L'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité. [PM] & Dorian
ϟ celui qui lit ce titre est un elfe de maison. Ceci était la touche d'humour de Thor.
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Posté Dim 20 Jan - 18:14.
i wanna live like music, rolling down the streets.
hey looking at you i wanna take you to the back of the room..
★ noms des participants: Dorian S. Greenwood & Casey F. Larson ★ statut du sujet: Privé ★ date: Vers le 25 novembre ★ heure: fin d'aprem, début de soirée ★ météo: Il pleut. ★ saison: Saison 2 ★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: 2x03 ★ numéro et titre de l'intrigue en cours: 2x03 ★ intervention de dominus: Nope thanks ★ récompenses: Pas encore (aaa)
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Posté Dim 20 Jan - 21:50.
The forbidden forest ◈ Dorian Greenwood & casey larson
l'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité.
epuis que je suis arrivée à Poudlard, j’ai l’impression que la chance me sourit quelque peu. J’avais retrouvé mon cousin Vitali par un pur et heureux hasard. Au début, j’avais hésité. Je me disais que j’étais surement folle ou que j’avais eu une hallucination parce que mon cousin était en Russie et non à Poudlard pour moi. Et puis, je ne savais même pas s’il était encore en vie, s’il allait bien ou quoique ce soit. Mais, ces yeux, ce teint, ce sourire. Je les connaissais que trop bien. Au fond de moi, bien avant d’en avoir eu la confirmation, j’avais su que c’était lui. Il ne pouvait en être autrement. Nous étions devenus inséparables depuis ce jour-là. Mais, nous avions quand même nos secrets. Nous ne pouvons pas connaître le jardin secret de l’autre après trois mois. Je ne pouvais décemment pas lui avouer être tombée amoureuse d’un homme huit ans plus âgé que moi. Que je passais une bonne partie de mes nuits chez lui au lieu de les passer chez moi. J’étais peut-être majeure, mais cette relation ne serait pas vraiment vue d’un bon œil par mon cousin et par le reste des gens. Je suis encore étudiante et lui travaille au château et à l’université. Autant dire que c’était un peu comme une relation interdite. Mais, grâce à eux, j’avais réussi à vivre les trois plus beaux mois de ma vie pour le moment depuis le décès de mes parents. Les moments que je passe avec eux sont magiques pour moi.
J’étais chez Dorian ce soir. Comme d’habitude en ce moment. J’avais du mal à rester à la villa en ce moment. Je ne m’entendais pas tellement avec Kathaleen et Rosaleen est souvent dehors elle aussi en ce moment. Lorsque je dors avec Dorian, je fais moins de cauchemars et je passe de meilleures nuits. Je me sens en sécurité avec lui. Pourtant, je ne prévoyais jamais de rester dormir chez lui. Je savais que s’il se faisait attraper avec une étudiante chez lui ça finirait surement mal. Mais, à chaque fois qu’il me le proposait, je ne pouvais dire non. J’aimais trop être avec lui, dans ses bras. Alors je restais avec lui tout en étant la plus distante possible malgré quelques laissés aller. Il m’avait offert sa première peluche un soir. Je lui avais donné le collier de mon père. J’avais été en cours aujourd’hui malgré ma douloureuse cheville. J’en revenais de m’être fait mal à ce point. Tout ça parce que je m’étais disputé avec lui pour une broutille. Normalement, je n’en avais plus pour longtemps avec cette attèle de malheur.
Nous étions sortit faire un tour dans la forêt. Je n’avais pas vraiment l’habitude de faire ça avec lui mais, il avait eu envie ce soir. Nous marchions lentement à cause de mon léger handicap. Nous discutions de tout et de rien, de la journée que nous avions passé chacun de notre côté, des nouveaux évènements, de Loki et Athena. Finalement, nous avions décidé de prendre le chemin du retour. J’avais attrapé sa main. Ca avait été trop tentant depuis le début et je n’avais pas pu résister. Il avait tourné la tête vers moi et m’avait sourit avant d’entrelacer nos doigts. J’avais souris à mon tour, fondant un peu plus pour lui. Mais, alors que nous marchions tranquillement, la pluie se mit à tomber à torrent. Je ne pouvais courir alors Dorian me prit sur son dos et courut. J’avais eu peur qu’il ne tombe car même si je ne faisais plus attention au fait qu’il soit aveugle, je n’en oubliais pas le fait que rien ne l’empêchait de tomber et avec mon poids en plus, je ne voulais pas lui faire mal. « Tu devrais me reposer à terre Dorian, je suis pas toute légère, tu peux te faire mal… » J’avais pris la mauvaise habitude de le materner en quelque sorte. Je voyais bien que parfois ça l’agaçait profondément mais, j’y peux rien, je n’arrive pas à me dire qu’il ne risque rien. Nous arrivions après quelques minutes devant la cabane. Je me penchais et l’ouvris pour aller plus vite et ne pas prendre le risque de tomber. Une fois à l’intérieur, il me posa à terre avec douceur. Je restais à l’entrer pour ne pas mouiller plus qu’il ne le faisait la cabane. Il était partit, surement pour aller chercher des serviettes pour nous sécher. Je ne savais pas si j’allais rester ce soir. Ca faisait trois jours que je n’étais passé qu’en coup de vent à la villa et les filles finiraient bien par me poser des questions. Et après quelques secondes de réflexion, je décidai de rentrer dormir à la maison. Il revint dans la pièce avec des serviettes plein les bras. Il m’en tendit une. « Merci Dorian. Dis, je pense que je vais rentrer à la villa ce soir pour dormir… Ca fait trois jours que j’y ai pas dormi et les filles vont finir par me poser des questions… » Je n’en avais pas envie pour autant.
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Posté Mar 22 Jan - 21:31.
« But let me start by saying I love you »
"Dorian, vous pourrez m'aider dans les serres ? Il faut rempotter toutes les mandragores, et faire un gros nettoyage, protéger certaines plantes, l'hiver arrive à grand pas !""Oui bien sûr ! Je dois d'abord m'occuper des hypogriffes et allez m'occuper des limaces qui dévorent le potager et ensuite je viens.""Merci, vous êtes d'une bonne utilité ici !" Je tournais la tête à moitié surpris par sa remarque. Je savais que beaucoup été réticent d'avoir un garde-chasse aveugle. Franchement quelle idée, devaient-ils penser. Parfois je les comprenais. Du moins, je me m'étais à leur place, d'un point de vue extérieur, voire quelqu'un débarqueren sachant qu'il n'était pas capable de se service de ses yeux et devait entretenir l'extérieur de château et sa faune était une drôle de situation, de l'autre c'était lassant de toujours devoir prouver ce que je valais, mais je n'allais pas m'arrêter en si bon chemin. De plus, Jeremiah me soutenait assez pour leur tenir tête et leur dire que j'étais le plus qualifié ici. Comme prévu, je fis un tour dans le troupeau d'hyppogriffes, allant voir si les petits allaient bien, si les plumes étaient en bon état. Pas besoin de les voir pour ça, un toucher suffisait. Je me mis à rire en entendant Loki grogner avant de se faire courser par un grand mâle. On passait de plus en plus de temps ensemble tout les deux. Athena ayant eu sa petite cookieil y'a 2 semaines, elle passait plus de temps avec son poussin, ce qui était terribliment normal. J'adorais la savoir Maman, c'était sa deuxième portée seulement, et cette foi-ci elle ne m'avait fait qu'un seul poussin, mais un magnifique poussin selon Casey. Casey.... ma douce Casey. Je souriais en pensant à elle, coupant les griffes d'une femmelle, je songeais à ma belle. J'avais lutté... pendant 2 mois pour ne pas lui dire que je l'aimais. Oui deux mois. Dès le premier jour, ce fut un des plus beaux coups de foudre de ma vie. Le seul en réalité. Avant elle, je n'avais jamais aimé, c'était sûr maintenant. J'avais cru être amoureux d'Arya avant de rompre, et finalement, maintenant que je connaissais Casey, je connaissais enfin le sens du mot aimer. On devenait vraiment inséparable, et je commençais à détester les moments sans elle, les nuits sans elle. Elle me rendait dingue, mais ma raison l'emportait sur les sentiments, comme se fichu soir ou je la dépourvu de sa mémoire, de notre premier baiser, de nos envies, de nos douceurs. Cette nuit, ce moment, cette erreur... tout me hantait si profondément. Je me détestais d'avoir fait ça, mais je ne pouvais m'empêcher de me dire que j'avais agis pour le mieux, mon don devenait de plus en plus dangereux, elle avait déjà perdu ses parents, je ne voulais pas... Il ne falait pas qu'elle le supporte encore par ma faute.
