Maudit chat ! Et bien oui avec les animaux domestiques des élèves, il n'était pas rare d'en voir ce baladé dans les couloirs. Et pour les chats, l'étage quatre les attirent plus particulièrement. Calypso, avait assez mal dormis et le réveil fût plutôt difficile. Alors, autant vous dire que de devoir poursuivre un chat, depuis le rez-de-chaussée jusqu’au quatrième étage de ce grand château, cela ne la rend pas plus de bonne humeur. De plus le temps relativement changeant ne lui permettait pas de sortir. Effectivement, étant préfète en chef, elle se devait de rester là où les élèves restent, autrement dit, logis dans les couloirs, les escaliers qui n'en font toujours qu'à leur tête et souvent la grande salle. Alors que la poursuite prenait fin dans un cul de sac, le chat disparut. Quelle était donc cette magie qui lui avait permis de filer ? Épuisée par cette chasse au chat, calypso jetât son regard à travers les vitraux qui se trouvaient face à elle. Le soleil était caché par des nuages sombres et bien vite, elle vue apparaître sur les vitres colorées des gouttelettes de pluie. Calypso soupira. Ce temps-là la rendait chèvre. Elle qui aime sortir en jours de repos, cette fois ci c'était belle et bien fichus. Mais bon, elle pensait trouver une activité amusante à faire. Mais ce ne serait certainement pas au quatrième étage de Poudlard. Elle fit volte face et pris la direction qui menait aux escaliers. Quand soudains elle fut percutée par une jeune fille qui courrait. Cette petite tête brune était en seconde année. C'était Sérina, une fille d'ordinaire timide, sans passé extraordinaire. Une fille que personne ne remarque. Calypso, encore stupéfaite de voir la jeune fillette de douze ans s'amusait ainsi, était assise par terre. Heureusement pour la jeune fille que Calypso n'avait rien, sinon elle l'aurait incendié. Pour une fois la jeune femme de dernière année se contenta de se relever et d'aider la petite brune à faire de même. Bien entendue, elle ne la laissa pas partir si facilement.

« Je comprend bien que tu sois heureuse de vivre, que tu es jeune, que tu as la pêche, mais fait un peu attention ! Maintenant zou ! Je veux plus te voir sur mon chemin canaille ! »

Calypso regardait la petite prendre le couloir de gauche quelque mètre plus loin. Le sourire qu'elle avait alors fait à la jeune enfant disparut à nouveau. Ces pauvres petits ne peuvent pas se dépenser dehors à cause du temps. Mais ne nous attardons pas plus sur ce détail qui ne fait que rendre Calypso encore plus énervée et stressé. La jeune femme brune partis dans les couloirs roder un peu. Elle ne savait pas trop quoi faire pour le coup. Elle repenser surtout à cette lettre qu’elle avait reçue de Themis. Pouvait-il réellement lui dévoiler son passé ? Effectivement Calypso était pensive c’est dernier temps. Elle voulait absolument connaître son passé, qui étaient ses parents ? Fût-elle heureuse ? Avait-elle un frère ou une sœur ? Des cousins, de la famille ? Que pouvait-elle bien apprendre sur ce passé que tous s’évertue à lui cacher ? Mais en plus de sa curiosité, il y a aussi la crainte. Est-ce raisonnable de vouloir connaître son passé ? Et s’il était plus sombre qu’heureux ? Serait-elle contente de son passé ? Calypso était donc perturbé. Elle n’avait pas répondus grand choses à cette lettre. Mais le peu qu’elle avait répondue autorisé Themis à la protégée. Calypso avait d’ailleurs un peu honte, elle se demandait même où était passé sa fierté. En effet cette jeune femme, préfète en chef, débrouillarde, plus froide et solitaire qu’amicale, avait accepté qu’on la protège, alors qu’elle s’était jurée de toujours se débrouiller seule ! Soudainement des bruits. Puis une voix. Ha mais cette voix ? Et bien oui, Calypso, curieuse fonça voir. Elle marcha, puis un peu plus vite, puis encore plus vite, jusqu'à courir. Cinq ou six couloirs plus loin, elle se stoppa net.

« Tien donc, mais ce ne serait pas cette tordue d’Elisabeth ?! Comme on se retrouve petite Blackburn ! Alors on cherche son fréro pour lui bourrer encore le crâne ? Où on cherche quelqu’un car on est perdue ? Alors ma pauvre quelle est ta réponse ? »

Cette fois Calypso la tenait ! Effectivement, la dernière fois que les deux jeunes femmes c’étaient croisées, Calypso avait dut lâcher l’affaire car elle était appeler par une élève qui premièrement ne trouvait pas son chemin, et deuxièmement était prise pour cible par des garçons de quatrième année. Et par la suite, elle dut ce rendre auprès du hibou qui lui amener la fameuse lettre de Themis. Mais cette fois ci, pas de lettre, personnes à cette étages. La voix était libre. Elle pouvait enfin passer ses nerfs de la journée précédente et de la mâtiné sur une jeune femme spéciale. Son souffre douleur attitré ! Calypso prend toujours un malin plaisir avec cette fille. Elle se montre cruelle, sadique, mauvaise, méchante, hypocrite, mais surtout complètement peste. Aller Elisabeth Blackburn, à nous deux !