Pourtant, toi, tu as continué à douter pendant tout ce temps. Les fantômes ne te laissent jamais en paix. Tu as parfois des visions d'incidents mineurs. Rien d'important qui te confirmerait que tu es bel et bien ce que t'a dit l'infirmière. Mais une part de toi le crois, parce qu'avec ou sans médicaments, c'était toujours pareil, tu étais toujours envahie. Tu te souviens de tes cauchemars qui n'ont jamais cessé, de tes hurlements en pleine nuit au point que tu réveillais tout ton dortoir, et parfois ceux des autres années de Serpentard. Tu te souviens de ce qui faisait de toi une fille à part, que tout le monde ou presque évitait. Si tu en as souffert? Bien sûr que oui! Cela t'a toujours fait mal. Cette simple pensée fait que ta main se crispe sur ta brosse et il te faut reprendre ta respiration pour te calmer. Derrière toi, invisibles dans le miroir, une voix désormais familière t'interpelle. "Hey Kathou! tu devrais porter ça, aujourd'hui!" Tu regardes au delà de toi dans la glace pour voir une robe d'été se soulever. Mais bien sûr! Tim a raison, comme toujours... Tu lèves les yeux au ciel. Ce fantôme est sans aucun doute le seul dont la présence ne te dérange pas. Il est presque toujours avec toi, comme un chien, presque, à te donner des conseils sur la façon dont tu devrais te tenir, t'habiller, te coiffer, te maquiller. A dire vrai, tu le soupçonnes d'avoir été gay de son vivant, bien qu'il soutienne le contraire. Dans ces cas là, tu acceptes en général de lui laisser le bénéfice du doute. "Tim... As-tu vu la température, dehors?" demandes-tu à l'esprit avant de te rappeler qu'il ne peut rien sentir. Le fait qu'il arrive à soulever certains objets reste pour toi un mystère, mais tu as depuis longtemps appris que, chez les sorciers, il fallait arrêter de penser au rationnel. "Très drôle, Kathy..." "Arrête de m'appeler comme ça, tu sais que je ne le supportes pas." "Je sais, c'est pour ça que je le fais, Kathy!" Tu grognes, ce qui le fait rire et tu finis par lui balancer ta brosse à cheveux qui le traverse de part en part. "Ce n'est pas très sympa, ça!" te lance-t-il, vexé avant de disparaitre, laissant la robe tomber au sol. "Ma vie serait tellement plus simple sans fantômes..." songes-tu à voix haute en te levant pour ramasser le vêtement et l'objet. Tu remets le premier dans ton armoire, prenant plutôt un jean, un tee-shirt et un gilet, et tu reposes le deuxième dans son tiroir avant de le refermer.

Tu regardes ton calendrier pour voir quel jour on est: samedi. Tu n'as rien de prévu, pas de cours ni rien. Autant aller voir l'infirmière de Poudlard? Une simple visite de courtoisie pourrait lui faire plaisir, et toi, ça t'éviterait de tourner comme un lion en cage dans ta chambre. Ta décision est vite prise et tu t'habilles en vitesse. A peine es-tu sortie qu'il commence à pleuvoir, à ton grand-dam. Heureusement, tu n'es pas du genre à frisotter quand le temps est humide, sinon, tu te retrouverais vite avec une tête de caniche dans le paysage anglais. Tu sors ta baguette, lance un petit sortilège visant à faire dévier l'eau de sur ta tête et tu prends la direction de ton ancienne école. C'est la première fois que tu y retournes depuis la fin de l'année scolaire et tu as une boule au ventre. Après tout, l'école de magie a beaucoup souffert de la guerre avec l'Organisation Secrète et tu ne peux t'empêcher de te demander avec angoisse si elle sera différente de tes souvenirs, si les fantômes seront plus nombreux, s'ils t'accableront de leurs requêtes, si une vision du passé s'insinuera dans ton esprit, achevant de te rendre folle. Tu arrives devant le grand portail de Poudlard et exprimes ta requête. Enfin, tu peux entrer mais tu restes là, à te demander si c'est une si bonne idée que cela. Le gardien te presse, cependant, et tu finis par avancer et traverser la cours. Au fur et à mesure de tes pas, tu as l'impression de rajeunir, de redevenir la fillette peureuse qui a fait sa première entrée à Poudlard à l'âge de 11 ans, cette fillette qui s'est retrouvée à l'infirmerie avant même sa répartition et n'a donc pas connu l'émotion du banquet de la première rentrée.