Le moment avec les hypogriffes venait à sa fin, je souriais en rangeant mon matériel dans ma petite sacoche jusqu'à ce qu'un cri n'attire mon attention, me donnant un grand frisson. Je me mordis la lèvre. "Loki vient..." Je pris le chemin vers le forêt interdite, jusqu'à me retrouver vers une licorne, je reconnaissais son hennissement, mais je fus vite à terre, pris d'une violente douleur dans le flanc. "Oh..." Je tenais mon ventre alors que les larmes montaient dans mes yeux, y formant un lac prêt à craquer, j'en avais le souffle coupé. C'était comme si on me déchirait la peau qu'on me coupait en morceau, je sentais la licorne agonir à cause de la douleur, je la sentais suppliante, voulant en finir avec ce moment. J'étais dans le même état qu'elle, j'avais le sentiment que mon coeur était au bord de l'implosion, Loki me léchait le visage, poussant de nombreux cris afin d'alerter quelqu'un. Un professeur me trouva le plus heureux des hasards, m'emmenant à l'infirmerie au plus vite alors que Loki nous suivait en trottant derrière nous. Inquiète, l'infirmière me somma encore une fois de quitter Poudlard, de trouver un travail loin de la faune parce qu'à force, mon corps n'allait pas supporter encore autant d'attaque. Je refusais bien évidemment. Comment quitter ma maison, mon chez moi, mon métier, la femme de ma vie ? Non hors de question, je voulais être plus fort que les dérèglement, j'étais tellement têtu... Elle avait prévenu les aurors qui surveillaient le lac pour dire qu'une licorne avait été attaqué. J'espérais qu'ils la retrouvent et s'occupent de sa dépouille. Les animaux méritaient autant que nous d'être bien traité, même dans la mort. Je ne repartis pas pour autant chez moi, allant au potager, puis aux serres afin de tenir ma promesse malgré la fatigue. Et puis vint le moment de s'arrêter un peu et de rentrer à la maison.
Je repartis à la cabane, croisant Casey en chemin qui voulait me voir, j'étais heureux de sentir sa présence à mes cotés, Loki aussi. Je ne voulais pas lui montrer que ça allait mal, et je ne voulais pas aller m'enfermer de suite à la cabane. A vrai dire, on décida assez naturellement de partir se promener dans la forêt, je voulais ramasser des champignons et des asperges vertes pour notre repas de ce soir. Je me doutais bien qu'elle allait rester avec moi. On s'était mis à discuter de tout et de rien, rammassant de temps en temps ce qu'il nous fallait, j'étais quand même inquiet de retomber sur la licorne et de souffrir à nouveau et devant elle. J'aimais tellement ses moment avec elle, c'était si bon, si doux, si tendre. C'était comme de réunir deux passions dans une, la nature et l'amour. C'était à la fois une torture, j'avais envie de m'arrêter derrière chaque arbre afin de lui voler un baiser, et puis malgré tout, on concervait une certaine distance dehors alors qu'une fois seul dans la cabane, on passait peu de temps sans se toucher, se câliner, se frôler... J'aimais tellement la tenir dans mes bras. Mais comment croire que c'était normal ? Malgré le fait qu'elle soit majeure, nous avions malgré tout 8 ans d'écart, et ce n'était pas rien, vraiment rien ! Je m'en voulais parfois d'aimer autant une jeune femme, et en même temps, je me disais que je n'aurais pas pu faire autrement que de l'aimer. C'était une évidence claire comme de l'eau de roche qui me détruisait le coeur au fur et à mesure que le temps avançait.
Le vent devint plus froid, ce qui eut le don de me faire frissonner. Elle avait attrapé ma main alors que nous repartions vers la cabane, j'avais entrelacé nos doigts en lui souriant. J'avais juste envie de lui murmurer un tendre je t'aime. Et puis la pluie s'en mêla, assez violemment d'ailleurs, c'était impossible de courir à cause de sa cheville meurtrie, je n'avais pas hésité alors à la prendre sur mon dos, et à marcher rapidement vers la cabane, je connaissais le chemin, mais en cas de pluie, c'était pire pour moi. heureusement, elle pouvait me guider me disant si il y avait de gros obstacles, de plus, Loki poussait constamment de petits cris afin que mes oreilles ne sachent le suivre. Comme d'habitude, elle me maternait, disant qu'elle n'était pas assez légère pour moi. Aider Casey a retrouver confiance en elle était vraiment plus grand objectif. "Tu es légère comme une plume ne doute pas de ça !" On arriva bien vite à la maison, elle poussa la porte, Loki s'empressa d'entrer pour aller vers la cheminée alors qu'Athena poussa un cri de mécontentement, on faisait entrer un vent froid avec nous après tout. Je la posais doucement à terre avant de suivre le chemin vers la salle de bain. Pour savoir où j'étais, je frôlais les murs ou les meubles avec ma main, connaissant ainsi mon chez-moi par coeur. Je pris des serviettes chaudes et revint vers elle, en posant sur la table, lui en tendant une avant d'en prendre une autre pour lui essuyer ses longs cheveux alors qu'elle commençait à parler d'un ton inquiet. "Je sais que ça serait bien que tu rentres, mais... Il fait un temps de chien, la villa est quand même un peu loin, je refuse que tu rentres sous la pluie, et encore moins avec ta cheville dans son attelle." C'était de la folie, il fallait le dire. "Restes... j'ai envie que tu restes..." J'essuyais son visage doucement avant de caresser sa joue d'un revers de main. "Mets tes habits à sécher devant la cheminée, et prends ce que tu veux dans l'armoire." Je me reculais, ôtant ma chemise puis mon t-shirt devant elle, enfin, non loin d'elle plutôt. Parfois j'oubliais que j'étais le seul à ne pas pouvoir me servir de mes yeux. Je restais en pantalon et torse nu devant elle avant de partir vers la chambre pour y chercher des vêtements plus chaud. J'étais en boxer prêt du lit lorsque je l'entendis rentrer dans la pièce timidement, je me tournais vers elle alors que je passais une serviette sur mon corps mouillé. "Fais comme chez toi pour l'armoire, tu sais que.... tu fais comme tu veux ici." Je me passais ma main dans les cheveux, me léchant la lèvre au passage alors qu'il y avait une certaine tension entre nous. Depuis notre premier baiser, je n'avais qu'une envie, que ça se renouvelle encore... Dans un élan, je fis quelques pas vers elle. Me mettant juste devant ma belle. "Tu... es bien silencieuse... ça va ?"
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Posté Jeu 24 Jan - 15:32.
The forbidden forest ◈ Dorian Greenwood & casey larson
l'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité.
e n’avais jamais ressenti ça auparavant. Je n’avais jamais éprouvé de telles choses, de tels sentiments de cette puissance. J’avais été amoureuse plus d’une fois, j’avais eu des béguins, des coups de cœur mais, je n’avais jamais aimé comme ça. Comme ça en si peu de temps. Je m’étais cru folle au départ, sous l’emprise d’un mauvais sort peut-être mais jamais je n’aurais pu croire que j’étais entrain de tomber amoureuse. Parce que oui, c’est bien ce qu’il se passait. Il avait réussi à voler mon cœur et ce depuis le premier regard que je lui avais jeté, le premier mot échangé, le premier geste affectif. Mais ça me tuait tout ça. De voir se cacher, devoir garder ce qu’on ressent pour soi, faire comme si rien ne se passait alors qu’en fait, qu’il était devenu l’une des personnes les plus importantes dans ma vie. Je passais de moins en moins de temps sans lui. Je n’arrivais plus tellement à dormir sans lui. Il m’aidait à me calmer. Je me sentais sereine avec lui, en sécurité et je ne fais pas de cauchemars lorsque l’on dort ensemble. Alors, faire comme si de rien n’était devant tout le monde devenait pesant. J’essayais de cacher le plus possible les sentiments que j’ai envers lui. Je les lui cachais le plus possible pour ne pas commettre d’erreur et qu’il puisse garder son boulot. C’est pour ça que j’avais en partie décidé de dormir à la villa ce soir. Si quelqu’un venait et me trouvait là, il finirait par avoir des ennuis.
Il ne répondit pas de suite. Il m’essuya les cheveux avec une serviette pendant que j’essayais de me sécher un minimum pour ne pas tremper l’intérieur de sa maison. « Merci… » C’était attentionné de sa part. J’aurais pu le faire toute seule mais il avait pris l’initiative de le faire. « Je sais que ça serait bien que tu rentres, mais... Il fait un temps de chien, la villa est quand même un peu loin, je refuse que tu rentres sous la pluie, et encore moins avec ta cheville dans son attelle. » Il n’avait pas tort. Ca me freinait un peu à rentrer d’ailleurs mais, il était quand même plus sage que je rentre selon moi. « Tu sais que c’est pas…raisonnable que je reste là ce soir encore. » Je ne voulais vraiment pas lui attirer d’ennuis. « Restes... j'ai envie que tu restes... » Il essuya mon visage avec la serviette. Il était doux dans ses gestes, faisant attention à ne pas me faire mal. J’avais envie de rester. Plus le temps passé et plus j’avais envie de rester à la cabane pour passer mes soirées et mes nuits avec lui. Juste le fait d’être avec lui me suffisait, je n’en demandais pas plus. Finalement, ma volonté se brisa lorsqu’il toucha ma joue d’une douce caresse du revers de sa main. Ce geste me fit frissonner. « D’accord, je vais rester. » J’enlevais mes chaussures pour ne pas mettre de la boue partout. Il râlait souvent à ce genre de manies que j’ai mais, j’avais été éduquée comme ça. J’abusais déjà assez de son hospitalité alors je n’allais pas lui salir sa maison en plus de ça. « Mets tes habits à sécher devant la cheminée, et prends ce que tu veux dans l'armoire. » Il posa la serviette et s’éloigna. Il commença à enlever sa chemise devant moi. Je finis par tourner à nouveau mon regard vers lui, il ôtait son tee-shirt se retrouvant torse nu devant moi. Je détournai vite le regard. J’étais loin d’être prude ou choquée par ce genre de choses. Mais, si je ne détournai pas le regard maintenant, j’allais rester bloquée sur sa silhouette pendant un petit moment. Je ne pouvais pas me permettre un écart de comportement. Lorsqu’il se dirigea vers la chambre, je me dirigeais dans le salon pour prendre une chaise et l’installer devant la cheminée afin d’y déposer mes vêtements pour les sécher.
J’avais hésité entre enlever mes vêtements maintenant ou d’abord aller chercher des vêtements de rechange dans son armoire. Je finis par opter pour la deuxième option. Même s’il ne pouvait pas me voir, j’étais gênée à l’idée de me retrouver en sous-vêtements dans la même pièce que lui. Je me dirigeais dans la chambre pour y prendre le nécessaire parmi ses habits. Lorsque je passais le pas de la porte je vis qu’il n’était plus qu’en boxer. Je le fixais pendant un long moment sans pour autant avancer dans la chambre. Je n’arrivais pas à quitter son dos musclé des yeux. Il s’essuyait le corps avec une serviette et il était vraiment beau. Beaucoup trop pour ma propre santé mentale. Je finis par avancer avec hésitations entre attendre qu’il ait fini et entrait maintenant. Je me dirigeais vers l’armoire et l’ouvrit. « Fais comme chez toi pour l'armoire, tu sais que.... tu fais comme tu veux ici. » C’est vrai qu’il me disait toujours de faire comme chez moi, que je pouvais me servir de tout ce qui était dans la maison. Mais, mon éducation faisait que j’avais toujours du mal à faire ce qu’il disait. J’ouvris les portes et examinai tout ce qu’il y avait dedans. Chemises, tee-shirts, pulls, pantalons…je ne savais pas quoi choisir. Je finis par prendre un tee-shirt et un short avant de refermer les portes. Alors que je me tournais, je tombai nez à nez avec lui. Il s’était rapproché. « Tu... es bien silencieuse... ça va ? » C’est vrai que j’avais très peu parlé depuis que nous étions revenus à la cabane.ca m’arrivait souvent ses derniers temps et à chaque fois il s’inquiétait que je sois devenue silencieuse. Je regardais son torse toujours nu et perdis le fil de mes pensées. « Hum… » Je détournai à nouveau le regard. « Tout va bien, ne t’en fais pas. » Je le regardai à nouveau et lui caressai la joue. Ca avait été plus fort que moi. je passai mon pouce délicatement sur sa pommette avant de laisser tomber mon bras le long de mon corps. « Je vais aller me changer dans la salle de bain, je reviens. » J’allais à la salle de bains et changeais mes vêtements mouillés contre les vêtements secs que je lui avais emprunté. Je trouvais un élastique que j’avais dû laisser quelques temps avant au bord du lavabo et relevai mes cheveux en un chignon. Je pris mes affaires et sortis de la salle de bain, je posai les vêtements sur la chaise que j’avais déplacé et m’assis sur le sol devant la cheminée. J’avais mal à la cheville depuis que nous étions rentrés et lorsque je jetai un œil à celle-ci, je vis qu’elle était enflée. « J’ai dû me faire mal à la cheville tout à l’heure parce qu’elle est enflée. J’ai dû me cogner ou je ne sais pas trop sans le sentir… » Je massais l’endroit pour essayer de faire passer la douleur.
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Posté Sam 26 Jan - 12:05.
« But let me start by saying I love you »
Sa fine caresse sur ma pommette me fit frissonner. Je me rendis compte que j'étais presque nu face à elle. Je n'avais pas le droit de faire ça Je regrettais le soir.... cette nuit où j'avais du lui jeter un oubliette pour ne pas qu'elle souffre à cause de notre possible histoire d'amour, et je nous faisais retomber dans les bras de la tentation. Non je n'avais pas le droit. Je mis une chemise ouverte sur mon corps et me mit assis sur le lit. Attendant sagement qu'elle ne sorte de la salle de bain pour pouvoir y aller à mon tour. La porte s'ouvrit assez rapidement et j'entendis ses petits pas aller jusqu'au salon. J'eus un sourire en l'imaginant marcher, elle devait être vraiment belle dans toutes les situations possibles et imaginables. Parfois, je regretais de ne pas pouvoir admirer son visage, et d'un autre coté, je me disais que c'était mieux ainsi. On ne pouvait pas me repprocher de m'intéresser aux autres juste pour un physique. Je pris le temps de me décrasser un peu, après une journée à travailler dans les serres et la forêt interdite, ce n'était pas si mal. Je caressais mon flanc encore douloureux de cette rencontre horrible. Je me demandais malgré tout ce qui avait bien pu arriver. Comment une licorne pouvait agonir de la sorte. Je soupirais faiblement. Je séchais ma peau propre avant d'y passer un peu de parfum. Une fois dans la chambre, j'enfilais un bas de pyjama noir et fluide, un peu large, un marcel blanc, et ma chemise rouge par dessus le tout. Je ne me prenais pas la tête avec elle. On était habitué à être simple l'un envers l'autre. Tout ce que je n'étai pas avec Arya. Il fallait tellement faire attention à sa schyzophrénie en même temps que les gestes du quotidien devenait un peu plus laborieux qu'en temps normaux. Je l'avais aimé mais pas assez et j'aurais du le savoir avant, le voir, le sentir et pas faire durer ça un an. Je m'en voulais, je me sentais horrible comme petit ami. Je n'avais jamais eu de vraies longues relations apart Arya et je me disais que ce n'était pas pour rien. Et puis, il y avait aussi mon handicap qui n'était pas facile à vivre pour certaines. Ca devait être frustrant de ce dire que son copain ne peut pas nous voir mais qu'il faut quand même être bien et belle parce qu'il ressent et touche tout ! Enfin toucher, façon de parler. Comme mes mains étaient mes yeux, ça leur rajoutait peut-être une pression supplémentaire. Oh et puis zut, pourquoi je parlais de couple alors que j'étais avec Casey hein ? Ca ne devait pas arriver. J'avais tellement besoin d'en parler à Jeremiah... ou Hamlet en cas même si je me disais que Jerem pouvait mieux me comprendre. On avait se lien... étrange. Je le considérais vraiment comme un frand frère plus que comme un ami. Il avait été plus là que ma propre soeur dans les moments douloureux, et même encore après son départ de Poudlard. On continuait à être proche même si son travail d'Auror était prenant. Il était ma seule joie une fois que je fus au ministère.