La bâtisse, identique - ou presque - à tes souvenirs apparait soudain à ta vue et tu ne peux retenir un sourire. Pour l'instant, les fantômes restent à l'écart. Tu les vois, au loin, mais il pourrait tout aussi bien s'agir d'élèves tant tu es tranquille. Même Tim n'est pas revenu depuis le coup de la brosse. Tu entres, et te diriges droit vers l'infirmerie. Les première année te regardent, l'air de se demander qui tu es, mais tu ne réponds à aucun. Quelques bruits de couloir circulent entre les plus âgés qui te reconnaissent et que tu reconnais de même, mais tu ne leur adresses pas la parole. Ce n'est, après tout, pas comme si tu étais liée avec ceux que tu croises et, même si par dessus certains tu peux voir un fantôme ou deux, qui semble vouloir te demander quelque chose, tu refuses d'être le lien entre eux et tes anciens bourreaux. Au final, tu passes l'après-midi entier à l'infirmerie, à aider la titulaire à tout ranger. Ce n'est pas comme si tu ne connaissais pas les emplacements par coeur, n'est-ce pas? A cette idée, tu lèves brièvement les yeux au ciel. "Kathaleen, je te remercie d'avoir passé la journée avec moi, mais ne devrais-tu pas passer ta soirée avec des jeunes de ton âge?" "Si, sans doute..." réponds-tu sans conviction. Tu regardes l'heure à l'horloge: 21.30. Tu penses que tu as sans doute abusé de sa patience et tu prends congé. Tu te diriges vers la sortie quand tu es abordée par ton ancien professeur de DCFM. "Tiens! Mackenzie! Puisque tu es là, vas donc au labyrinthe avec tes anciens camarades!" A son ton, tu comprends que tu n'as guère le choix. Pour faire bonne mesure, il te signale quand même que vous serez quatre. A ton arrivée, tu en trouves déjà un sur place. "Salut." dis-tu simplement. A l'écusson, tu reconnais un Serdaigle dont le nom, par contre, t'échappe complètement... "Il en manque encore deux" dis-tu en réponse à ses propos.


Dernière édition par Kathaleen L. Mackenzie le Dim 30 Déc - 11:27, édité 1 fois
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Message Posté Lun 24 Sep - 20:22.
J’ai eu une journée plutôt foireuse. Il faut dire que depuis la pré-rentrée, et donc mon retour à Poudlard, je n’ai pas eu vraiment de journée à moi. Oh bien sûr, il y a eu les retrouvailles avec quelques amis, quelques petites soirées au coin du feu… Mais j’ai surtout eu du mal avec la gente masculine ces derniers temps. Hormis une petite quantité de personne, je n’ai jamais eu une ribambelle d’amis, néanmoins, je me suis toujours félicité pour ma capacité à ne pas me faire emmerder par qui que ce soit. Il faut croire qu’il y a un début à tout… Je ne sais si cela est l’euphorie des débuts d’adolescence, ou si les plus jeunes sont encore plus idiots que nous l’étions, mais Oh Mon Dieu, il faut absolument faire quelque chose.

Je me suis pourtant levé de bonne humeur, prêt à passer ma journée à Pré-au-lard, sans but précis, mais au moins pour balader. Je n’avais pas d’idée sur ce qui m’attendait, mais pour le coup, je n’ai pas été déçu. Une bande de gamin s’amusaient prêt d’un chemin par lequel (par malchance) je me trouvais en train de marcher. Quelques minutes leur a fallu pour se décider à venir m’aborder, me demandant je ne sais quoi. A vrai dire, ils ne faisaient que brailler, et j’avais la tête dans mes pensées donc… Mais je n’eus pas à les ignorer plus longtemps puisque je senti comme un pic singulier sur ma nuque. La cause ? Une brindille peut-être… Toujours est-il que le projectile venait évidemment de se faire envoyer par un des jeunes m’ayant chaleureusement salué. Evidemment, cela aurait été une histoire banale si j’avais pu les ignorer ou même les remettre à leur place, mais CHANCE de nouveau pour moi, je n’avais pas eu mon médicament aujourd’hui.

Non je n’étais pas inconscient, mais je devais me rendre à l’infirmerie dans la matinée, pour récupérer une nouvelle boite et renouveler les stocks. J’étais bien au courant que mes doses devaient être prises à intervalles régulières, tous les jours à la même heure mais pour moi, une demi-heure de plus ou de moins n’aurait rien changé… Enfin théoriquement.
ERREUR fondamentale. Je sentis rapidement mon articulation du genou flanché, et ma respiration s’accélérer dû à une bouffée de chaleur très importante. Foutue syndrome… Je suis pratiquement sûr que j’aurais pu m’évanouir si Meryc n’avait pas été si près. Chance ? Nous allons dire destin opportun, car vu la fin de matinée corsée, allongé à l’infirmerie que j’ai passé, je ne parlerais pas de chance. J’allais très bien, mais il faut dire que l’infirmière m’avait toujours bien apprécié, étant une des seules personnes au courant de ma maladie, elle avait tout de suite forgé des liens plus ou moins amicaux avec mes parents, puis avec moi-même. Au final, j’avais beaucoup discuté avec elle, puis était reparti un peu avant le déjeuner, croisant une jeune fille blonde allant dans la direction inverse de la mienne, je la suivis inconsciemment du regard pour la voir franchir elle aussi les portes que je venais de fermer derrière moi.