La voix de Casey me sortit de mes songes, je tournais ma tête vers la porte, tendant mon bras pour frôler les murs et les meubles, et savoir où j'étais. "Je me le ragoût d'hier réchauffer avec les champignons et je viens te masser."Je pris du bois pour raviver le poêle, prenant notre panier pour trier les asperges sauvages et les champignons. Je les mis sous l'eau quelques secondes afin d'enlever la terre dessus et les mis entier dans la gamelle. Ils étaient petits, pas vraiment besoin de les couper. Un peu d'eau et de crème, d'épices pour réajuster le goût, et le tour était joué, dans une demie heure, on pourrait manger. La balade avait été épuisante comme magique et elle m'avait ouvert l'appétit. J'espérais que c'était son cas aussi. Je remuais le tout avant de reposer le couvercle dessus, me dirigeant alors vers l'armoire à pharmacie pour y prendre une crème pour les bleus et les douleurs. Ce n'était pas franchement puissant, mais ça soulageait bien les bobos de ce genre. Je l'utilisais constamment. Il fallait dire que me cogner était devenu usuel chez moi. "Retires ton attelle, j'arrive." Je souriais, esquivant la queue de Loki de justesse qui sauta sur le canapé en grognant. "Sorry buddy." Je riais doucement avant d'entendre Athie faire de petits bruits, puis son poussin. "Cookie grandit bien, tu pourras l'avoir pour Noël je pense, ça te fera un beau cadeau." Je me mis assis le long de la cheminée afin d'avoir bien chaud, pas trop prêt non plus, les jambes bien étendues. Elle passa les siennes par dessus les miennes, l'arrières de ses cuisses touchait la miennes, nos corps étaient assez proches, j'en eus un frisson avant de sourire et d'attraper délicatement son pieds. Elle avait les jambes nues, la peau douce... Je mis de la crème dans ma paume, la réchauffa, et lui appliqua dans une caresse infiniment tendre. Je ne voulais pas lui créer de nouvelles douleurs à cause d'un massage. Non vraiment. "Ca te fait du bien ?" Je sentais sa cheville gonflée, je me mordais la lèvre. "Je sais que tu n'aimes pas ça, mais prendre ta béquille plus souvent... Tu vas finir avec un plâtre et alitée si ça continue, et je ne pourrais pas venir te voir à la villa." Je ne pouvais pas me présenter frais comme un gardon et demander à la voir comme ça ! Elles allaient me prendre pour un vrai fou... Il n'y avait plus de pommade sur ma main... et sans trop savoir pourquoi, j'eus envie de caresser sa jambe. Une envie, une pulsion, un désir. Je me mordais la lèvre en rougissant, tournant ma tête vers elle. Elle dut faire la même chose, je pouvais sentir son souffle proche du mien. Mon coeur fit un bon et se mit à frapper un rythme rapide et frénétique, ne laissant pas vraiment place au doute, mes mains devinrent moites, mon souffle saccadé et rapide... Ma main avait parcouru sa peau afin de se retrouver sur sa cuisse, mes lèvres attrapèrent les siennes pour un tendre baiser qui allait sûrement devenir passionné. Je devenais fou... mais j'étais tellement dingue d'elle. Je me reculais brusquement avec le souffle coupé, ouvrant la bouche pour parler, mais que dire ? "Pardon...." Je ne pouvais pas recommencer, pas encore, je ne pouvais pas encore effacer ses souvenirs... Mais je n'en avais plus envie, je voulais qu'elle se rappelle, je voulais l'embrasser encore... Je voulais... Je la voulais tellement."Je t'aime Casey...." J'avais imaginé se moment un million de fois dans ma tête, lui dire enfin la vérité, je pensais le faire de manière plus romantique, moins brutale... Mais les mots étaient sortis si naturellement de ma bouche, de mon coeur. Je posais délicatement ma main sur sa joue pour lui caresser, effaçant d'un revers de pouce les possibles larmes qui couleraient. Mes lèvres s'unirent à nouveau aux siennes dans un pieux baiser qui devint alors passionné.
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Posté Dim 27 Jan - 2:13.
The forbidden forest ◈ Dorian Greenwood & casey larson
l'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité.
e ne serais jamais assez reconnaissante pour tout ce qu’il faisait pour moi ou encore, tout ce qu’il me permettait de faire chez lui alors que je n’étais en aucun cas à ma place en quelque sorte ici. Il avait été dans la salle de bain directement après moi. je me rendis compte qu’il m’avait peut-être attendu dans sa chambre avant d’y aller. Il avait quand même attendu un petit peu avant d’y aller. Je me sentais bête d’un coup. Lorsqu’il était sortit, je lui avais fait part du fait que j’avais encore mal à la cheville. Je ne sais pas pourquoi mais j’avais senti le besoin de parler, de combler ce silence et cette distance que j’avais mise peu de temps avant. Il apparut dans la pièce. « Je mets le ragoût d'hier à réchauffer avec les champignons et je viens te masser. » Il était vraiment l’un des hommes les plus attentionnés qu’il soit. Je savais que j’aurais pu lui demander n’importe quoi, il aurait tout fait pour pouvoir me satisfaire et me rendre heureuse. « Tu n’es vraiment pas obligé Dorian. Tu…Merci. » J’avais vu l’air plein de réprimandes qu’il avait sur le visage. Cet air qui voulait dire que si je disais encore une fois que ce n’était pas la peine de faire tout ça pour moi j’allais en entendre parler. Il se dirigea dans la cuisine pour préparer le diner. Je ne lui proposais pas mon aide parce que je savais déjà qu’il allait me dire non bien évidemment. Il allait encore me dire qu’il était peut-être aveugle mais pas infirme ou handicapé à ce point. J’avais parfois l’impression de le vexer dans ma manière de le materner. Je commençais à sentir la fatigue d’une courte nuit cumulée à une longue journée et une promenade assez épuisante mais parfaite. Les odeurs qui provenaient de la cuisine étaient alléchantes. Je savais déjà que j’allais me régaler encore une fois.
Il prit quelque chose dans l’armoire à pharmacie. « Retires ton attelle, j'arrive. » Je l’avais déjà enlever pour regarder l’état dans lequel elle était. J’allais parler lorsque j’entendis Loki grogner. Je tournais ma tête vers le canapé pour voir ce qu’il se passait. « Sorry buddy. » Il riait mais Loki avait l’air quelque peu vexé de ce qu’il avait fait. Je levai un peu le bras et le tendit vers le canapé pour caresser Loki. Athena et son petit firent des petits bruits. Je souris. C’était trop mignon. On aurait dit qu’ils se parlaient ou quelque chose comme ça. « Cookie grandit bien, tu pourras l'avoir pour Noël je pense, ça te fera un beau cadeau. » J’étais contente qu’il ait voulu me faire un tel cadeau mais, j’avais peur de ne pas savoir m’occuper d’elle lorsque je serais seule avec elle. « T’es vraiment sûr que tu veux me la donner ? Je veux dire, c’est un super cadeau et je trouve ça vraiment adorable de ta part mais, elle serait peut-être mieux avec sa maman et toi… » Il vint finalement s’asseoir sur le sol avec moi. Je passai mes jambes sur les siennes pour qu’il sache où se trouvait mon pied. Il était proche tout en étant loin de moi. ca faisait bizarre d’avoir une telle distance entre lui et moi. il attrapa mon pied et commença à le masser à l’aide de la crème qu’il avait pris. C’était tellement agréable que si j’avais été allongée, j’aurais pu m’endormir. Il était doué. J’avais déjà fait la blague en lui disant qu’il s’était trompé de métier mais, je le pensais un petit peu. « Ca te fait du bien ? » J’hochai la tête avant de me rappeler qu’il ne pouvait pas le voir. J’oubliais très souvent son handicap et ça le faisait souvent rire. Pour moi, le fait qu’il soit aveugle n’était qu’un petit détail. Ca n’était pas quelque chose qui me gênait contrairement à d’autres personnes. « C’est très agréable oui. » « Je sais que tu n'aimes pas ça, mais prendre ta béquille plus souvent... Tu vas finir avec un plâtre et alitée si ça continue, et je ne pourrais pas venir te voir à la villa. » Il avait raison mais, je détestais cette foutue béquille et même si je savais que je devais la prendre, il m’arrivait parfois de l’oublier. Pourtant, je faisais un énorme effort pour que ça arrive le moins souvent possible. « Je l’ai oublié aujourd’hui… » Sa main finit par ne plus masser ma cheville.
Mais, au moment où j’allais enlever mes jambes de là où elles étaient, il caressa ma jambe. J’étais surprise par ce geste. C’était mal de se rapprocher comme ça. Il ne pouvait pas, on ne pouvait pas. Pourtant, je n’arrivais pas à me détacher de sa main parcourant ma jambe. J’étais comme clouée sur place n’ayant ni l’envie ni les moyens de bouger. Je tournai la tête vers lui, me mordant la lèvre. Je devais être rouge écrevisse à force de rougir comme je le faisais. Il finit par tourner la sienne et je remarquai qu’il avait eu les mêmes réflexes. Mon cœur se mit à battre plus fort et plus vite. L’air était saturé de cette tension qui avait pris l’habitude de venir hanter les pièces où nous étions. Mais cette fois, la tension était à son comble. Il n’avait pas l’air d’être dans un meilleur état que moi. Mais, sa main sur ma cuisse nue n’arrangea rien du tout. Finalement, ses lèvres finirent par attraper les miennes. Mon cœur eut un raté. J’avais attendu ça depuis tellement longtemps. Ca avait tellement un symbole d’interdit dans mon cerveau que je restais complètement surprise par ce qu’il venait de faire. Il dut prendre ma surprise pour autre chose parce qu’il se recula assez rapidement avant de s’excuser d’un simple pardon. « Ne t’excuses pas pour quelque chose pour lequel tu n’es pas désolé Dorian. » Je souris. Moi, je ne l’étais pas. Je n’étais pas désolée de ce qu’il venait d’arriver. Bien au contraire. J’aimais cet homme et ça me tuait qu’il puisse s’excuser pour quelque chose dont on avait envie tous les deux depuis bien longtemps. « Je t'aime Casey... » Je ne pus empêcher les larmes de venir se loger sur mes joues à une vitesse surhumaine. J’avais tellement rêvé d'entendre ses mots sortir de sa bouche que c’était magique de les entendre enfin. C’était magique de savoir que je n’étais pas la seule à éprouver tout ça. Il caressa ma joue et essuya les larmes qui ne cessaient de couler. J’avais vraiment du mal à y croire. Tout ça ne pouvait être réel. Un tel homme ne pouvait pas être amoureux de moi. C’était inconcevable pour moi. Il m’embrassa à nouveau. Je passai une main sur sa nuque entremêlant mes doigts à ses cheveux. Je mis fin au baiser qui devenait passionné. Je posai mon front contre le sien. « Je t’aime aussi Dorian. » Je souris tout en lui caressant les cheveux. « Mais…j’ai peur. Peur de t’attirer des ennuis et de finir par te perdre. » Quelques nouvelles larmes coulèrent sans que je n’arrive à les retenir. J’avais tellement peur de m’attacher à quelqu’un pour ça. Depuis la mort de mes parents, je m’étais juré de ne plus jamais souffrir comme ça. Et voilà qu’aujourd’hui, je brisais cette promesse. Ca me faisait peur. Ca me terrifiait pour tout dire. « Je veux vraiment pas te perdre Dorian. »
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Posté Dim 27 Jan - 15:26.
« But let me start by saying I love you »
Tout venait de changer, tout venait de basculer. Je me maudissais d'avoir encore craquer. Mais je n'y arrivais pas. Je pensais qu'en effaçant sa mémoire et en gardant mes distance, tout irait pour le mieux. J'avais tord, complètement tord. Et je m'en voulais vraiment. On avait 8 ans de différence, c'était de la folie furieuse. Et comme si ça ne suffisait pas assez, je ne m'étais pas contenté de l'embrasser, je lui avais aussi avoué mes sentiments. Sentiments cachés, enfouis, forts... beaucoup trop fort. Je tremblais contre elle. De bonheur, de peur, tout se bousculait dans ma tête, j'e avais la gorge sèche à force de chercher quoi dire, quoi faire. Sentir ses larmes sous ma main me fit mal au coeur... J'avais peur qu'elle ne me dise qu'elle ne m'aimait pas, du moins pas comme ça. Je mis mes deux mains sur son visage, usant de mes pouces pour chasser les larmes qui coulaient de ses yeux. Mais je pus deviner un sourire sur ses lèvres, et je ne pus m'empêcher de sourire à nouveau. Avec tout ce qu'on vivait tout les deux, je ne pouvais pas douter de son amour, et j'étais prêt à attendre le temps qu'il faudrait pour qu'elle me dise qu'elle m'aime aussi, parce que je savais que c'était elle et pas une autre. Notre deuxième baiser fut bien plus passionné que le premier, j'en eus des frissons partout. Etait-ci mal d'éprouver une telle attirance pour une jeune femme de 17 ans ? Parfois je me disais que oui. Il y avait certes pire dans le monde magique ou moldu, mais tout de même. Mais pire que notre différence d'âge, c'était mon don. Il était nocif pour tout les deux. Je le maîtrisais de moins en moins, et il devenait de plus en plus dangereux et douloureux. J'étais fou, complètement fou de lui avoir avoué tout ça. Mais je l'aimais tellement. Ca devenait un besoin vital. Depuis notre tout premier baiser, j'étais hanté par ce que je ressentais pour elle. Une vive douleur dans le coeur de ne pouvoir lui dire à chaque matinée qu'elle allait me manquer, que je n'allais pas arrêter de penser à elle, et que je l'aimais comme un fou. J'avais du mal à comprendre ce monde dérangé qui voyait le mal dans toutes les relations. Je ne voulais pas Casey pour son corps, je la voulais pour tout ce qu'elle représentait. Pour son rire qui me faisait vibrer, pour sa voix qui m'enjouait, pour ses attention qui me touchait dans le coeur. Je l'aimais parce que je voulais m'endormir chaque nuit avec elle, et me réveiller en la tenant dans mes bras. Je l'aimais pour tout ça, et du haut de mes 25 ans, bientôt 26, beaucoup ne le comprendraient pas. Elle rompit notre baiser, me coupant le souffle à l'occasion alors que mes lèvres se détachaient des siennes. "Je t'aime aussi Dorian." Je ne pus m'empêcher de sourire avec le larmes aux yeux, son front contre le mien alors qu'elle caressait mes cheveux, je tenais toujours son visage dans mes mains.
Le reste de sa phrase me glaça quelque peu le sang. Je savais qu'elle dirait ça, j'avais juste du mal à affronter cette vérité. Elle avait déjà perdu les deux personnes les plus chères à son coeur, comment lui en vouloir ? Casey avait une réelle peur de l'abandon. J'aurais pu être dans le même état avec la mort de ma mère et tout ce qui s'était passé. Mais j'avais pu me raccrocher à des personnes comme Jeremiah, Hamlet, Breandan, et Arya, nous avions malgré tout vécu une histoire d'un an ensemble. J'avais su passer mon chagrin dans la plénitude de ma solitude, et la relation particulière que j'entretenais avec les créatures magiques. Mais Casey n'avait eu personne à part sa marraine, jusqu'à retrouver Vitali, puis moi. Et lorsqu'on voyait les temps qui courraient, s'aimer était une folie pure. On était presque sûre à 70% de finir séparé l'un de l'autre d'une manière où d'une autre, mais égoïstement... Je voulais partager ce peu de temps avec lui et prendre ce risque inconsidéré. Je l'enlaçais fortement sans pour autant l'étouffer, souriant doucement, il fallait que je lui montre que j'y croyais même si j'avais autant la trouille qu'elle. De une j'étais l'homme, de deux le plus vieux, si je commençais à flancher, elle ne suivrait pas. "Tu vas pas m'attirer d'ennuis voyons. On continuera d'être discret et d'agir comme des amis dehors, personne n'a besoin de savoir pour nous deux." Sauf son cousin si elle voulait lui dire, je savais que j'allais en parler à Jeremiah tôt ou tard, elle aurait sûrement besoin d'en parler à Vitali, et je ne pouvais pas l'en empêcher même si j'étais persuadé qu'il verrait ça d'un mauvais oeil. "Je peux pas te promettre que tu me perdras pas... c'est faux un jour ça arrivera, mais le plus tard possible j'en suis sûr. Mais Casey, c'est à toi de prendre la décision, je t'aime, mais je ne veux pas te torturer, si tu penses que notre relation te fera trop de mal, alors je comprendrais, et je serais toujours là pour toi." J'essuyais ses joues comme je le pus, lui redressant délicatement la tête pour lui embrasser le nez avant de le caresser doucement avec le mien, déposant à nouveau doucement mes lèvres sur les siennes pour un tendre baiser. "Tu mérites d'être embrassée chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde..." J'en déposais un autre à la commissure de ses lèvres avant d'y murmurer doucement. "Je suis fou de toi... j'arrive plus résister à ce que je ressens." J'embrassais son front doucement avant de l'aider à s’asseoir sur mes jambes, face à moi. Je lui caressais doucement ses cheveux, sachant qu'elle adorait ça. "Tu veux qu'on mange tranquillement devant la cheminée ou dans le lit ? Hamlet m'a amené un gâteau au chocolat en plus, on va se régaler." J'essayais de détendre l'atmosphère le temps qu'elle réfléchisse à ce qu'elle voulait de nous.
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Posté Dim 27 Jan - 20:49.
The forbidden forest ◈ Dorian Greenwood & casey larson
l'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité.