Enfin, autant dire que cette crise m’avait quand même mis le moral à zéro. D’autant que Meryc n’avait pas pu passer le reste de la journée avec moi, puisqu’il voyait sa famille aujourd’hui. Je ne pouvais pas lui en vouloir, mais c’est vrai que nous n’avions pas eu l’occasion de vraiment passer du temps ensemble et il me manquait… Un peu… Ok, il me manquait beaucoup, je l’avoue. Bref, le reste de ma journée ne fut pas très éloquent, mais plus ou moins rythmé par une certaine appréhension. En effet, j’avais encore une fois fait gage de beaucoup de chance en croisant mon professeur de Défense Contre les Forces du Mal, qui avait eu dont de m’alpaguer avec lui durant un long trajet, me questionnant étrangement sur ma santé actuelle. Certes, je savais le corps enseignant au courant de mon état, mais rares avaient été les fois où ils m’en avaient parlé. Je ne sais pas vraiment si lui mentir sur le petit incident de ce matin avait été une bonne idée, mais au final, il m’avait grandement sourit pour m’annoncer tout flambant : « Bon ! Et bien vous me semblez en excellente forme pour une petite soirée dans le labyrinthe Mr. Hepburn ! », me laissant sur ces mots, à la fois interloqué et sur ma faim.

C’est donc comme ça, dans cet état d’esprit que je me retrouvais à me diriger d’un pas las et non véritablement enthousiaste vers ma distraction de la soirée. Bien que le professeur ne m’ait pas donné grande information, je me doutais bien que la présence d’autres élèves devait être requise. C’est ainsi que j’arrivais sur les lieux, trouvant déjà deux élèves. Le garçon me sembla vaguement familier, et je compris à l’écusson que la raison résidait dans le fait qu’il appartenait à ma maison. La jeune fille en revanche m’étonna plus, puisque je reconnu au deuxième coup d’œil l’élève qui se dirigeait vers l’infirmerie tout à l’heure. Je l’entendis vaguement dire qu’il manquait deux élèves avant de signaler ma présence. « Me voilà. J’espère que vous n’avez pas attendu trop lontemps. »

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Message Posté Mar 25 Sep - 0:47.
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Aubépine avait passé une journée presque normale… si l’on se basait sur les critères de ses camarades. Une partie d’échecs sorciers, la fin de ses devoirs… Elle n’avait même pas été à la bibliothèque se renseigner sur une cure à la maladie qui touchait les êtres de l’eau. En revanche, elle avait terminé de se coudre une superbe écharpe bleue… relativement neutre, comparé à ce que la jeune fille portait habituellement.

Une fois cette dernière terminée, elle avait feint aller se coucher, et s’était mise en pyjama, pour ne pas que ses camarades de dortoir soient suspicieuses. Aubépine, se coucher alors qu’il n’était même pas encore vingt-deux heures, tout au plus vingt-et-une heure trente ? Même pas en rêve. Elle revêtit son confortable pyjama – c’est qu’il commençait à faire trop faire pour dormir en nuisette -, et fit mine de s’allonger, le temps que les autres Serdaigle de septième année s’endorment.

Une fois ceci fait, elle ouvrit sa malle et en sortit le balais qu’elle avait miniaturisé pour qu’il rentre dedans. Murmurant un sortilège, elle lui rendit sa taille normale à l’aide de sa baguette. Après avoir mis sa robe à l’écusson de Serdaigle et l’écharpe qu’elle s’était faite, elle enfourcha le balai et s’envola par la fenêtre en essayant de faire le moins de bruit possible. Elle vola un moment, jusqu’à décider qu’elle pourrait peut-être s’approcher du lac et des êtres de l’eau.

Elle descendit donc, jusqu’à se poser, mais constata que les gardes implacables étaient toujours là. Aucun espoir de s’approcher. Elle repartit donc sur ses pas, mais dans son empressement ne fit pas attention au professeur qui venait vers elle, et le heurta de plein fouet.

« AIE ! »
« Mademoiselle de Severac, vous devriez faire attention à votre trajectoire. Cela dit, vous tombez bien. Vous me tombez bien dessus, à vrai dire. Je vous cherchais. Vous devez aller aider vos camarades, qui se sont perdus dans le labyrinthe. Vous avez un balai, cela vous aidera. Suivez moi. »

Le professeur partit sans laisser à Aubépine le temps d’accepter ou de refuser, et elle lui emboita donc le pas. Echapper à une retenue était si facile, elle n’avait qu’à sortir les gens qui ne trouvaient pas leur chemin dans le labyrinthe ? Parfait.

Ni une ni deux, le professeur la poussa dedans, alors qu’elle n’avait pas réalisé qu’ils étaient enfin arrivés. Elle sourit aux trois élèves non loin d’elle.

« Bonsoir. »
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