'Casue it's always been you and it'll always be you
out peut basculer en si peu de temps. Tout peut prendre un virage et finir par être chamboulé. Votre vie. Votre destin. Tout ce en quoi vous avez toujours cru. Tout ce à quoi vous avez toujours voulu croire. Toutes les choses que vous vous étiez promis de faire. Toutes ces choses que vous vous étiez promises. Tout peut finir par être changé. La soirée changeait d’ambiance. Elle devenait sérieuse et pleine de confessions. Des confessions sur des sentiments dévoilés après avoir été enfouis au plus profond de son être pour ne pas blesser l’autre. Trois mots, sept lettres, deux syllabes. Les plus beaux mots qu’il puisse exister lorsqu’ils étaient associés. Ils n’avaient pas la même signification suivant la personne qui les dit. Ca peut être amical, d’un amour fraternel, d’un amour de famille ou d’amour tout simplement. Ces trois mots venant de lui étaient la plus belle chose qui me soit arrivée depuis un moment après les retrouvailles avec mon cousin. Je ne pouvais pas croire que quelqu’un comme lui puisse aimer quelqu’un comme moi. Mais, ce que je n’arrivais pas à comprendre c’est comment j’avais pu être aussi stupide de tomber amoureuse de lui alors que je savais qu’il allait risquer gros si je venais à faire une erreur. Jamais je n’aurais pensé que cet amour soit réciproque. Jamais je n’avais espéré une seule fois entendre ces sept lettres sortir de sa bouche pour moi. J’en avais rêvé, j’en avais tant rêvé mais, jamais je n’aurais pu croire que ça arriverait. Nos huit ans de différence d’âge étaient pour moi la barrière ultime à tout ça. C’était fou. Complètement fou de s’aimer dans ces conditions. Pour moi, c’était complètement irresponsable de tomber amoureuse de quelqu’un. J’avais beaucoup trop souffert de la mort de mes parents. J’avais laissé des plumes lors de ma dernière rupture. J’avais cru aimé quand ça n’avait pas été le cas. Mais ça, je ne m’en étais rendu compte qu’en tombant amoureuse de Dorian. Avec lui, je m’étais rendu compte du vrai sens du verbe aimer. Je pouvais tout sacrifier pour lui, je n’en avais pas honte. Mais, ça me fait peur. Non, avoir peur n’est pas assez fort. Je suis terrifiée par cet amour. Ca a été si vite, si fort, si beau. Mais, c’était le coup de foudre. L’amour dès le premier regard. Ce même amour que mes parents avaient partagé avant de mourir. Le plus bel amour qui existe à mes yeux. Ils s’étaient immédiatement aimés pour ne plus jamais se quitter. Ils étaient morts ensemble et bien que je leur en aie voulu de m’avoir abandonné, je savais qu’ils n’auraient jamais pu survivre l’un sans l’autre. La tristesse, la peine de ne plus voir l’autre auraient fini par les tuer.
Nous étions silencieux depuis que je lui avais dit que j’avais peur. Avec tout ce qu’il se passait, j’avais peur de le perdre et de perdre Vitali. C’était devenu les deux hommes de ma vie et jamais je ne pourrais vivre sans eux. Je savais que nous finirions par être séparés. Je savais que j’allais le perdre. Je savais que j’allais souffrir au point de vouloir en mourir. Mais, je ne pouvais pas me dire que tout ça était une erreur. C’était une erreur de m’être attachée à lui mais c’était la plus belle erreur de ma vie. Jamais je ne regretterais tout ça même si dans dix ans, je serais peut-être mariée avec un autre homme et que j’aurais des enfants avec ce dernier je ne pourrais m’empêcher de voir cette histoire d’amour comme la plus belle que j’ai vécue de toute ma vie. « Tu vas pas m'attirer d'ennuis voyons. On continuera d'être discret et d'agir comme des amis dehors, personne n'a besoin de savoir pour nous deux. » Personne n’avait besoin de savoir mais, des gens finiraient par le découvrir et on finira par être séparés lui et moi. « Je peux pas te promettre que tu me perdras pas... c'est faux un jour ça arrivera, mais le plus tard possible j'en suis sûr. Mais Casey, c'est à toi de prendre la décision, je t'aime, mais je ne veux pas te torturer, si tu penses que notre relation te fera trop de mal, alors je comprendrais, et je serais toujours là pour toi. » Les larmes recommencèrent à couler à cette dure vérité. Pour le bien de chacun, pour notre bien, la meilleure décision serait de tout arrêter. De ne plus se voir aussi souvent, de plus être aussi proche. De n’être presque plus que des étrangers l’un pour l’autre. Mais, ces perspectives me faisaient mal. Et le fait de savoir qu’il avait raison, le fait de l’entendre confirmer mes craintes en me disant qu’on finira par perdre l’autre me faisait horriblement mal. Il essuya mes larmes à l’aide de ses pouces. Il embrassa mon nez avant de le caresser à l’aide du sien. Ses lèvres finirent par retrouver les miennes pour un tendre baiser. « Tu mérites d'être embrassée chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde… » Je fermai les yeux à ces mots. C’était beau. L’une des plus belles choses que l’on m’ait dite. Il déposa un baiser à la commissure de mes lèvres. « Je suis fou de toi... j'arrive plus résister à ce que je ressens. » Il embrassa mon front tout en m’attirant sur lui. J’étais assise face à lui, mes jambes le long de ses flancs, mon torse contre le sien. Il caressait mes cheveux et j’adorais ça. « Tu veux qu'on mange tranquillement devant la cheminée ou dans le lit ? Hamlet m'a amené un gâteau au chocolat en plus, on va se régaler. » « Devant la cheminée. » Je venais de prendre la parole pour la première fois depuis qu’il avait répondu à mes peurs. Je l’avais laissé dire ce qu’il avait à dire et maintenant, j’allais lui dire ce que je voulais.
Il commença à s’éloigner de moi pour pouvoir se lever et aller à la cuisine mais je le retins. « Attends… » Il se remit dans la position dans laquelle il était. « C’est à mon tour de te parler. Et, j’aimerais tellement te dire que je suis courageuse. Assez courageuse pour tout arrêter et faire en sorte qu’aucun de nous ne soit blessé dans cette histoire. Mais je peux pas. J’ai pas le courage. En fait, je n’en ai pas l’envie. Je t’aime Dorian. Tellement. Je suis égoïste dans cette histoire parce que même si je sais que tu as raison, même si je sais que je finirais par te perdre, je veux vivre chaque instant que tu m’offres avec toi. Je veux partager les moments que nous pourrons partager ensemble et ne jamais avoir de regrets de ne pas avoir vécu tout ça avec toi. Et quoiqu’il arrive, je ne regretterais rien de tout ça. Jamais. Tu es l’une des plus belles choses qui me soient arrivées dans ce monde et tu feras toujours parti de ma vie quoiqu’il advienne. Je…Je veux juste profiter au maximum de ce que tu me donneras. » Je vins poser mon front contre le sien. « Et je suis complètement amoureuse de toi. Je peux plus faire marche arrière et faire comme si de rien n’était. C’est toi et ça restera toujours toi. » Et sur ces mots des plus niais mais des plus vrais, je l’embrassai à nouveau y mettant tout l’amour que je pouvais.
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Posté Jeu 31 Jan - 23:45.
« But let me start by saying I love you »
Je caressais doucement sa joue en lui souriant. Le ragoût sentait bon d'ici, il devait être assez chaud pour nous servir deux bonnes assiettes et manger tranquillement devant la télé avec une cruche d'eau et une petite bouteille de vin. J'aimais bien en boire un verre de temps en temps, c'était délicieux avec certains mets. Les gens voyaient ça d'un mauvaise oeil. Pour eux, c'était mieux de ce saouler au whisky pur feu 4 fois par semaine que de prendre un verre de vin de temps en temps au repas. "Alors ça sera devant la cheminée." Enlacé l'un contre l'autre pour manger en souriant, se racontant des bêtises ou encore le reste de notre journée. Je me mordais la lèvre d'envie. C'était agréable de pouvoir vraiment se lâcher, même si mes angoisses restaient au dessus de ma tête comme une épée de Damoclès prête à me trancher en deux au moindre faux pas. J'étais prêt à me lever, commençant à prendre appui afin de soulever mon corps mais elle me retint , me demandant d'attendre. Je me remis dans la position exacte où j'étais, lui prenant la main et la caressant doucement. Elle voulait discuter aussi, livrer son coeur et ses émotions. Je restais sage, ne disant rien pour ne pas l'interrompre, mais mon coeur battait à toute vitesse contre ma cage thoracique, mes entrailles me chatouillaient, ma main devenait moite, elle me rendait tout chose comme on disait. Pour moi, tout arrêter entre nous n'était pas une question de courage, mais de raison. Nous aurions dû être raisonnable, en effet, ce n'était pas sain comme relation, et ça allait finir par nous tomber dessus, c'était quasiment sûr, mais comme elle le disait si bien, on ne pouvait pas. Se détacher l'un de l'autre devenait presque impossible, non en fait, c'était impossible. Je l'aimais trop pour imaginer ma vie sans elle maintenant. Un nouveau je t'aime qui m'arracha un sourire facilement, j'avais envie de l'embrasser, mais je devais la laisser finir de parler, c'était la moindre des choses, elle ne m'avait jamais coupé après tout. Je pris cependant sa main pour y déposer mes lèvres, la laissant poursuivre son récit en redressant ma tête afin qu'elle soit bien droite face à elle. Peut-être que ça lui donnait l'impression que je pouvais réellement la voir, comme un homme normal. J'hochais ma tête en souriant, entrelaçant nos doigts ensemble. J'aimais ce qu'elle disait. L'entendre s'exprimer de la sorte et avouer qu'elle voulait vivre au jour le jour et profiter de ce bonheur nouveau, de la vie, de l'amour, c'était inespéré, inatendu surtout venant de sa part, mais ô combien beau et agréable à entendre. Je lâchais une de ses mains pour venir doucement caresser son bras, de haut en bas dans une caresse sensuelle alors qu'elle déposa son front contre le mien. Je e mordais les lèvres à ses dernières phrases, déglutissant lentement ma salive alors qu'une avalanche de papillon m'explosait le bas ventre. Elle m'embrassa passionnément comme jamais auparavant, même notre premier baiser ne fut pas ainsi.
Je le rompis lentement. "Je suis..." Je l'embrassais à nouveau. "fou amoureux..." mes lèvres capturèrent à nouveau les siennes, oubliant qu'on devait manger, qu'on devait juste discuter. "De toi..." il y avait un tapis sous nos corps, je l'allongeais doucement alors que Loki se cachait les yeux avec sa pattes comme pour se protéger d'une vision d'horreur. Je quittais les lèvre de ma chère et tendre pour déposer les miennes dans son coup. Mordillant sa peau en la suçant faiblement, puis en déposant de pieux baiser un peu partout, mon corps contre le sien. J'étais empli de pulsions et de désirs pour elle. J'aurais pu me contrôler, tout arrêter, ne plus rien tenter. Je me mordais la lèvre, déposant d'autres baisers sur sa gorge, caressant sa hanche, et remontant doucement ma main pour la passer sous le t-shirt qu'elle avait mis, je souriais doucement avant de caresser mon nez avec le sien, je me mis à genoux, retirant chemise et marcel, restant torse nu devant elle avant de me pencher à nouveau en me plaçant à bout de bras au dessus d'elle pour prendre à nouveau ses lèvres entre les miennes. Mon corps entier frissonnait d'envie. "Arrêtes moi si... si ça va trop vite, dis le moi, je comprendrais..." Mon coeur battait vite contre le sien, mon souffle devenait rapide, et ma virilité commençait à se réveiller. C'était tout sauf raisonnable, mais je l'aimais, et j'en avais tellement envie. Je ne pouvais pas dire que c'était une pulsion soudaine, depuis nos rapprochements, depuis les premières caresses, depuis le premier baiser, elle hantait mes nuits, mes envies, mes frémissements. J'étais un homme avant tout, et je n'avais 'd'yeux' que pour elle comme l'aurait dit le commun des mortels. Casey était ma gourmandise, et je voulais y goûter. Sentir son corps contre le mien, partager ses lèvres, sentir ses mains sur ma peau, découvrir la sienne. Ma main continuait de caresser son ventre avant de remonter vers ses seins, les frôlant doucement d'envie, alors que ma bouche s'attardait à nouveau dans son cou. J'adorais son odeur, la douceur de sa peau, ses frissons, ses petits soupirs, tout en elle me rendait fou de désir pour ma femme. D'un coup de baguette magique, je fis en sorte que le plat s'éloigne du feu afin de ne pas finir par sentir le brûlé.
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Posté Ven 1 Fév - 15:02.
The forbidden forest ◈ Dorian Greenwood & casey larson
l'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité.
'Casue it's always been you and it'll always be you
tait-ce mal de ressentir ça pour quelqu’un de huit ans plus âgé que moi ? Etait-ce mal de vouloir me sentir aimé par lui ? Etait-ce tout simplement mal d’aimer d’un amour fou et sincère ? Pour moi, ce n’était pas anomal. Pour moi, tout ce que je ressentais c’était ce qu’un couple ressent l’un pour l’autre. J’avais envie de vivre des choses avec lui. J’avais envie d’un avenir, même incertain, avec lui. Je voulais partager toutes ces choses qu’un couple partage et profiter au jour le jour de sa présence à mes côtés. Je voulais l’embrasser, sentir sa peau contre ma peau, prendre soin de lui chaque jour que je pourrais partager avec lui. C’était la première fois que j’aimais quelqu’un comme ça. Je vivrais toujours avec cette peur de le perdre constante. J’avais peur de le perdre et de ne jamais m’en remettre. J’avais vu ce dont l’amour pouvait être capable et parfois, ce n’était pas joli à voir. Un amour tel que le nôtre pouvait être destructeur. Nous allions surement y laisser des plumes chacun. Mais, j’espérais que ça viendrait dans longtemps, le plus tard possible. J’espérais qu’on nous laisse le temps de vivre les choses que nous avions à vivre.
Il rompit notre baiser. J’étais à bout de souffle. Je n’avais jamais été embrassé de manière si intense. Je commençais à croire qu’avec lui, il y avait une première à tout. Des sentiments plus forts, des caresses plus intenses, un amour incassable et beaucoup trop puissant pour un être humain. « Je suis... » Un nouveau baiser. « fou amoureux... » Ses lèvres se posèrent à nouveau sur les miennes. Chaque baiser rendait les battements de mon cœur plus rapides, plus puissants. J’avais l’impression qu’il cherchait à faire un trou dans ma peau pour pouvoir sortir. « de toi... » Il m’allongea sur le tapis qui recouvrait le sol devant la cheminée partageant à nouveau un baiser passionné. Lorsque ses lèvres quittèrent les miennes pour mon cou, je tournai la tête vers lui pour lui murmurer quelque chose au creux de l’oreille. « Je t’aime » Je sentis son sourire sur ma peau. C’était si bon de pouvoir lui dire sans avoir peur de ce qu’il penserait. De pouvoir lui dire pour qu’il sache que je l’aime. Sa main qui passe sous mon tee-shirt me sort de ma rêverie. Des frissons me parcourent. Tout était plus intense avec lui. Il se releva et enleva sa chemise et son marcel avant de se ré-allongeait sur moi. Il m’embrassa à nouveau et de nouveaux frissons me parcoururent. « Arrêtes moi si... si ça va trop vite, dis le moi, je comprendrais... » Je trouvais ça gentil de sa part de s’inquiéter. De me laisser le choix de continuer. Très peu d’hommes faisaient passer ce genre de choses avant leur envie. Aucun de mes ex petits copains ne m’avaient demandé si ça allait trop vite. Au fond, je savais que je devais tout arrêter. Dire que ça allait trop vite, que je ne pouvais pas. Mais, je ne pouvais pas faire ça. J’en avais autant envie que lui et ce depuis quelque temps. Mais, ce n’était pas raisonnable. Vraiment pas raisonnable. Je pesais le pour et le contre. Je cherchais au fond de moi cette volonté de dire stop. Mais, je ne la trouvais pas. Nulle part. Sa main se remit à me caresser le ventre et à monter plus haut. Sa bouche reprit possession de mon cou. Je soupirais d’aise. C’était vraiment agréable. Je me relevai et enlevai mon tee-shirt. Je me penchai et parsemai sa mâchoire de baisers. « La chambre… » Il se leva, me soulevant en même temps. Je l’embrassai alors qu’il essayait de se diriger dans la maison. Il arriva enfin à trouver la chambre et me déposa sur le lit. Après ça, nous nous laissions allés à des caresses sensuelles.
***
Nous étions allongés dans le lit. Mes jambes entrelacées aux siennes. Ma peau nue contre sa peau nue. J’avais la tête posée sur son torse. Je caressai les petites cicatrices incrustées dans sa peau. Cicatrices causées par son père. J’avais trouvé horrible ce qu’il lui avait fait subir. Je n’arrivais pas à comprendre qu’on puisse être aussi cruel avec son propre enfant. C’était sa chair, son sang bordel. Qu’il soit aveugle ou non. Avec trois yeux au lieu de deux, quatre bras, deux têtes, six jambes ; j’aimerai mon enfant et j’y tiendrai comme à la prunelle de mes yeux. Alors qu’on torture son enfant parce qu’à ses yeux, le fait qu’il soit aveugle faisait de lui une raclure de la société, je n’arrivais pas à concevoir une telle chose. Comment détester quelqu’un comme Dorian ? Il était l’homme le plus aimant que je connaisse. Le plus doux, el plus tendre, le plus généreux. Je déposai un baiser sur son torse. « Et maintenant ? Ca va se passer comment ? » Je soupirais. Je me sentais bête de dire ça. « Je veux dire… on pourra pas garder ce secret éternellement et j’en ai pas envie. J’ai envie que les gens sachent que je t’aime et que j’ai envie de passer ma... de passer le plus de moments possibles avec toi. » J’avais failli dire quelque chose qui lui donnerait des regrets. Lui comme moi savons que nous ne pourrions pas passer notre vie ensemble.
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Posté Mar 5 Fév - 21:05.
« But let me start by saying I love you »
Délices, voluptés, désirs avoués, chair, frissons. Nous venions de passer à l'étape supérieure, quelque chose de nouveau. J'avais déjà fait l'amour à une femme, mais cette fois-ci, c'était complètement différent. Peut-être parce que je ne le faisais pas juste pour assouvir un besoin, ou par pulsion. Je l'aimais, plus que personne d'autre au monde, elle était parfaite. J'avais trouvé dans ses défauts et ses qualités ma perfection à moi. C'était si intense entre nous. Lorsqu'elle m'avait demandé à aller dans le lit, dans un élan, je l'ai porté rapidement avant de me rendre compte qu'en faisait ça, j'allais avoir grand mal à me diriger vers la chambre, mais ce ne fut pas impossible. Une fois dans le duvet confortable du lit, on laissa notre passion se révéler. L'amour se libérer. Les désirs brûler. J'étais si heureux à ce moment là que je n'arrivais à penser à rien d'autre qu'elle. Pour la première fois, je pouvais toucher chaque recoin de son anatomie et l'apprendre parfaitement. Je ne pouvais pas me visualiser ce qu'elle représentait, mais je pouvais me faire une idée de la manière dont elle était faite. Et dans mon monde à moi, elle était parfaite. Peut-être pas pour le reste du monde, mais pour moi oui. C'était le plus important sûrement. Lorsque que notre moment de pur passion se termina, on resta enlacé l'un contre l'autre, peau contre peau, toujours nu. Sa tête posée sur mon dos, elle caressait mes cicatrices alors que je caressais son dos en sentant des différences sur sa peau. Je glissais mes doigts jusque dans ses cheveux, j'adorais tellement ses longs cheveux, elle devait être si belle avec. Carolina avait toujours eu les cheveux longs, et petit, je m'amusais à lui faire des nattes et des chignons, tout de travers bien sûr, mais elle ne disait rien jusqu'à ce que je ne m'améliore encore. Ma soeur avait énormément de tord dans sa vie, elle avait tout de même contribué à faire de moi l'homme que je suis maintenant. J'embrassais la tête de Casey songeur jusqu'à ce qu'elle ne me tire de mes pensées. C'était une bonne question, et je n'avais aucune réponse pour le moment à lui fournir. Je pouvais ressentir les émotions des animaux, pas lire dans l'avenir contrairement à d'autres. Je pris sa main dans la mienne, j'étais heureux, et à la fois blessé par ses paroles, mais elle n'y pouvait rien, elle énonçait simplement une cruelle vérité. Elle voulait vivre cet amour au grand jour. Je n'étais pas prêt. Je n'aimais pas m'exposer, je n'avais pas envie que ça soit un sujet dans les mondanités, je n'avais pas envie que jusqu'à Londres on parle du garde-chasse de Poudlard se tapant une étudiante, je n'avais pas envie d'être un salaud, pire encore, je n'avais pas envie que mon père soit attiré par cette rumeur et ne revienne dans ma vie. "Pour le moment... pour le moment..." Je cherchais mes mots en avalant difficilement ma salive. "Je préfère... rester discret. Tu peux en parler à Vitali si tu veux même si je pense qu'il voudra surtout m'arracher la tête... ou à tes colocataires si tu en as envie..." Je me mis sur elle caressant doucement sa joue sans pour autant l'écraser de tout mon poids. "L'académie ne comprendrait pas, tu as beau être majeure.... être à l'université... ça serait mal vu encore. J'aimerai aussi crier au monde entier à quel point je t'aime et à quel point je suis heureux qu'une... merveilleuse jeune femme comme toi soit avec un type comme moi... Mais pas encore... Ne me détestes pas pour ça." Je savais qu'il fallait que je lui dise les vraies raisons. Que j'avais peur que ça attire mon père, et pire encore... peur d'être renvoyé et d'être loin d'elle. Mais je ne voulais pas qu'elle culpabilise, et le dire de cette manière plus douce était peut-être la meilleure solution. "Je t'aime Case,ne doutes jamais de ça..." Je l'embrassais amoureusement en l'enlaçant.
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Posté Jeu 21 Fév - 17:56.
The forbidden forest ◈ Dorian Greenwood & casey larson
l'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité.
'était bizarre cette envie qui nous prend de vouloir crier le fait qu’on aime quelqu’un sur les toits du monde entier. Je n’avais jamais eu cette envie. En fait, d’habitude, j’aime garder mes histoires d’amour pour moi au début. Mais, avec Dorian, tout était différent. C’était comme si j’avais toujours ce trop plein d’amour et que je lui donnais sans compter. J’étais toujours au petit soin avec lui. J’étais toujours entrain de me soucier de lui, de faire attention à lui, de le protéger voire surprotéger. Mais, je ne pouvais pas m’en empêcher. Il comptait énormément pour moi et le fait qu’il ne soit pas heureux ou qu’il puisse être blessé était une de mes hantises. Il m’arrivait même de me détester d’être telle qu’elle avec lui. Je savais que je pouvais l’étouffer et ça finirait par me jouer des tours. Et, ça me jouait déjà un tour. Cette envie que j’avais de montrer aux gens que je l’aimais venait surement de me faire perdre des points. Il s’était tendu lorsque j’avais finit de parler. J’avais compris avant qu’il ne parle qu’il n’était pas de cet avis. Je cachais mon visage dans son torse, attendant la sentence qui ne tarda pas. « Pour le moment... pour le moment... » Il n’avait même pas besoin de dire la suite que je pouvais déjà le faire à sa place. J’arrêtai mes caresses machinalement et attendais la suite. « Je préfère... rester discret. Tu peux en parler à Vitali si tu veux même si je pense qu'il voudra surtout m'arracher la tête... ou à tes colocataires si tu en as envie... » Je savais bien que j’allais devoir leur en parler mais, pour moi, ça paraissait logique de les tenir au courant un minimum de ma vie privée. Je me doutais que les filles devaient avoir deviné qu’il y avait un homme derrière mes absences de la villa. Et puis, Vitali était mon cousin et, je trouvais qu’on avait déjà eu assez de secrets l’un pour l’autre pour garder celui-là en plus. Il me bascula sur le dos et se mit au-dessus de moi. Il me caressa la joue alors que je passais mes bras autour de son cou. Mes doigts caressaient les cheveux à la base de sa nuque et je le regardais droit dans les yeux. « L'académie ne comprendrait pas, tu as beau être majeure.... être à l'université... ça serait mal vu encore. J'aimerai aussi crier au monde entier à quel point je t'aime et à quel point je suis heureux qu'une... merveilleuse jeune femme comme toi soit avec un type comme moi... Mais pas encore... Ne me détestes pas pour ça. » Je savais bien que l’académie avait bon dos dans ce genre de conversation avec lui. Je ne disais pas ça méchamment mais plus parce que je savais qu’il ne me disait pas les vraies raisons et ça me blessait quelque peu. Je savais bien que nous avions encore des secrets pour l’autre. Je savais bien que je ne connaissais pas tout de lui et, en trois mois, je ne pouvais pas tout savoir. Il faut des années pour connaître quelqu’un sur le bout des doigts. Mais, j’avais espéré qu’il finirait par me le dire. Pour moi. Pour notre relation. Mais, je devais lui laisser du temps, ne pas le presser, ne pas lui mettre la pression. « Je sais bien que derrière les raisons que tu me donnes se cachent d’autres vraies raisons dont tu ne veux pas me parler. Mais, je comprends et, je ne te déteste pas de vouloir garder notre relation pour nous. » Je lui souris tendrement. « Je t'aime Casey ,ne doutes jamais de ça... » Je souris franchement, j’étais heureuse. « Je t’aime aussi Dorian » Je l’embrassai tendrement. Le sujet n’était pas clos mais, nous avions du temps devant nous et pour le moment, cette nuit ne faisait que commencer.
Dernière édition par Casey F. Larson le Jeu 21 Fév - 17:57, édité 1 fois
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Posté Jeu 21 Fév - 17:56.
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L'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité. [PM] & Dorian